Mise à jour de la politique éditoriale de Vigile

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Vigile — Comité éditorial

Chers lecteurs, voici la mise à jour de la politique éditoriale de Vigile concernant les publications générales et les consignes pour soumettre des textes en tribune libre et pour soumettre des commentaires.

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Politique éditoriale de Vigile

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-* Vigile se réserve le droit de refuser tout texte sans avoir à justifier publiquement sa décision éditoriale.

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Vigile cherche à assurer à ses lecteurs une expérience de lecture enrichissante et agréable. Vous êtes donc priés de respecter les consignes suivantes lorsque vous intervenez sur le site:

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- Par respect pour les lecteurs, évitez les fautes d'orthographe, faire usage d'un correcteur (disponible pour les navigateurs, exemple pour Firefox).

Il est plus facile de rédiger, soigner la forme et corriger votre texte dans Microsoft Word (ou tout autre logiciel de traitement de texte), de le copier pour ensuite le coller dans la case prévue à cet effet dans le formulaire de tribune libre, et d'y effectuer la dernière mise en en forme (gras, italique, liens hypertextes, etc.).

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Vigile se réserve le droit de refuser tout commentaire sans avoir à justifier publiquement sa décision éditoriale.

***

Le conseil d'administration de la Société des Amis de Vigile :

Gilles Paquin, président,

Gilles Toupin, secrétaire,

Richard LeHir, trésorier

Julie Ducharme, conseillère


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29 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    22 avril 2013

    Oulala ,le Québecois 100 fois trahis, 100 fois violer, 100 fois voler , est maintenant obliger de ce soumettre a des regles et a un pouvoir de censure pour faire valoir ses idées de Quebec souverins , qui décidera de la pertinence des commentaires ? Qui sont ces hommes ? Des médaillés olympique,des présidents de compagnies ,des électriciens ,des cultivateurs ? Ou bien il sera encore question
    d intellectuels a l orthographe parfaite,ces grands intellectuels qui ne font que parler ou encore mélange le débat depuis maintenant 30ans!
    Tous cela me fais peur , une si belle idée ce Quebec indépendant , un si beau projet , un devoir! Et voila que le seule site a influence a pour politique la censure !

  • Archives de Vigile Répondre

    22 avril 2013

    En reprise:
    "Il y a les trolls. On finit par les reconnaître par le style d’écriture ou des idées mis en avant. Ce qui peut agacer l’équipe éditoriale, c’est l’association de commentaires à l’image de la plateforme.
    La modération est une forme de défense.

    J’ai déjà souligné que Vigile souffrait par l’absence d’un vrai forum. Si une forme d’anneau pouvait lier un babillard de nouvelles à une plateforme de blogues et un forum, ce serait une grande amélioration.
    Certains fora permettent aux membres inscrits d’apprécier des commentaires (Like) qui ajoutent à la réputation du posteur. Un commentaire mal-aimé se remarque. De même que la réputation du posteur.
    Une fois que la règle du jeu des réputation est connue, alors les posteurs s’arrangent pour bien écrire les postes.
    Tandis que les trolls anonymes sont pointés et confinés dans leur réputation.

    Pour en revenir à la campagne des Cent Fleurs, l’État garantissait la liberté d’expression. Mais c’était pour tromper les naïfs. Les personnes les plus intelligentes s’abstenaient.
    J'ai lu ce texte anonyme, et je l'ai trouvé très pertinent. Puis, j'ai appris qu'il avait été écrit par un certain "Francis Déry". Connaitre le nom de l'auteur n'a pas fait de différence sur ma réception, perception et compréhension du texte, bien au contraire. Or, avec cette nouvelle politique de Vigile, je n'aurais pas pu prendre connaissance de ce texte et nourrir ma réflexion, comme ce fut le cas.
    L'équipe éditoriale de Vigile ne manque pas d'hommes intelligents et volontaires pour la création de notre pays. Bien au contraire. Mais si par manque de temps, l'équipe a besoin d'aide pour le renforcement de Vigile, un appel d'offres pourrait être lancée sur Vigile. Je vous assure que vous trouverez les bras et les têtes que vous cherchez pcq Vigile inspire et suscite l'implication depuis plusieurs années. Le momentum doit être nourri et non freiné.
    En d'autres termes, l'équipe de Vigile peut ne pas se replier sur elle-même. C'est ce que Bernard Frappier souhaiterait. J'invite l'équipe à contourner les inconvénients de l'anonymat en innovant et non en l'empêchant. Déry propose des avenues intéressantes qui méritent d'être considérées.
    PS: Je suis consultant pour le fédéral, provincial et municipal. Lorsque c'est nécessaire, je n'hésite pas à dévoiler mes couleurs. Mais les révéler ici au nom du "courage" (???) revient à essayer de laver plus blanc que blanc. En bout de piste, à la moindre recherche sur Google, les mandants ne considéreraient même pas mes propositions. Affamé, je n'aurais même plus le temps d'écrire, je serai dans la rue à chercher des miettes.
    Jouer au matador de la conviction et de la transparence, est contre-productif dans le contexte qui nous occupe. Mes couleurs seront révélées au moment opportun. Et ce moment, n'est pas encore arrivé. Un homme, autonome de fortune (même modestement) est mieux positionné pour activer certains leviers. Je prépare cette autonomie...

