On ne vit pas dans un pays étranger, faut que ça s'entende

Pourquoi ne pas faire du français la seule langue de l'espace public au Québec?

Combattons les langues à risque de propagation comme l'arabe

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Tribune libre

Je me rappelle avoir lu quelque part que dans un certain pays scandinave, un parti proposait d'interdire de parler la langue arabe dans l'espace public, une bonne idée s'il en est une.


Car le problème a pris une telle ampleur dans certaines villes de ces pays qui ont commis la grave erreur d'accueillir des hordes de musulmans en nombre illimité sans souci d'intégration. Ils s'y sont établis en pratiquant un mode de vie communautariste en marge de la société d'accueil, laquelle ne leur sert que de fournisseurs de services dont ils se montrent apparemment très friands.


Les citoyens natifs ressentent désormais un profond malaise dès qu'ils mettent le nez dehors, ayant de plus en plus l'impression dérangeante de se voir peu à peu délogés de leur propre ville, et confrontés à une mentalité contraire qui les heurtent beaucoup plus qu'ils ne s'y seraient attendus au départ. À partir de cette triste constatation de la collision des valeurs, la langue arabe devient l'irritant tout désigné pour leur écorcher les oreilles et accentuer ce malaise on ne peut plus justifié.



Pour éviter que cela finisse par nous arriver plus tôt qu'on ne pense, il est impératif que le français devienne la seule langue commune entendue et parlée dans l'espace public, à la grandeur de la province, comme c'est déjà le cas, et la normale depuis toujours, dans la majorité de nos villes et villages.


Les seules exceptions qui ont dérogé à cette règle tacite du bien-vivre ensemble semblent être la Tour de Babel qu'est devenue Montréal, et possiblement la région de Gatineau, contaminée par les Anglo-Ontariens qui viennent y résider par souci d'économie.



Étant natif et résident de la ville de Québec, je n'entend jamais le son d'aucune autre langue que le français, sauf lorsque je me promène dans un secteur touristique comme le Vieux-Québec.


Et je trouve la chose tout à fait normale.


Même les quelques immigrants qu'il y a dans la région n'utilisent que le français comme langue de communication et d'échanges. Jamais ils n'oseraient demander à quelqu'un de leur répondre en anglais. Ils se feraient regarder de travers pas à peu près.



Pourquoi n'en serait-il pas de même à Montréal? Un règlement municipal ou une loi provinciale devra stipuler que les langues étrangères doivent être confinées à la maison, et rester dans le domaine privé.


Cela confirmera le statut du français comme seule langue officielle du Québec, seule langue d'usage, seule langue du travail et de communication.



Dans l'espace public, sur la rue, dans les parcs, les magasins, les restaurants, les services publics, les transports publics, tout le monde s'exprimera en français: anglos, arabes, latinos, asiatiques, africains, Grecs, Italiens, hindous, etc.



Nous sommes le peuple majoritaire, dont la culture et la langue doivent être le vecteur de convergence. Tout doit tendre vers nous.



Et ce sera une bonne pratique pour eux lorsque viendra le temps de s'adresser à des francophones, s'ils font l'effort constant de s'exprimer en français.


Ce sera aussi faire montre d'une volonté d'intégration. Apprendre la langue du pays d'accueil et l'utiliser en tout temps, n'est-ce pas là le devoir premier de tout immigrant?



Dans le même ordre d'idée, aucune émission en langue étrangère ne devrait être diffusée sur les ondes FM et les stations communautaires (on a déjà bien assez de devoir tolérer l'anglais favorisant une communauté privilégiée qui bénéficie décidément de beaucoup trop de passe-droits).



Poursuivant la même logique, une loi officielle devrait stipuler que la maîtrise d'une langue autre que le français ne peut être exigée pour exercer une fonction quelconque, un atout peut-être, mais pas une exigence. Lors d'une entrevue d'embauche, la question devrait être tout simplement interdite.


