Québec-Canada: vidéo 34

Que faire après la défaite électorale du 7 avril 2014?

Cette défaite est en fait une chance pour les souverainistes!

Chronique de Jean-Jacques Nantel

La défaite électorale du 7 avril 2014 nous donne quatre à cinq ans pour apprendre aux Québécois à penser comme un peuple normal. En attendant que la crise économique qui commence ait discrédité un parti libéral rongé par la corruption, les souverainistes doivent se regrouper, apprendre à dire la vérité et se préparer à tenir et à gagner un référendum peu après leur prise du pouvoir.

C'est le sujet de la présente vidéo.


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4 commentaires

  • Fernand Durand Répondre

    30 mai 2014

    Il y a un autre front de bataille que semble oublier les souverainiste, celle de provoquer la colère des autres provinces afin de se faire expulser du Canada.
    Un rouge pensait que l'indépendance était morte après les élections, il espérait que les péquistes aient compris une fois pour toute. Hélas, je l'ai ramené sur terre, je lui ai dit: Vous ne voulez pas qu'on se prenne en main, ce n'est pas catastrophique, vous avez gagné une bataille, en attendant, vous allez travailler très fort et nous envoyer notre péréquation, de notre côté, on va préparer le prochain référendum.
    Ça les met en colère.

  • Pierre Cloutier Répondre

    28 mai 2014

    Quoi faire après l'élection du 7 avril 2014? Question simple, réponse simple : Préparer et présenter au peuple québécois une proposition d'indépendance nationale lors de la prochaine élection et réaliser son accession de manière pacifique et démocratique.
    Le contenu de la proposition est à déterminer, mais doit mettre l'accent sur l'économie et la protection de l'État envers ses citoyens. Le Québec a surtout besoin d'un programme d'ÉTAT, une loi fondamentale transitoire qui va sécuriser les québécois et assurer le changement de régime en douceur.
    Pierre Cloutier

  • Archives de Vigile Répondre

    27 mai 2014

    Vous êtes un avant-gardiste et un visionnaire M. Nantel.
    Je trouve que Mme Pauline Marois a bien faits son travail
    d'approche. Sur le terrain, elle a donnée son maximum et
    même plus. Ou tout a manqué s'est dans la finition.
    Personne ne peut donner de réponse sur la monnaie et les
    frontières. Pour le commun des mortels s'est "capital"
    Et quand ta capitale nationale "vire" au rouge nous avons
    un problème d'identité. Je crois que nos devoirs sont à refaire
    et qu'il faut retourner à la planche à dessin. Le positif dans
    tout cela est que les Québécois sont créatifs et le seront toujours.
    Il y'a une expression québécoise qui dit: " Virer sur un dix cents" et
    personne ne va me dire que le Québec ne vaut pas trente sous.
    En conclusion, on brasse notre petit change et on passe à l'action.

  • François Ricard Répondre

    27 mai 2014

    M. Nantel, je suis d'accord avec une grande partie de votre propos.
    Là où j'accroche c'est quand vous espérez voir QS se joindre à une véritable force indépendantiste.
    QS, en fait, ne parle d'indépendance que pour leurrer le bon peuple. Qs est socialiste, multiculturaliste et islamophile.
    Et comme vous, je nous souhaite un chef qui osera parler haut et fort d'indépendance.