Le ras-le-bol des québécois est indéniablement le produit de la proverbiale goutte d’eau d’un bol qui était déjà plein à rebord. De voir nos enfants frappé par un police poussée à bout par des manœuvres partisanes détournant la justice et l’ordre à des fins électoralistes on enlevé toutes pudeurs aux héritiers de la révolution tranquille.
Comme beaucoup d’autres gouvernements malsains ou incompétents, nous assistons à la seule véritable souveraineté sans laquelle aucuns régimes, d’aucun pays ne peut subsister, celle du peuple, gueulard, désorganisé mais authentique que les élites appellent la plèbe ou la rue.
Il y a bien les quelques privilégiés, s’étant fortement enrichis avec les subventions de l’État qui préfèreront toujours jouer le jeu de la peur auprès des autres, la majorité des gens ceux qui doivent travailler pour dépenser l’argent qu’ils ont gagné. Ces biens pensants qui agissent par lâcheté, par paresse ou par habitudes feront toujours tout pour mettre la pression sur le peuple, même lorsque le gouvernement est fautif. Parce que pour maintenir ou augmenter leurs privilèges, frapper sur ceux qui ne peuvent pas répliquer, comme les infirmières, les étudiants, les personnes âgées ou la classe moyenne, permet encore d’engranger des profits et de paraître respectable en ne faisant rien et surtout rien contre le pouvoir qui vous nourrit.
La monarchie constitutionnelle canadian, qu’on n’a pas signée mais que l’on subit anoblie tout les crimes qui sont voté par une majorité de députés, même un loi qui a été seulement faite pour couvrir une période électorale, qui vise la société en s’attaquant à un individu ayant un mandat d’une assemblée étudiante, qui bafoue des lois fondamentale garantissant la paix publique pour y imposer son ordre, son agenda. Comment ne pas sortir de ses gongs ou à défaut de chez soi quand ce gouvernement qui parle d’une seule voix exprime qu’il faut voter aux élections pour donner à un parti un chèque qui est en blanc qui a par la suite tout les droits. On l’a bien vu, le bâillon voté par un PQ majoritaire pour faire passer des projets de lois filibusté par le PLQ fini quelques creux de votes historiques plus tard en un bâillon du PLQ majoritaire utilisé pour censuré l’Assemblée Nationale qui n’est plus l’Assemblée Nationale. A ce titre ces deux partis qui sont opposé sur les forment se rencontre sur les fins et sont tout deux responsables du désaveu de la population qui n’a le choix de s’en remettre à elle-même.
Combien au PQ ont retourné leurs vestes, Claude Morin, Claude Bachant, Lucien Bouchard, Monsieur effet de toge, « dormez au gaz de schiste les petits » qui a ouvert la porte à ses amis pour une dépossession tranquille de toute la vallée du St-Laurent, une politique qui allait être reprise plus tard par les libéraux qui n’en demandaient pas tant. Il y a aussi les dauphins drettistes de Lucide Bouchard, comme Joseph Facal et André Boisclair et une frange importante du caucus actuel du PQ qui veulent vendre l’idée que le Québec doit faire comme l’Alberta pour passer dans la moyenne canadienne pour sortir de la péréquation qui nous coûte au minimum 2G$. Que dire aussi de cette foutue tendance du parti québécois à se dire juste assez souverainiste, sans jamais rien faire de concret, pour avoir quelques identitaires québécois qui sont majoritairement pour l’indépendance et à gauche tout en prônant une pseudo social-démocratie de droite pour rejoindre plus de monde et juste assez éthérée pour pas trop sentir l’oncle Sam.
Enfin, comment croire un gouvernement du parti Libéral alors que ce parti sans vision dont le pouvoir est la seule idée et qui n’est qu’un cercle au sommet d’un système de corruption ou des élections clé-en-main au niveau scolaires et municipales permettent d’installer dans la représentation oligarchique de l’Assemblée Nationale du Québec un groupe de députés n’ayant aucun intérêt à la pérennité du territoire et des institutions dont ils ont la charge. Parce que pour eux le Québec sera toujours l’ultime menace à l’intégrité du pays étranger qui soutient leurs privilèges et leurs identités de colonisés, le Canada!
Les québécois forment 67% de la population du Québec, les canadien-français 17% et les canadiens 14%, mais le seul endroit ou les québécois peuvent encore se reconnaître, c’est dans la rue, C’est normal, puisque malgré les réactions incendiaires de quelques policiers exaltés, coincés entre le mur et la peinture des manœuvres anti-démocratique du PLQ, pour le peu de courage qu’il reste à quelques québécois est qu’ils se sentent en sécurité et plus seul parce qu’à part l’air qu’ils y respirent, fourvoyés et dépossédé par les deux groupes parlementaires qui jouent à la chaise musicale, il ne reste plus grand-chose.
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