  • Archives de Vigile Répondre

    22 avril 2013

    /…le régime ne s'y est pas trompé. Il s'est senti gravement menacé par une protestation intellectuelle…/
    /…Il s'agissait donc d'écraser au plus vite la contestation, réaffirmer la nature dictatoriale du régime, avant de devoir choisir entre répression sanglante et libéralisation, alternative dont celui-ci ne voulait pas…/
    /…La campagne des cent fleurs marque le divorce entre le pouvoir et la nouvelle société, la fin du consensus social qui avait régné jusqu’alors. Pour la première fois, la confrontation entre gouvernants et gouvernés, entre le Parti et le peuple, est envisageable…/
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Lin_Zhao
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Campagne_des_cent_fleurs

  • Archives de Vigile Répondre

    22 avril 2013

    /…La campagne des cent fleurs est l'histoire d'« une comédie qui va se muer en tragédie » (Jean-Luc Domenach). En effet, peu de temps après le lancement de la campagne, la contestation explose. Le Parti réagit rapidement et lance une répression féroce qui fera plusieurs centaines de milliers de victimes, emprisonnées, déportées et parfois exécutées…/
    /…Mais la version a été profondément remaniée, cette fois. Si les critiques sont autorisées, seules peuvent être acceptées celles qui s’avèrent bénéfiques en permettant au Parti de progresser. Cet article marque le début d’une violente campagne de répression contre les opposants au régime, qui touche toutes les couches de la société…/
    /…Les personnalités démocratiques sont contraintes de se soumettre à d’humiliantes séances d’autocritiques…/
    /…Certaines professions qui s'étaient le plus agitées subissent une répression très lourde, comme les professions juridiques (juges, avocats, notaires)…/
    /…Les étudiants sont particulièrement visés et les diplômés feront l’objet d’enquêtes politiques, devront désormais obéir au plan de répartition fixé par le Parti et accepter sans rechigner leur affectation…/
    /…De façon générale, le milieu universitaire est décimé…/
    /…À la campagne, les cadres locaux critiqués pendant le mouvement de rectification, pour leur dureté à l’égard de la petite bourgeoisie, leur bureaucratisme et leur sectarisme, sont accusés pendant la campagne de répression de faire preuve d’une trop grande indulgence à l’égard de la paysannerie locale…/
    /…Au total ce sont plusieurs centaines de milliers de personnes qui seront victimes de la campagne antidroitière, et en particulier les enseignants…/
    /… nombre d’intellectuels seront déportés et leur peine pour certains ne se sera levée qu’à la mort de Mao en 1976…/
    /…La version officielle présenta plus tard la campagne des cent fleurs comme un piège tendu par Mao afin d’amener tous les ennemis du Parti à se dévoiler. Mais il semble dans les faits qu’en lançant son mouvement de rectification, Mao ait sous-estimé l’ampleur du ressentiment de la société à l’encontre du Parti…/
    /…Cette répression devient rapidement une répression générale durant la période août-septembre 1957, qui ne vise plus seulement à pourchasser les « droitiers » mais tous ceux que leur situation ou leur passé rend suspect au pouvoir…/

  • Archives de Vigile Répondre

    22 avril 2013

    Lin Zhao (16 décembre 1932 - 29 avril 1968)
    /…Parmi ses écrits, elle propose des réformes réalisées depuis la mort de Mao. Elle considère « que lutter contre une dictature ne justifie pas que l’on en crée une autre ». Dans une correspondance au Quotidien du Peuple elle condamne la campagne « anti-droitiers » et accuse le Parti communiste chinois d’avoir utilisé « l’idéalisme de sa génération »…/
    Campagne des cent fleurs
    /…Le principe est de redonner une certaine liberté d'expression à la population, tout particulièrement aux intellectuels, pour critiquer le Parti. Si l'objectif officiel est que celui-ci s'améliore, Mao compte bien en profiter pour affaiblir ses adversaires et retrouver un certain ascendant sur ses camarades…/
    /…Pour rallier une population qui a perdu confiance, et plus particulièrement les intellectuels (Les écrivains, en majorité les plus jeunes s’insurgent ouvertement contre le contrôle bureaucratique qu’exerce le Parti sur l’activité créatrice…), le Parti décide de lever un peu le poids du contrôle politique (adoucissement des conditions d'emprisonnement, libérations au compte-goutte, timide dégel dans les milieux artistiques tenus jusqu'alors d'une main de fer par le Parti, etc.). Davantage de liberté est accordée aux écrivains, artistes et chercheurs. La pression idéologique s'atténue et les rapports du Parti avec les intellectuels se décrispent un peu. C'est dans le cadre de cette campagne de restauration de la confiance qu'est prononcée par Mao au cours d'un discours le 2 mai 1956 la phrase célèbre venue de l'époque des Royaumes combattants : « Que cent fleurs s'épanouissent, que cent écoles rivalisent ! » qui symbolise la timide libéralisation politique de cette période…/

  • Archives de Vigile Répondre

    21 avril 2013

    Note au lectorat,
    Le texte de Lin Zhao (林昭) est bien le mien.
    On peut reconnaître facilement le style et la culture.
    J'ai placé le pseudo Lin Zhao (林昭) parce que j'ai dû couper quelques paragraphes incluant un honneur à sa mémoire.

