MONDIALISME

Weimar 2020

Doit-on mettre un préservatif pour faire l'amour à son chien ?

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Tribune libre

Comme le dit, Max Pribilla, « il est des moments où, sans aucune utilité tangible, il faut que quelque chose soit dit, pour la seule raison que cela est vrai. Si cette parole n’est pas dite, l’ordre moral de l’univers reçoit un coup dont il lui est plus difficile de se remettre que s’il avait été violé par une force brutale ».


***


Il est difficile d’évaluer avec certitude la popularité de la zoophilie. Ce sujet étant encore tabou dans de nombreuses sociétés civilisées, personne n’oserait avouer publiquement sans complexe son penchant sexuel pour sa chatte, son chien ou son cheval.


Mais à en juger par les milliers de sites pornos consacrés à ce thème, la zoophilie est beaucoup plus répandue que l'on croit, suffisamment du moins pour être légalement interdite au Danemark. Autres signes des temps : d'après le Daily Mail, les zoos érotiques où il est possible d’avoir une relation sexuelle payante avec un lama, une chèvre ou une brebis sont de plus en plus à la mode (1). Et selon RT, en Suisse, les violences sexuelles sur les chevaux augmentent de façon inquiétante.


Dans une étude exhaustive qui a fait date, la première du genre, Bestiality and Zoophelia: Sexual relations with animals (Bestialité et zoophilie. Relations sexuelles avec les animaux) les scientifiques américains, Andreas L. Beetz et Anthony L. Podberscek, ont répertorié ce qui se faisait couramment dans le domaine (2). Un exemple parmi cent, Beetz et Podberscek ont rapporté le cas bizarre d’une femme qui se faisait plaisir sexuellement en insérant dans son vagin un hamster lui-même inséré dans un préservatif fermé par un nœud. C’est plus efficace qu’un vibrateur, parait-il, mais ça coute plus cher que des batteries, car un grand nombre de ces vibrateurs vivants périssent suffoqués en pleine action.


Le bestialisme se pratique partout dans le monde, autant au Québec qu'en Europe, notamment en France où certains couples payent des prostituées, de préférence noires, pour qu’elles se fassent pénétrer en levrette par leur berger allemand ou un autre gros chien du genre. D'autres demandent à leur esclave sexuel de faire une fellation à leur chien. Le tout est enregistré sur vidéo et retransmis aux amateurs de sensations fortes lors de soirées organisées à cette fin. Même les journalistes qui ont étayé ces faits pour l’émission québécoise, Les Francs Tireurs, étaient choqués, et c’est peu dire (3).


Au Canada ultra libéral de Justin Trudeau, où les barrières, les limites et les frontières sont très mal vues, les relations sexuelles avec les animaux sont légalement permises, voire encouragées, à condition qu’il n’y ait pas de pénétration (4). En d’autres mots, vous pouvez vous faire lécher l’organe par votre poupée gonflable à 4 pattes, mais vous ne pouvez pas l’introduire dans ses orifices naturels. C’est légalement interdit. Comment M. Trudeau va faire pour pénaliser les délinquants n’est pas très claire pour le moment. À suivre…


Peter Singer, l’autorité suprême en ce qui concerne la relation aux animaux, le Karl Marx de la libération animale, voit quant à lui dans la zoophilie, la fin du spécisme, l’équivalent du racisme chez les humains. Ce progressiste d‘origine juive encourage à cette fin toute forme de sexualité entre les espèces (5). Il est temps de laisser tomber les frontières entre l’homme et l’animal comme il est temps de laisser tomber les frontières qui séparent les hommes, affirme Singer à peu près dans ces termes.


M. Kenneth Pyan (1960-2005), un ingénieur de la compagnie Boeing, était parfaitement d’accord avec M. Singer. M. Pyan adorait en effet franchir les barrières entre les espèces en se faisant sodomiser par un cheval. Il en est mort, le pauvre, l’intestin perforé par un étalon trop vigoureux et inconscient de ses limites.


