Pour aider leurs petits amis, les banquiers, nos gouvernements ont passé toute une batterie de lois qui leur permettront, entre autres, de voler vos dépôts au cours de la dépression économique qui commence. Lors de la crise des subprimes de 2007-2008, nos gouvernements n'ont rien exigé des banquiers alors même qu'ils ont sauvé leur banques avec l'argent de vos impôts. Pire, aucun des responsables de cette crise n'a été poursuivi. C'est le sujet de la présente vidéo.
Bon visionnement.
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1 commentaire
François Champoux Répondre
29 mars 2023Bonjour M. Nantel,
Je viens de visualiser votre participation à une émission de «RadioInfoCité»; quand je vous ai entendu parler des Caisses Desjardins, j’ai pensé que ça devait faire plusieurs années que vous aviez participé à une assemblée générale annuelle (AGA) d’une Caisse Desjardins.
Personnellement, mes participations aux AGA de Caisses Desjardins m’ont valu mon exclusion radicale et arbitraire de mes Caisses : 6 fois en 8 ans (2011 à 2019) je fus exclu par les règlements de régie interne 4.6 (saine conduite d’un membre) et 4.7 (réprimande, suspension, EXCLUSION) implantés par Monique F. Leroux en 2010 dans toutes les Caisses Desjardins.
Sommes-nous en train, nous tous citoyens manipulés par nos dirigeants et bien-pensants, sommes-nous, dis-je, en train de nous fabriquer une récession ou plutôt une révolution? Une espèce de guerre civile qui fera des morts et des désastres bien plus importants que ceux provoqués par Claude Béland lors de sa présidence du Mouvement Desjardins!
Il faut lire René Croteau («Un patrimoine coopératif défiguré et dénaturé; le Mouvement Desjardins, 1997 - 2003, en bibliothèque seulement), ancien directeur général de la Fédération des Caisses populaires Desjardins de Lévis pour commencer à comprendre le «sapin» que les sociétaires des Caisses se sont fait passer par celui que nous croyions être le pape de la coopération.
J’ai découvert depuis 3 ans une extorsion de fonds, lesquels fonds appartiennent aux sociétaires de la «coopérative» financière (dont je suis membre et témoin à ma Caisse d’économie solidaire Desjardins de Québec) (CÉSD), le tout afin d’aider quelques membres «entreprises» favorisés par la direction de la Caisse; d’après ce que j’ai entendu de votre part sur la manière des «banquiers» de nous voler, cette extorsion ne serait qu’une goutte d’eau dans la manipulation de notre crédulité. Imaginez : cette Caisse retire les ristournes à ses membres «individuels» afin de les donner à quelques membres «entreprises» qu’elle qualifie de «socialement responsables»! En 2022, les dirigeants de la Caisse ont distribué 1,600,000. $ à 302 entreprises : 302 entreprises sur 21 000 membres, c’est 1.4 % de tous les membres de la Caisse qui ont reçu une ristourne!
Une de mes connaissances a reçu 10 000. $ pour sa petite entreprise de réparation d’objets, et le journal «Le Devoir» est parmi les entreprises régulièrement dotées par l’exploitation des 21 000 sociétaires de la Caisse!
Desjardins est-il encore une coopérative? La CÉSD, présidée par Gérald Larose jusqu’en 2020 est-elle encore une coopérative?
Comment peut-on exploiter 21 000 sociétaires de la sorte et se dire encore une coopérative?
Tout Desjardins se vante de faire des dons, des commandites, des subventions avec l’argent des sociétaires innocemment exploités pour faire une belle réputation de «généreux» à mesdames et messieurs nos dirigeants.
La crédulité exploitée de la sorte par nos dirigeants (pour la plupart grassement rémunérés depuis 2005, par l’intervention d’Alban D’Amours à cette fin, auprès du gouvernement du Québec : Bernard Landry et Monique Jérôme Forget) est une honte et un mépris inqualifiable.
Le trafic d'influence va très bien chez Desjardins parce que tous les gouvernements du Québec (et l'AMF) laissent faire et se ferment les yeux et se bouchent les oreilles.
François Champoux, Trois-Rivières