Promouvoir l'indépendance et rien d'autre

Tribune libre

Personnellement, depuis longtemps, je le dis et le répète, le PQ, le Bloc, Québec Solidaire et tous les souverainistes-indépendantistes doivent faire une seule chose faire la promotion de l'indépendance jusqu'à temps d'obtenir une majorité en faveur du Oui et là à ce moment là, s'engager à tenir le référendum pour du Québec un pays.
Alors tous les discours pour promettre ou non un référendum est une simple perte de temps si on ne convainc pas une majorité en faveur de l'indépendance du Québec d'abord.
Une bonne nouvelle ce matin, un nouveau chef du Bloc qui veut faire la promotion de celle-ci mais le vaisseau-amiral est le PQ et ce dernier aussi devra s'y engager bientôt car il en va de sa survie s'il ne le fait pas la CAQ va le remplacer définitivement comme Grand Parti Nationaliste du Québec. Cependant, la CAQ est neutre sur la question souverainiste-fédéraliste et s'affirme simplement nationaliste et le parti du Québec d'abord.
Je vois un seul chef pour le PQ et c'est nul autre que Monsieur Pierre-Karl Péladeau qui pourrait d'ici cinq ans devenir Président de la Nouvelle République libre du Québec. Souhaitons lui bonne chance. Je suis tanné d'entendre des péquistes de gauche dire qu'ils ne le veulent pas comme chef en pensant à leur simple conviction gauchiste avant l'intérêt national du Québec.


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2 commentaires

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    23 juin 2014

    "tanné d’entendre des péquistes de gauche dire qu’ils ne le veulent pas comme chef en pensant à leur simple conviction gauchiste avant l’intérêt national du Québec..."
    oui mais... son seul poing levé en sautant dans la campagne électorale suffit-il à nous assurer que dès le lendemain, il ne deviendra pas "peddler" pour les pétrolières, comme Lulu, comme Dédé?... S'il accepte un rôle de second, pendant un temps, derrière un plus jeune?... même dans un nouveau Parti... Peut-être deviendra-t-il vraiment crédible...

  • Hugo Girard Répondre

    15 juin 2014

    C'est bien vrai que personne d'autre au Québec, dans ce monde pourri, à pour le moment les coudés assez franche pour mener à l'indépendance. Il faut bien l'admettre.