    Mon ex (qui n'est pas Lin Zhao) m'a affirmé avoir connu des problèmes politiques du fait de son activisme à Beida et dans les manifs de la place Tian An Men.
    Je la croyais alors. Mais elle n'a pas trop souffert puisque son père fut très haut placé dans l'appareil du Parti. Elle n'a jamais avoué, mais je suis maintenant moins naïf et je crois qu'elle était sur place d'abord pour faire des rapports, et ensuite faire un peu d'influence.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 avril 2013

    La campagne des cent fleurs (百花运动/百花運動) est une politique menée en Chine de février à juin 1957. ... Le principe est de redonner une certaine liberté d'expression à la population, tout particulièrement aux intellectuels, pour critiquer le Parti. Si l'objectif officiel est que celui-ci s'améliore, Mao compte bien en profiter pour affaiblir ses adversaires et retrouver un certain ascendant sur ses camarades.

    Prière de lire la suite sur la campagne des cent fleurs.
    Qu'est-ce qu'un nom ?
    Dans la culture bouddhiste zen que j'ai jadis fréquenté, un nom est un asservissement à une identité de famille, de caste, de clan, de nationalité, voire de religion. Elle lie un individu de chair à une personne (de l'Étrusque personna : masque de théâtre), qui devient une entité légale incorporé par un numéro d'assurance-sociale ou un acte de baptême.
    L'appartenance à un groupe qui permet sa protection et un plan de développement comporte toutefois une aliénation de ce que l'individu pourrait devenir s'il était complètement libre et conscient de ses potentialités.
    LeHir est une personnalité publique et politique. Il se doit une réserve pour mesurer la portée de ses propos, des impacts aux courts et aux longs termes.
    Jamais je n'oserais me comparer à LeHir.
    Moi, je n'ai point l'intention de briguer un poste public ou politique. Je peux me permettre de cultiver une spontanéité d'esprit recherchée par les adeptes du zen.
    Le contraire de l'ascétisme, c'est de manger lorsqu'on ressent la faim, de déféquer lorsque la charge est prête, et de pisser quand la pression de la vessie est suffisante.
    Même pisser est politique.
    Je puis comprendre qu'on veuille intervenir sans se brûler. La contribution peut être nulle ou intéressante. Le pire est de se faire une idée sans vraiment lire juste parce que nous connaissons l'auteur. La censure devient le "préjugé" du lecteur.
    Il y a les trolls. On finit par les reconnaître par le style d'écriture ou des idées mis en avant. Ce qui peut agacer l'équipe éditoriale, c'est l'association de commentaires à l'image de la plateforme.
    La modération est une forme de défense.
    J'ai déjà souligné que Vigile souffrait par l'absence d'un vrai forum. Si une forme d'anneau pouvait lier un babillard de nouvelles à une plateforme de blogues et un forum, ce serait une grande amélioration.
    Certains fora permettent aux membres inscrits d'apprécier des commentaires (Like) qui ajoutent à la réputation du posteur. Un commentaire mal-aimé se remarque. De même que la réputation du posteur.
    Une fois que la règle du jeu des réputation est connue, alors les posteurs s'arrangent pour bien écrire les postes.
    Tandis que les trolls anonymes sont pointés et confinés dans leur réputation.
    Pour en revenir à la campagne des Cent Fleurs, l'État garantissait la liberté d'expression. Mais c'était pour tromper les naïfs. Les personnes les plus intelligentes s'abstenaient.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 avril 2013

