Avant de prendre quelques vacances d’été un message d’espoir. Tout n’est peut être pas définitivement perdu pour la civilisation européenne minée par le mondialisme et son bras armé migratoire.
Si en France, la situation ne cesse de s’aggraver sous la pression d’un pouvoir médiatico- judiciaire traquant la liberté d’expressions, ce n’est pas pareil partout. L’année aura été marquée par la montée des peuples.
L homme fort marquant c’est l’italien Salvini, le chef de la ligue. L’ex femme forte est méconnaissable, s’excusant presque d’être toujours là, c’est la chancelière des migrants, désavouée par les sien,s Angela Merkel. Lors des prochaines élections européennes, il y a une chance que les Européens fiers de l’être l’emportent. Ce sera l objectif des nationaux et patriotes, s’emparer de leur Europe, prendre le parlement, en abattre le Babel bruxellois pour en faire un temple d Artémis.
Si demain les Européens des racines s’emparent de l’Europe transformée en empire et communauté de destin identitaire, tout peut changer.
C’est donc Salvini qui a raison. Le ministre de l’intérieur italien et chef de file de la Ligue, Matteo Salvini, a lancé le dimanche 1er juillet l’idée « d’une Ligue des ligues en Europe », réunissant les mouvements « qui veulent défendre leurs frontières », à l’occasion du rassemblement annuel de son parti souverainiste à Pontida, dans le nord de l’Italie.
« Je pense à une Ligue des ligues en Europe, qui unisse tous les mouvements libres qui veulent défendre le bien-être de leurs enfants », a lancé M. Salvini devant des milliers de sympathisants qui l’acclamaient. Plus tôt, il avait annoncé que les élections européennes de mai 2019 seraient « un référendum entre l’élite, le monde de la finance et celui du travail réel, entre une Europe sans frontières avec une immigration de masse et une Europe qui protège ses citoyens ».
Selon les médias, quelque 50 000 personnes sont venues de toute l’Italie pour cette grand-messe du mouvement organisée à Pontida, près de Bergame, où serait née, en 1167, la Ligue lombarde, une alliance de villes du nord de l’Italie contre l’empereur Frédéric Barberousse. Fort du double portefeuille de vice-premier ministre et de ministre de l’intérieur, dont il est titulaire depuis un mois, M. Salvini a réussi à imposer le thème des migrants à l’agenda européen en interdisant, au début de juin, l’accès aux ports italiens aux navires des ONG portant secours aux migrants en Méditerranée. Il les accuse d’être complices des passeurs, ce qu’elles contestent avec virulence. « La décision d’ouvrir les ports ou de les fermer, c’est le ministre de l’intérieur qui la prend », a-t-il martelé. Avec son style, il a conseillé à M. Macron de « se laver la bouche parce que l’Italie a fait beaucoup plus que les Français qui continuent de repousser des personnes à Vintimille », à la frontière franco-italienne.
Une ligne dure qui semble lui réussir selon les sondages, dont un récent, réalisé à la mi-juin par Ipsos, qui a montré qu’une majorité de ses compatriotes (59 %) approuvaient ses choix en matière d’immigration.
Une large adhésion dont la Ligue, alliée du Rassemblement national (RN, ex-FN) de Marine Le Pen en France, tire tout naturellement avantage : arrivée au pouvoir aux législatives, le 4 mars, avec 17 % des voix (en troisième position), elle était créditée, samedi, de 31,2 % des intentions de votes pour les élections européennes, faisant de la formation eurosceptique le premier parti d’Italie.
Les Européens qui aiment l’Europe, ses racines et son histoire ont trouvé peut être un leader…. un Duce, diront les autres.
Mais aujourd’hui, il ne faut pas marcher sur Rome, il faut marcher sur Bruxelles.