Même le pédopsychiatre d’origine juive, Boris Levinson, l’instigateur des fausses allégations de la zoothérapie, un homme obsédé dans ses écrits par la sexualité des jeunes garçons, recommandait de son vivant la zoophilie avec autant d’enthousiasme que les ultras libéraux, Peter Singer et Justin Trudeau :



[...] Chaque grande ville est remplie de solitaires — des hommes et des femmes qui passent leur temps à contempler un monde apparemment hostile. Les plus fortunés ont des pets comme bouée de sauvetage. Quelques-uns de ces solitaires maintiennent un intérêt pour le sexe, mais sans avoir d’exutoire. Or, la masturbation, voire une relation plus intime avec leurs animaux, devrait être considérée comme désirable et normale.


À mon avis, il est malavisé d’interdire les relations sexuelles entre les animaux et les humains. Pour un enfant, la masturbation avec un animal est préférable à la masturbation en solitaire. Pour les quelques femmes qui s’assurent une gratification sexuelle en pratiquant le cunnilingus avec leur chien de poche, les animaux jouent un rôle d’hygiène mentale dans la mesure où ils permettent aux femmes de satisfaire des besoins qui autrement ne seraient pas assouvis.


(...) Se défouler sur les animaux sert à canaliser des comportements passibles d’être sévèrement punis légalement. Le voyeur par exemple, au lieu de devenir un peeping Tom qui embarrasse les femmes ou les couples engagés dans un rapport sexuel, peut ouvertement et sans honte observer ces comportements chez ses pets. Il peut même se masturber en même temps sans mettre en danger la paix publique et la morale. [6]



Or, d’un point de vue pratique, plusieurs maladies sont transmises des animaux aux humains par les relations sexuelles, notamment la brucellose, la leptospirose et l’échinococcose. Par conséquent, faire l’amour à son chien sans préservatif n'est pas à conseiller.


Des blessures de tout genre sont également à redouter, à moins, évidemment, de faire dégriffer et extraire les dents des animaux employés à cette fin par les vétérinaires. L'immobilisation de la chienne en chaleur dans une attelle de contention, une pratique courante dans les usines à chiots, va de soi (7).


Quant au sexe avec les animaux de ferme comme le cheval, c’est folie pure de s’y aventurer sans prendre les précautions appropriées. Vous pouvez, par exemple, avec un système de poulie placer un étalon au-dessus d’une femme libérée de ses contraintes morales, liberticides et ennuyeuses, mais assurez-vous que les cordes sont solides. Il peut arriver en effet que le système lâche et que le cheval tombe de tout son poids sur la candidate de sensations fortes qui en aura plein les bras, c'est le cas de le dire. En définitive, le sexe avec les équidés n’est pas de tout repos. Les ruades, les sursauts brusques, les morsures et les coups de rein violents sont à craindre. M. Kenneth Pyan, alias Mr. Hands, dont nous avons raconter les exploits ci-dessus, en savait quelque chose !


Et les Allemands de la République de Weimar aussi. Ils ont tout vécu eux-aussi en matières de zoophilie et de vices de toute sorte. Pendant la démocratie néolibérale à forte saveur juive qui sévissait en Allemagne de 1918 à 1933, la décadence ressemblait en effet étrangement à celle qui vient d’être décrite (8).


Berlin était la capitale mondiale du vice. Les pervers venaient du monde entier pour se livrer impunément à leurs penchants sexuels les plus dépravés. Les pauvres allemands affamés par les sanctions et le blocus naval que les vainqueurs de la Première Guerre mondiale leur imposaient se vendaient corps et âme aux plus offrants.


La nudité, la prostitution, les orgies, les cabarets de travestis et d'homosexuels, la traite des blanches et les violences de toutes sortes étaient endémiques, y compris les meurtres sexuels, le fameux « lustmord » (meurtre de luxure) qui faisait sensation dans les tabloïdes (9).


Aucun tabou, aucune barrière, aucune limite n’était respecté. Même les oies étaient victimes des pires sévices. Dans ses mémoires, The Europeans, le journaliste italien, Luigi Barzini, décrit en effet ce qui est possiblement l’acte sexuel le plus bizarre des annales de la sexologie :



J’ai vu des proxénètes offrir à peu près n’importe quoi à n’importe qui : des petits garçons, des petites filles, des adolescents vigoureux, des femmes libidineuses, des animaux. On racontait qu’une oie dont on coupait le cou exactement au bon moment extatique, vous donnez le plus merveilleux frisson que vous puissiez imaginer – vous aviez l’occasion de ressentir en même temps le plaisir de la sodomie, de la bestialité, de l’homosexualité, de la nécrophilie et du sadisme, sans parler du plaisir gastronomique, car vous pouviez manger cette oie par la suite. (10)



Le chirurgien, Magnus Hirschfeld, le fils d’un médecin juif renommé, était au centre de cette révolution sexuelle en tout point semblable à celle de la Révolution française, celle de la Révolution bolchévique et celle des années 60 en Occident. Ce fondateur de l’Institut de recherche sexuelle de Berlin pratiquait déjà à son époque des changements de sexe sur les transsexuels (11).