    Porter le chapeau de nos convictions dans un monde de plus en plus policé et judiciarisé, cela peut se payer très cher. Ce n'est pas tout le monde qui peut se battre pour protéger son droit de parole dans ce soit-disant monde démocratique.
    On l'a tous vu voilà moins de deux ans avec le fameux texte de Richard LeHir sur Claude Blanchet. Il a été retiré en moins de 36 heures.
    De plus, Michel Gendron écrit: 'Rien de plus détestable de se faire critiquer ou répondre par un « pseudo ». Néanmoins, il y a parmi ceux-ci des gens qui ont des opinions articulées qui méritent d’être lues.'
    Déjà que sous l'ancienne administration de Mr. Bernard Frappier, j'ai pu publier sous l'anonymat, ce fût une étape de plus pour moi. Pourtant, si l'on veut donner des détails ou perceptions d'un évènement précis sans que l'on soit pointé du doigt, l'anonymat est la seule protection pour faire connaitre au publique un certain contenu qui se veut privé et hors du publique.
    Bien sûr, il y a des personnes qui ont identifiés que derrière des pseudonymes, il y a des 'trolls' contrôlés par des agents gouvernementaux ou privés qui se cachent comme provocateurs.
    Par contre, depuis quelques mois, j'ai lu et vu sur Vigile des tendances comme suit: une certaine manipulation éditoriale et peut-être de la censure.
    Point central: il faudrait que Vigile m'explique comment un individu a pu retrouvé mon courriel associé à mon pseudonyme et de l'utiliser afin qu'il m’envoie ad noseam ses textes qu'il dit ne peut publier sur Vigile parce que celui-ci l'a probablement censuré! Je n'ai fait associer mon pseudonyme avec mon courriel qu'avec Vigile.
    Je sais que j'ouvre une boite de pandore en divulguant ce dernier point litigieux entres des personnes du CA de Vigile et cet individu. Pourtant, on nous demande de nous dévoiler en signant nos textes mais de l'autre œil mon courriel est encombré avec une source de 'pourriel' de plus (à 90% du temps je dois l'avouer).
    Je sais que cet individu veut bien faire dans sa démarche de nous avertir de la direction que prends Vigile, mais il y a des limites à propager mon courriel et d'utiliser celui-ci comme plateforme. Ce n'est pas une adresse Facebook quand même!
    Si, dans le pire des cas hypothétiques, Vigile a d'un côté censuré systématiquement cet individu et de l'autre côté celui-ci utilise mon courriel (et certainement plusieurs autres) comme plateforme pour rejoindre un bassin de lecteurs afin de faire pression sur Vigile, déjà Vigile a enfreint une de ses règles internes (que ce portail le veuille ou non) en dévoilant mon courriel à cet individu.
    Dans ce pire cas de figure hypothétique énuméré plus haut, c'est une synergie d’évènements qui peut repousser plus d'un à lire et écrire sur Vigile, incluant ma personne physique via mon pseudonyme. Déjà, pour d'autres raisons, certains ont 'claquée la porte' comme on dit.
    J'espère que ces deux acteurs auront le temps et la pertinence de m'expliquer leurs positions sur ce dernier point.
    Merci de votre compréhension.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 avril 2013

    « Moé, le monde, j’veux pas savoir d’où ils viennent, j’veux savoir où ils vont. Le monde, ils peuvent être blancs, jaunes, noirs, mauves, bleus avec des pitons jaune-orange : j’m’en câlice. S’ils veulent se battre avec moé, c’est mes frères ! » Pierre Falardeau
    Un nouveau vernis de conformisme chez Vigile ? Falardeau ou Bernard Frappier, vous auraient tiré les oreilles.
    On commence par un boulon, une pierre, une charpente...et viens à un moment donné oÙ il ne reste plus rien de la substance. Espérons que Vigile se ravisera.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    20 avril 2013

    Nouvelle équipe, bien intentionnée, vous avez vu qui fut le premier à défendre la parole, en priorité sur le culte de la personne: L'engagé. Ce participant s'est gagné l'admiration de nombreux Vigiliens, dès son apparition. Et monsieur Frappier, que vous admiriez tous, lui donna une place d'honneur. L'engagé s'est retiré en douce, récemment, comme pour accompagner Bernard Frappier?
    Les plus âpres détracteurs des pseudonymes semblent être d'anciens politiciens, journalistes, syndicalistes, bref, des inconditionnels de l'adulation de la personnalité. Des gens qui s'offusquent d'une opinion divergente de la leur, d'une pensée qu'ils ne peuvent confronter sans avoir le loisir d'aller Googler la personne en question, pour scruter ce qu'elle a pu écrire jadis d'incohérent?
    Au siècle français du "bel esprit", à la cour de Louis XIV, les aristocrates, souvent du clergé, appréciaient les joutes oratoires avec quiconque osait s'y présenter. On a vu un film démontrant le jardinier croisant le fer avec les "plus beaux esprits" qui ne dédaignaient pas ses estocades sans connaître ses origines de petit bourgeois.
    Bernard connaissait nos coordonnées et respectait nos interventions, parfois même les mettait en exergue en "une".
    Le plus simple serait de suivre son bon jugement. Quand il me trouvait inacceptable, il ne me publiait pas. Mais il était seul maître à bord. Or, sans lui, Vigile.net n'existerait pas aujourd'hui. Et maintenant, on nous accepte de plus en plus en commentaire au journal Le Devoir.

