C’est une idée, un projet pour promouvoir à la fois l’histoire ancienne de la Nation québécoise et l’industrie touristique basée sur ce que notre région a de plus authentique. N’oublions pas que la Nouvelle-France contenait, à une certaine époque, les 2/3 de l’Amérique du Nord (traité d’Utrecht-1713). Soyons-en fiers et affichons-le. Vous verrez que même les Américains se déplaceront.
Voici une première impression de ce que pourraient devenir les Fêtes seigneuriales élargies à toute la Côte-du-Sud. Certaines de ces idées proviennent de plusieurs différentes personnes.
Chaque village de Kamouraska à Beaumont organiserait un événement rappelant le régime français.
Ce pourrait être, dans un village, un déjeuner costumé ; dans un autre, une messe seigneuriale suivie d’une criée publique ; dans un autre encore, un pique-nique champêtre avec concours de costumes d’époque ou une cérémonie de plantation et noircissement du Mai, une vieille tradition ; parade de soldats et miliciens ; musique de la Nouvelle-France ; danses folkloriques, contes et légendes ; dîner champêtre avec jeux d’époque ; démonstration de métiers d’antan ; défilés de costumes anciens ; différentes reconstitutions historiques ; rassemblements de vieilles familles sud-côtoises ; souper costumé ; mise en valeur du patrimoine, tournée des lieux et monuments historiques ; diverses reconstitutions historiques ; conférenciers, etc.
Gageons que des acteurs de la Fête de la Nouvelle-France viendront faire valoir leurs costumes et talents en nos lieux.
Bien sûr, œuvres artistiques, artisanat et produits locaux seraient mis en évidence.
Je fais suivre le projet à différents intervenants du domaine touristique en espérant qu’il cheminera vers une large concertation et qu’ils obtiendront les budgets nécessaires.
À certains endroits, il ne suffira que d’incorporer un ou quelques-uns de ces évènements à la programmation officielle de leur fête ou festival respectif déjà existant.
Il faut toujours essayer de renouveler l’offre touristique périodiquement et demeurer à l’avant-garde.
Qu’en pensez-vous ? Vaut-il la peine de constituer un comité ?
Faites suivre, s.v.p., et merci,
Alain Raby
13 janvier 2011