À l'instar des pornographes juifs actuels qui monopolisent l'industrie de la pornographie, l’ancien caissier de banque d’origine juive, Kurt Tukolsky, qui disposait d’un vivier sans fond de femmes au chômage, faisait par ailleurs des affaires d’or avec la pornographie (12).


L’art totalement décadent de cette époque préhitlérienne, que les élites libérales portaient aux nues n’inspirait pourtant que la dépression, la tristesse et la discorde. C’était l’époque du dadaïsme et du cubisme ;  les peintres juifs comme Hans Ludwig Katz faisaient la pluie et le beau temps. Et les photographes juifs comme Erwin Blumenfeld faisaient déjà dans leurs photos l'apologie du métissage noir-blanc (13).


Les médias, les éditeurs, le théâtre et le cinéma, dans les mains de juifs richissimes comme Theodor Wolff, Georg Bernhard et Rudolf Mosse, étaient comme aujourd’hui, les ennemis du peuple. Les tabloïdes, les livres, les pièces de théâtre et les films qu'ils produisaient ne servaient en effet qu'à détruire les fondements moraux de la société allemande et du christianisme, l'ennemi mortel des athés de leur genre (14).


Lorsque survint la dépression de 1929, la République de Weimar, la première démocratie néolibérale du monde sombra dans le chaos total. Les bolchéviques dirigés par les juifs, Rosa Luxemburg, Kurt Eisner, Paul Levi, Leo Jogiches, Ernst Toller, Erich Muhsam, Gustav Landauer, Eugen Levine et Karl Radek manifestaient librement dans les rues et s'apprêtaient à prendre le pouvoir ; l’argent ne valant plus rien, les requins de la finance juive achetaient pour une bouchée de pain les fleurons immobiliers de l’Allemagne ; les arnaques et les scandales financiers se multipliaient ; la mafia juive aux commandes était roi et maître (15)(16)(17)(18). 


 


Références


1. Dekker Midas. Dearest pet: On bestiality (2000). Verso books.


2. Bestiality and Zoophelia: Sexual relations with animals (2005). Éditeur : Andreas L. Beetz et Anthony L. Podberscek. Purdue University Press.


3. Interview avec Amily-James Koh-Bela (2004). La prostitution Africaine en Occident. Ccinia éditeur. Les Francs-Tireurs. TéléQuébec. Nov. 2006.


4. Michael Bédard (June 9, 2016). Il n'y a pas de crime de bestialité sans pénétration, dit la Cour suprême du Canada. Ici Radio-Canada.


5. Peter Singer (2001). Heavy petting. Nerve magazine (page consultée le 21 juin 2013).


6. Levinson Boris (1974). « Ecology of the Surplus Dog and Cat. » Chicago, Ill: Conference : 18-31; (1978). « Pets and personality development. » Psychological reports. 42 : 1031-1038; (1998). Pet-Oriented child psychotherapy, 2e edition. Charles C. Thomas.


7. Yi-Fu Tuan (1994). Dominance and Affection. The Making of Pets. Yale University Press.


8. Anne Kling (2015). Shoah. La saga des réparations. Éditions Mithra.


9. Benton Bradberry (2017). Le mythe du sale boche. La stigmatisation de l'Allemagne à des fins hégémoniques. Authorhouse, p. 148-157.


10. Brandford Hanson (2020). Pre-Hitler Germany Is America Today - What Was the 'Weimar Republic' and Why Is It Hidden From Americans? Truth to Power.


11. Ibid.


12. Ibid.


13. Ibid.


14. Ibid.


15. Ibid.


16. Anne Kling (2015). Ouvrage cité.


17. E. Michael Jones (2000). Libido Dominandi. Sexual liberation and Political Control. St-Augustine’s Press.


18. Benton Bradberry. Ouvrage cité.



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