  • Archives de Vigile Répondre

    20 avril 2013

    Je partage la décision de Vigile.
    Rien de plus détestable de se faire critiquer ou répondre par un «pseudo». Néanmoins, il y a parmi ceux-ci des gens qui ont des opinions articulées qui méritent d'être lues.
    Je propose à Vigile ceci: maintenir la ligne éditoriale, sauf pour certains cas d'exception. Par exemple, une exception pourrait être acceptable pour quelqu'un qui travaille pour un ministère, fédéral ou québécois. De par leurs fonctions, il y en a qui ne peuvent s'afficher ouvertement. Et comme ceux-là peuvent avoir de l'analyse à revendre, il serait stupide de s'en priver. Que ces personnes aient la possibilité de prendre entente avec Vigile m'apparaît un compromis tout à fait acceptable.
    Me semble qu'il y a moyen de moyenner, et de permettre à ceux qui ont des contraintes valables d'exprimer leurs points de vue. Ces militants devraient pouvoir contacter Vigile pour faire part de leur inconfort. Cela compris et accepté, alors on ne s'offusquera plus lorsqu'on lira un «pseudo» sur la Tribune libre. On comprendra et on respectera. Protégeons notre monde, c'est tout.
    En toute amitié.

  • Archives de Vigile Répondre

    20 avril 2013

    Je quitte Vigile pour de bon. Depuis quelques temps, j'essayais encore d'y croire. J'ai pourtant l'étrange impression, lorsque j'arrive sur Vigile, de fréquenter le Devoir (espace pseudo-intellectualiste sans rigueur), la pub en moins. Je suppose que ça viendra.
    Force est donc d'admettre que ce que décrivait José Ortega y Gasset survient. L'homme-masse triomphe et la pression de la majorité médiatique et lénifiante aura eu raison du peu d'espace de liberté que l'on peut avoir sur la Toile. La règle des cinq cent mots montre bien toute la force et la bêtise de la majorité. Internet révèle son vrai visage : une vitrine devant laquelle le pauvre (intellectuellement parlant) crève de faim.

    Mais il y a d'autres voies beaucoup moins ségrégationnistes et plus intéressantes qui ne se contentent pas seulement d'une démocratie d'opinions susceptible d'être la victime de l'arbitraire de certains « bien-pensants ».
    Le siècle de l'obsession identitaire - non pas de l'identité - conduira ceux qui veulent à tout prix changer l'autre (l'altérité qui fonde les rapports entre les êtres) vers des horreurs qui feront passer les événements du vingtième siècle pour des peccadilles...
    Vigile est devenu opportuniste, ce que j'ai en horreur...

  • Archives de Vigile Répondre

    20 avril 2013

    Personnellement je crois qu’utiliser l’anonymat ou non relève de chacun, et personne ne peut imposer de l’extérieur son utilisation ou pas, peur ou pas, que l’être lui-même. En ce qui concerne la réputation et la crédibilité, rien de plus relatif, une personne avec un point de vue tout limité, de par sa vision étroite et restreinte, de par la définition même de ce qu’est un point de vue, n’évaluera jamais une autre personne qu’à partir de ses propres limitations, en ce sens, la crédibilité d’une autre personne est toute relative et change avec les individus, et personnellement, la réputation je n’en ai rien à faire. Réputé par qui ? Besoin d’être reconnu ? Il y a beaucoup de personnes dites réputés, et puis ? Est-ce nécessairement un indice de transparence, d’intelligence et d’objectivité ?
    Chacun est à même de voir, de filtrer pour lui-même, ce que l’autre en face de lui tente de lui communiquer, alors si l’homme de la rue, le laveur de vaisselle, le gars en arrière du camion à déchet, le curé, le banquier, le rentier, le notaire, l’avocat, le politicien, ou n’importe qui, y compris soi-même, à travers l’anonymat ou pas, me dit quelque chose d’intelligent, qu’il soit réputé ou non, je saurais le reconnaître par moi-même. Je veux dire que le gars ou la fille, qu’ils utilisent ou non l’anonymat, ce qui est essentiel, c’est ce qui transpire derrière ses propos, et non son nom, son prénom, son statut, sa reconnaissance ou pas par le peuple, par un parti, par une élite, un pape ou une institution, car la seule reconnaissance qui tienne, toujours selon mon point de vue, c’est celle de l’homme face à lui-même ou avec lui-même en son essence d’abord.
    S’attacher à son anonymat ou pas est secondaire, c’est le message qui compte, quel que soit le bonhomme qui le délivre, laissons chacun libre de se présenter comme il le veut, on n’est pas en dictature ici, en tout cas je l’espère. Plus il y a de règles, plus il y a de lois, plus il y a d’imposition de toutes sortes, moins il y a de liberté, et aujourd’hui, l’homme n’est pas différent d’hier, il a une tendance malsaine à tout vouloir régir autour de lui, tout règlementer, et il le fait toujours à l’encontre des autres sans le reconnaître, et sans savoir l’accepter, parce que le plus souvent il en est lui-même inconscient.
    Si le véritable but de Vigile est de facilité la libre expression de tous, universellement, quel que soit son statut, son intellectualité, son origine, son éducation, sa culture, il devra s’ouvrir à tous, en instituant le minimum de règle, sans ça, nous tomberons nous-mêmes dans ce que nous reprochons à d’autres, en limitant l’accès à la libre parole sur Vigile à une autre élite qui veut renverser une autre élite, et en excluant ainsi d’autres hommes qui auraient aussi quelque chose à dire s’il n’en était empêché encore par d’autres bêtises humaines.