* * *


Un autre aspect de la problématique vient du fait que certaines langues se répandent au lieu d'être abandonnées au profit de la langue officielle qui au Québec est uniquement le français.


Ce sont des langues à risque de propagation. Une chose qui ne doit arriver sous aucun prétexte.


Depuis la première vague d'immigration vietnamienne durant les années 80, les enfants de seconde ou troisième génération ne parlent ou ne comprennent à peu près pas cette langue. Ils se sont assimilés au français comme il se doit, tout comme ils auraient appris le suédois en Suède, l'allemand en Autriche.


Aux États-Unis, ils ont comme on le sait, de gros ennuis avec les innombrables caravanes de latinos envahisseurs qui arrivent de tous bords, tous côtés, et qui s'additionnent aux communautés hispanophones déjà existantes qui dévient et s'éloignent de plus en plus de l'identité américaine. La langue espagnole devient un nouvel élément d'opposition entre "eux" et "nous".



Actuellement au Québec, c'est la langue arabe qui est à haut risque de se propager et d'empiéter sur notre cohésion nationale. Car la totalité de ces immigrants continuent à la parler quotidiennement, cette tendance lourde étant facilitée par leur nombre grandissant qui fait tache d'huile.



Ils organisent les choses pour qu'il leur soit facile de parler et vivre dans leur langue arabe au quotidien.


Mais ce faisant, ils fractionnent la société en 2 camps qui s'éloignent l'un de l'autre de jour en jour, ce qui n'est certes pas désirable.


Pour eux, l'objectif ultime n'est pas un Québec français et laïque, mais arabe et musulman.



Ils doivent même se servir de cet argument pour faire venir ceux des leurs qui sont incapables d'apprendre le français en leur garantissant que ce n'est pas un problème et qu'ils pourront vivre au Québec en arabe sans difficulté.


Si on ne fait rien, il y aura bientôt dans chaque ville des quartiers où l'arabe sera la langue de communication courante entre les immigrants musulmans. C'est une menace qu'il faut prévenir avant qu'elle ne soit trop bien installée.



Une objection supplémentaire vient du fait que c'est une langue à jamais incompréhensible à nos oreilles (contrairement à l'anglais). Elle leur permet de parler dans notre dos sans qu'on puisse avoir de certitudes qu'on ne parle pas contre nous et notre société. Impossible de surveiller ce que vocifèrent les imams possédés avec de la bave blanche mousseuse aux commissures des lèvres pérorant impunément dans les mosquées.



L'arabe a déjà atteint le statut dérangeant de la troisième langue la plus parlée au Québec. On ne pourra jamais en dire autant du russe, du créole antillais, de l’hindoustani, ou de n'importe quelle autre langue moins organisée et généralisée à travers le monde. Les immigrants arabes de diverses provenances se mettent à se parler en arabe entre eux et maintiennent cette langue vivante et active au quotidien, c'est là tout le problème.



La solution consiste à limiter dès maintenant l'arrivée d'arabophones pour éviter de perdre le contrôle de la situation. À cela, il faut ajouter une loi interdisant l'usage de cette langue dans l'espace public, que cela leur plaise ou non. C'est une langue qui ne devrait même pas pouvoir être enseignée au Québec, ne serait-ce que pour respecter la primauté de notre seule langue officielle, le français.



Nous avons déjà suffisamment de mal comme ça à tenter de contenir l'anglais envahissant, ne commettons pas la coûteuse erreur d'ajouter une troisième langue à l'équation.


L'arabe est la langue qui représente actuellement le plus grand risque de propagation au Québec, une menace qui ne peut que croître avec leur nombre grandissant si on ne prévient pas tout de suite la catastrophe prévisible.



Qu'on nous respecte en tout et partout, le peuple majoritaire francophone, comme il se doit.


À commencer par le respect qui est dû à la seule langue officielle du Québec et des Québécois: le français.



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Réjean Labrie890 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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