Pour ma dernière chronique avant la pause des Fêtes, permettez-moi cette fantaisie. Comme au père Noël, j’ai des demandes à formuler au politicien québécois dont j’espère les plus beaux cadeaux : Simon Jolin-Barrette.
Petit papa Jolin-Barrette, quand tu descendras du Ciel, n’oublie pas de m’apporter plein de cadeaux pour aider ma nation à ne pas disparaître, puisque les tenants de l’odieux royaume multiculturaliste nous imposent l’effacement...
Samedi dernier à Saint-Eustache, à l’occasion d’une commémoration de la mort du patriote Jean-Olivier Chénier, je bavardais avec un autre jeune espoir national, le président de la Société Saint-Jean-Baptiste, Maxime Laporte, des mesures à prendre pour redresser le français chez nous.
Je suis toujours heureux de parler à cette relève qui veut continuer le combat !
Urgence
J’attends beaucoup de toi, Simon Jolin-Barrette, lorsque je vois que l’affichage commercial chez mes compatriotes colonisés adopte des raisons sociales anglicisées telles le Studio Tattooshop ou le barbershop des Boys ou encore la team du ci ou de ça. Vous devrez vous attaquer à ce phénomène de toute urgence si on ne veut pas devenir une deuxième Louisiane.
À cela, ajoutons ces commerces de moins de 50 employés où le petit patron oblige le fonctionnement en anglais à ses employés en leur disant qu’ils sont in America et non pas dans ce lopin de terre française. Vous devrez aussi serrer la vis à ces petits publicistes qui, au nom d’un clin d’œil, « joualisent » notre langue pour en faire une identité tribale.
Mouvementée
Avec les Anglais qui se séparent de l’Europe et la campagne présidentielle américaine, la scène politique internationale sera mouvementée en 2020.
Eh bien, cher ministre, je nous souhaite une prochaine année tout aussi intense au Québec, avec la langue française et le redressement de la loi 101 au cœur de l’actualité... après 30 ans d’inaction.