  • Jocelyn Boily Répondre

    20 avril 2013

    Je suis entièrement d'accord avec la politique en autant que l'on respecte tous les souverainistes (purs, durs et un peu moins rigides).
    Jocelyn Boily est mon vrai nom

  • Oscar Fortin Répondre

    20 avril 2013

    À lire certains commentaires qui s'inquiètent de la mesure inscrite dans la nouvelle politique éditoriale de Vigile concernant l'anonymat sous motif d'être identifiés par les forces fédéralistes et être, éventuellement, poursuivis par ces derniers, je me suis demandé si la peur était un moteur pouvant nous conduire à l'indépendance.
    D’abord, ceux et celles qui pensent que les services de renseignement canadiens ne détiennent pas tout sur leur personne et leurs orientations politiques font preuve d'une certaine naïveté. Par contre, l'inverse n'est pas vrai pour l'infiltration de ces services à travers des personnes interposées qui interviennent sous anonymat sur des sites comme Vigile et bien d'autres aux orientations politiques et sociales qui ne cadrent pas avec la pensée unique. Pour ces dernières personnes, l'anonymat est tout ce qu'il y a de mieux pour s'infiltrer et se permettre de dire à peu près n'importe quoi. Pour cette raison je suis en faveur que toute personne participant à Vigile soit clairement identifiée auprès des dirigeants de Vigile et autant faire se peut auprès des lecteurs et lectrices de Vigile.
    En second lieu, l'histoire des indépendances de nombreux pays démontre qu'elle ont été le résultat de luttes menées à visage découvert par des patriotes qui n'ont pas craint l'adversité, le combat, la prison, la mort. Je ne suis pas de ceux qui vont se taire ou s'exprimer sous l'anonymat sous prétexte de me protéger des réactions négatives pouvant m'affecter. Je crois que la seule véritable réputation qui donne de la crédibilité est celle que nous pouvons assumer à visage découvert.
    Avec tout mon respect

  • Archives de Vigile Répondre

    20 avril 2013

    A relire le commentaire de Francis Déry: il vise dans le mille.
    J'imagine que l'équipe de Vigile est d'accord avec cette infame loi qui oblige les gens de manifester à visage découvert ?
    Vous croyez que nous serons épargnés par la crise bancaire et que ce que décrit F. Déry n'arrivera pas ici?
    Vous croyez que le gouvernement respecte les règles démocratique de base? Regardez ce que l'on a fait à Michaud de facon complètement illigitime, pour ne mentionner que cela.
    Je n'ai jamais signé mon vrai nom et utilisé à certaine reprise un proxy pour cacher mon adresse IP. Ce que j'ai à dire comme anonyme est aussi vrai que sous mon vraie nom. Je protège mes arrières et je suis presque certain que je n'ai pas réussi. Tous les indépendantistes sont fichés par la GRC et Vigile a le DEVOIR de protéger ses sources, contributeurs, auteurs, etc.
    Faute d'une réponse de Vigile sur ce sujet délicat, je serai également contraint de ne plus écrire ici. Ce que je comprends des nouvelles règles, c'est que l'équipe éditoriale ne comprend pas les dangers d'une exposition des véritables identités. Dommage.

  • Archives de Vigile Répondre

    20 avril 2013

    Je ne sais pas si les Vigiliens ont suivi la situation à Boston, hier (19 avril). Le gouverneur a interdit au monde de quitter leur foyer. Les transports en commun arrêtés. Pas de circulation automobile. La police et l'armée qui procédaient à des fouilles systématiques des domiciles sans mandat.
    C'était une situation de loi martiale non déclarée.
    La Constitution américaine et les droits et libertés du peuple ont été bafoués. Mais les média n'ont fait que rapporter des gens enthousiastes de la manière des forces de l'ordre.
    Les indépendantistes d'ici doivent s'en inquiéter, car le gouvernement fédéral pourrait toujours déclencher une crise pour laquelle des solutions martiales sont déjà préparées.
    Quelques semaines avant la mort de Fredy Villanueva en août 2008, une voiture de Police essuie quelques coups de feu sur la rue Pascal à proximité du parc Henri-Bourassa. Pas de victimes, mais le quadrilatère comprenant cinq rues fut bouclé. Les citoyens ne pouvaient plus sortir de chez eux, ou y revenir. La police fit du porte à porte pour quêter des renseignements, mais il semble qu'elle n'a pas procédé à des fouilles complètes des intérieurs, faute de mandat.
    Je signe habituellement mes textes dans le champ "Qui êtes-vous ?" Il est précisé que c'est optionnel. Ce qui contredit la politique de Vigile.
    Le fait que Vigile n'a pas à justifier sa censure en privé ou en public me cause un problème. Parfois on aimerait savoir pourquoi un texte travaillé peut être refusé. Est-ce un problème technique ou une bourde politique ?
    La réponse permettrait de corriger le texte et de le renvoyer.

