Les Juifs méritent notre respect au moins pour une chose : aucun peuple, aucune race n’a su survivre et dominer avec autant de succès. Qu’ils soient riches ou pauvres, bêtes ou bolées, croyants ou athées, de gauche ou de droite, quand les temps virent aux pogroms, les enfants d’Abraham s’aident, se pistonnent et s’organisent pour défendre leurs intérêts et détruire les nuisibles qui menacent leur vitalité raciale.
Vous n’arriverez pas à les stigmatiser parce qu’ils revendiquent, sans complexe, leur appartenance à la race juive. Vous ne réussirez pas non plus à les diaboliser parce qu’ils tiennent mordicus à avoir un pays où ils peuvent vivre entre eux comme bon leur semble. Prenons-en de la graine, nous, les Blancs racialement complexés, ce n’est pas pour eux un crime affreux d’agir dans les intérêts de sa race.
Curieusement, personne ne les traite de « racistes » parce que dans leur terre promise, le métissage entre juif et non-juif est très mal vu par les rabbins. Personne ne les traite d’« homophobes » parce que la Cour suprême d’Israël a interdit le mariage homosexuel. Personne ne les traite de « xénophobes » parce que seuls les Juifs de sang ont le droit d'immigrer librement en Israël. Personne ne le traite de « SS » parce que les Arabes qui sont minoritaires (20 %) n'ont pas les mêmes droits que la majorité, et ce, même s'ils ont accès à la vie politique et à la citoyenneté. Personne ne les traite de « nazis » parce qu’ils sont tous armés jusqu’aux dents. Enfin, personne ne les traite de « fachos » parce que dans leur pays, l’immigration et les frontières sont sévèrement contrôlées par des murs en béton infranchissables.
Là-bas chez les sionistes, les protestataires anti-immigration ne se gênent pas pour scander dans les rues, « nègres rentrez chez vous... les nègres en Afrique ». Or, un tel manque d’inclusion ici au Québec serait sévèrement puni, et c’est peu dire. Mais comme le dit la ministre de la Justice d’Israël, Ayalet Shaked, dans la livraison du 13 février 2018 du journal Haaretz, « nous devons préserver la majorité juive de la Nation même si des droits sont violés ».
À cette fin, Israël ne refuse pas seulement d’accueillir les illégaux qui les envahissent, mais les incarcère dans des camps de concentration, avant de les déporter massivement, manu militari, vers leurs pays d’origine, voire chez nous avec la bénédiction de Justin Trudeau et des médias aux ordres qui nous cachent cette réalité étonnante tout en nous faisant croire à nous pauvres pécheurs québécois que le nationalisme est un péché et que la diversité nous fera monter tout droit au ciel sans passer par le purgatoire.
Prenez garde, les hommes et les femmes du paradis à Bibi ne sont pas des enfants de chœur ; l’individualisme forcené, l’empathie pathologique et l’altruisme suicidaire qui gangrènent notre race sont étrangers à leur culture ; au moindre faux pas, les soldats du Tsahal, comme un seul homme, vous trucideront sans la moindre hésitation.
En définitive, le racialisme décomplexé est l’une des forces du peuple-prêtre. Ils sont Juifs et fiers de l’être... au plus profond de leur ADN. Ils savent, n’en doutez pas une seconde, que l’unité, la force et la cohésion d’une nation s’enracinent dans son homogénéité raciale ; ils savent, soyez-en sûr, que le pluralisme, la diversité raciale et culturelle dans un même pays ne sont pas une richesse, mais un cheval de Troie servant à diviser, fragmenter et affaiblir ceux qui succombent à ses charmes ; ils savent, enfin, que la nation ethnique est le seul modèle de société capable d’assurer la sécurité et le bonheur des hommes.
La démocratie n’est possible, a dit Aristote, que dans les sociétés ethniquement homogènes. Les despotes et les tyrans ont toujours régné sur des sociétés hyper fragmentées comme celles qui caractérisent les sociétés occidentales actuelles. Une société multiethnique est donc obligatoirement chaotique, car elle est totalement dénuée de philia, un concept fondamental défini ainsi par Aristote : une fraternité identitaire enracinée dans le sang et la chair des citoyens. En d’autres mots, le chaos ethnique empêche toute expression de philia, la condition indispensable à la souveraineté d’un peuple.
Pour le dire d’une façon que les bien pensants refusent d’entendre, la race est bel et bien une réalité biologique de mieux en mieux étayée scientifiquement par de nombreuses études génétiques de haut niveau ; d’ailleurs, c’est bien la preuve, pour devenir citoyen israélien, dans les cas litigieux, vous devez prouver votre appartenance à la race juive par un test génétique. Si nous sommes par ailleurs égaux devant Dieu et la loi, nous ne sommes pas égaux en termes de talents, d’intelligence, de mérite, de beauté et de capacités physiques. L’égalitarisme racial, individuel et culturel est une utopie. Ceux qui prétendent le contraire nous font du cinéma pour nous pousser au suicide racial… une fleur à la boutonnière.