  • Oscar Fortin Répondre

    19 avril 2013

    @Gilles Jean : vous m'apprenez que vous êtes porteur d'un autre nom que celui qui vous définit dans la vie de tous les jours. Pourtant vous ne cessez de nous rappeler les nombreuses fonctions que vous avez occupées dans divers milieux soit syndicaux ou de politique à divers niveaux. J'ai toujours compris que vous étiez un homme public qui n'avait pas froid aux yeux pour dire les choses comme il les pensait.
    Qui me dit si vous n'êtes tout simplement pas un acteur qui peut s'attribuer n'importe quoi et se permettre de dire n'importe quoi sans que personne ne puisse en vérifier les véritables fondements? Je ne pense pas que le développement de Vigile puisse se fonder sur l'anonymat.
    Moi, qui ne suis qu'un parmi tant d'autres, je m'affiche à visage découvert sur des sujets parfois explosifs ou, pour certains rétrogrades. Il n'y a pas de honte à porter honorablement l'étendard de ses convictions et d'en assumer les contraintes qui peuvent en surgir.
    Mon nom est toujours Oscar Fortin et mon site internet est toujours
    http://humanisme.blogspot.com
    Avec tout mon respect.
    Oscar Fortin

  • Archives de Vigile Répondre

    19 avril 2013

    Pourquoi se limiter à 500 mots dans les commentaires? Si nos commentaires dépassent 500 mots et que nous ne voulons pas rédiger d'articles, alors que fait-on? On est exclue de Vigile par un règlement purement arbitraire! Personnellement je ne suis pas d'accord pour limiter le nombre de caractères! On se fait tellement limiter partout aujourd'hui, j'espère que Vigile revisera cette règle auto-limitative absurde; comme si on pouvait placer l'esprit libre dans une boîte! Laissez donc l'esprit s'exprimer librement comme il l'entend!

  • Archives de Vigile Répondre

    19 avril 2013

    En 70 on fichait et emprisonnait les indépendantistes du Québec. Plus de mille !
    Vous croyez que ce sera différent si on se lance dans un autre référendum un peu plus corsé et que les Feds font comme aux Etats-Unis et décident de nous planter des bombes dans le c...pour pouvoir mieux justifier une intervention armée ou un contrôle des citoyens? Ceux qui pensent le contraire sont naifs, voire niais.
    La GRC et les libéraux provinciaux ont fiché Vigile depuis longtemps. Le moindre que l'on puisse faire, c'est de protéger les auteurs et commentateurs de Vigile. Les serveurs de Vigile ne sont pas invulnérables et peuvent être hacké par les Feds. L'anonymat et la capacité de cacher le IP de notre ordinateur deviennent essentiels dans une stratégie informationnelle qui se tiennent. Faute de quoi, vous exposez les patriotes à des attaques de l'adversaire.
    L'objectif central de Vigile est d'aider les Québécois à se donner un pays. Vigile le fait par la voie d'une plate-forme d'échange d'idées, d'informations et liens Internet. En quoi l'anonymat nuit à cet objectif. Si les textes font problème, l'équipe éditoriale n'a qu'à censurer.
    Et puis, comment vérifier la véracité du nom des auteurs ?
    Bref, Vigile se tire dans les pieds en suivant la voie des médias de masse. Je l'invite à reconsidérer sa décision.
    PS: Rappelez-vous lorsque Bergman, Charest et Fournier ont accusé Vigile d'antisémitisme. Ca fait réfléchir, n'est-ce pas ?

  • Serge Charbonneau Répondre

    19 avril 2013


    Monsieur l'engagé, votre commentaire est très judicieux.
    Je l'approuve à cent pour cent.
    Pour moi, il est clair que Vigile se donne des outils exactement comme tous les médias et exactement les mêmes outils pour contrôler le discours.
    Et contrôler le discours signifie censurer.
    On peut parler de ligne éditoriale et de "nétiquette", mais en fin de compte, on parle de censure.
    De plus, Vigile, n'a aucunement l'intention de se démocratiser. Le Comité éditorial tient à son pouvoir absolu sans appel et sans recours.
    Telle une dictature, on dit:
    «Notez que l’équipe éditoriale se réserve le droit de ne pas publier certains textes pour les raisons énumérées ci-haut et selon ses politiques éditoriales, sans avoir à expliquer sa décision publiquement ou en privé. »
    Le pouvoir absolu sans partage et sans avoir à se justifier.
    Marchez au pas et dites ce qui plait sans quoi vos mots ne seront jamais lus, exactement comme dans les médias de masse.
    -------------
    Autre volet: l'anonymat.
    Tout comme les médias de masse, Vigile ne semble pas tellement préoccupé par l'anonymat et l'utilisation des pseudonymes.
    Vous utilisez ce pseudonyme depuis belle lurette, mais je crois que vous devriez ajouter votre nom. Le moindre des courages c'est d'avoir celui de ses idées.
    De plus en signant vous maintenez en santé cette caractéristique de la démocratie qui dit que nous avons la liberté de parole et de pensée. Nous n'avons pas besoin de dire dans l'anonymat parce que l'on craint les représailles.
    Salutations,
    Serge Charbonneau
    Québec
    P.S.: Ce commentaire sera-t-il censuré ?
    Nos défenseurs de la démocratie savent la limiter lorsque nos libertés les importunent ou que nos discours divergent trop de leur vision.

  • Archives de Vigile Répondre

    19 avril 2013

    Je supporte entièrement cette mise à jour de la politique éditoriale de Vigile. Je la trouve très bien. Bravo.

  • Archives de Vigile Répondre

    19 avril 2013

    Je fais comme Gilles Bousquet:
    http://www.vigile.net/Trop-de-Vigiliens-revent-d-y
    Je respecte la nouvelle politique de VIGILE. C'est pourquoi, je demande à VIGILE de retirer tous les messages, dans le fichier "auteurs", au nom de Gilles Jean.
    Je passe à autre chose!
    En tout respect!Et sans rancune!

  • Archives de Vigile Répondre

    19 avril 2013

    M. Oscar Fortin a écrit:" En somme, aucun inconnu, refusant de s’identifier personnellement, ne pourra intervenir sur Vigile. Il me semble que c’est le minimum qui puisse être exigé. Je pense que nous sommes à l’ère où il nous faut porter le chapeau de nos convictions.".
    "Le chapeau de mes convictions", je l'ai porté toute ma vie durant dans mes nombreux engagements.
    Si c'est le cas, moi je débarque. Je ne suis pas intéressé à ce que mon nom traîne sur la Toile.
    Et je débarquerai aussi du financement. En finançant, VIGILE sait qui je suis.Et j'ose espérer qu'il a respecté la confidentialité.
    Mais si c'est la règle, pas de problème! Je m'y conformerai. Je m'en irai en tout respect!

  • Oscar Fortin Répondre

    19 avril 2013

    Je suis bien d'accord avec l'élément de la politique qui exige que les intervenants le fassent à visage découvert. J'ai cru comprendre, toutefois, que certains cas pourraient bénéficier du privilège de ne pas être identifiés auprès des lecteurs et lectrices de Vigile tout en devant l'être auprès des responsables de Vigile. Dans ce dernier cas, j'espère que ce sera l'exception et que les raisons invoquées soient vraiment sérieuses. En somme, aucun inconnu, refusant de s'identifier personnellement, ne pourra intervenir sur Vigile. Il me semble que c'est le minimum qui puisse être exigé. Je pense que nous sommes à l'ère où il nous faut porter le chapeau de nos convictions.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    19 avril 2013

    Si j'interprète bien L'engagé, j'approuve l'opinion que les lecteurs reconnaissent depuis 5 ans le style et l'engagement indépendantiste de Ouhgo, réduit à O en commentaire, marque que n'est pas près de rejoindre la signature impersonnelle de Hugues St-Pierre. Même si j'y ajoutais un N.A.S. et une fade photo de tête blanche. M'enfin... Nous sommes entre nous!
    Atteindrons-nous le prestige de la centenaire ACTION NATIONALE?

  • @ Richard Le Hir Répondre

    19 avril 2013

    Réponse @ L'Engagé
    N'ayez crainte, Anarchopanda conserve son droit de cité sur Vigile, et nous continuons de porter le même intérêt aux attracteurs étranges.
    Richard Le Hir

  • Serge Charbonneau Répondre

    19 avril 2013

    Le non-respect de ces consignes entraîne la non-publication d’un commentaire.
    Et Vigile ne censurera jamais !
    Serge Charbonneau
    Québec

  • L'engagé Répondre

    18 avril 2013

    Bernard me semblait apprécier la figure des attracteurs étranges, je crois qu'Anarchopanda, par exemple en fait partie. S'il écrivait dans Vigile, serait-il publié? Ce n'est pas certain. Pourtant, c'est un artisan de notre libération. Son combat contre P-6 s'inscrit dans un idéal républicain, d'indépendance, sa révolte est saine.
    Je sens que Vigile s'enferme au lieu d'aller à la rencontre de Moïse Marcoux-Chabbot, de GAPPA, de la Montagne rouge, des acteurs du Printemps érable, on a par exemple énormément à gagner à couvrir Deneault et ses livres, de Offshore (qui s'inscrit dans les analyses de Le Hir) à Gouvernance .
    Les attracteurs étranges sont là, il suffit d'aller les trouver, ils étaient beaucoup moins visibles, actifs et matures il y a un an.
    La politique éditoriale devrait s'approcher de ces derniers, je vous invite à réfléchir à la manière d'y arriver. Moïse Marcoux-Chabot et Bernard Frappier aurait fait un duo D'ENFER.