Nous les Blancs d’origine européenne aurions tout intérêt à émuler le peuple du livre si nous ne voulons pas finir par raser les murs le jour où nous serons minoritaires dans nos propres pays. Nous tous, nationalistes de race blanche, avons des intérêts aussi légitimes que ceux du peuple élu, et comme lui, sommes parfaitement dans notre droit de les revendiquer et de les défendre, même si nous ne sommes pas du tout dans une logique de domination ou de suprématie. Nous respectons en effet tous les peuples, y compris le peuple d’Israël, pourvu que ce soit réciproque. Nous sommes donc ouverts sur le monde à l’intérieur de nos frontières. Un état, un peuple.
Les Indiens, les Japonais, les Coréens et les Chinois sont tous fiers de leur race et font tout ce qu’ils peuvent pour la protéger du métissage forcé par la propagande mensongère. La Pologne, la Tchécoslovaquie, la Slovaquie et la Hongrie s’illustrent, elles aussi, en refusant en bloc de laisser des races extra européennes envahir leur espace vital et détruire leur homogénéité raciale, religieuse et culturelle.
Essayez d’immigrer dans ces pays et vous verrez que ces peuples ne lésinent pas avec les gènes. Ils savent, aussi sûrement que les Israéliens, que la culture d’un pays est une manifestation du génome de son peuple ; ils savent, n’en doutez pas une seconde, que la force et la cohésion d’une nation s’enracinent dans son homogénéité raciale.
Posons-nous la question : pourquoi nous les Blancs de la « race canadienne-française » ou « française », par exemple, n’aurions-nous pas le droit d’avoir un foyer, un territoire, un pays où nous pourrions vivre entre nous comme bons nous semble, à la façon des Juifs d’Israël, des Inuits de la région du Nunavut et des Amérindiens ? Ne sommes-nous pas, nous aussi, une minorité menacée d’extinction ?
Il n’existe aucune objection morale ou juridique. L’autodétermination et la possession d’un territoire propre à une race ou un sous-groupe racial sont un droit inaliénable reconnu par tous.
Où est le problème ?
Eh bien, en voici quelques-uns :
Les despotes et les tyrans qui nous dominent par le chaos racial et culturel sont prêts à accepter les revendications de toutes les communautés et de toutes les races sauf celles de la race blanche, la seule en mesure de résister à leur projet mondialiste.
Jamais ils ne nous laisseront vivre en paix. Demandez aux Russes pour voir. Sans une armée puissante et des citoyens prêts à se sacrifier pour la patrie, la Russie serait détruite et sa population remplacée par des Africains et des Asiatiques dans l’esprit du projet messianique des élites juives et non-juives qui veulent détruire notre identité et mettre en place une gouvernance mondiale.
Un grand nombre de Blancs, peut-être même la majorité, ne veulent pas d’un État ethnique. Décérébrés par la propagande de la Shoah, de la diversité et du métissage qui leur est servie en boucle dans les écoles, les films, les téléromans et les médias aux ordres ; subjugués par l’empire des sens ; prisonnier de Mammon qui les robotise ; paralysés par la peur de l’anathème ; aveuglés par l’idéologie des droits de l’homme et des droits civiques, ces blancs aliénés de leur conscience raciale et totalement coupés de leur instinct de survie sont même prêts à se battre du côté de ceux qui veulent rayer leurs gènes de la carte... noblesse oblige !
Bibliographie
Hindi, Youssef (2016). Occident et Islam Tome I. Sources et genèse messianiques du sionisme de l’Europe médiévale au choc des civilisations. Sigest.
Johnson, Greg (2016). Le nationalisme blanc. Interrogations et définitions. Akribeia.
Kempt, Arthur (2016). Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? Akribeia.
Kempt, Arthur (2014). Bâtir le foyer blanc. Akribeia.
MacDonald, Kevin (2002). The Culture of Critic. An Evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-Century Intellectual and Political Movements. 1st Books.
Raspail, Jean (2011). Le camp des saints. Précédé de Big Other. Robert Laffont.
Robertson, Wilmot (1973). The Dispossessed Majority. Howard Allen.
Rushton, J. Philippe (2015). Race, évolution et comportement. Institut de recherche Charles Darwin.
Ryssen, Hervé (2005). Les espérances planétariennes. Baskerville.
Shamir, Israël (2007). Cabbala of Power. Surge Books.
Pierce, William L. (2011). Fierté blanche. La libre parole d’un racialiste américain. White Revolution Books.
Taylor, Jared (2016). L’Amérique de la diversité. Du mythe à la réalité. L’AEncre.
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