Sa religion lui dictera toujours ses priorités

Le nouveau chef sikh du NPD

Un péril pour la laïcité des institutions

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Tribune libre


Le candidat sikh à la direction du NPD au nom imprononçable comme aurait dit avec l'humour qu'on lui connaît le bon maire de Saguenay, a déclaré au début de sa campagne qu'il allait se référer, s'inspirer, se soumettre à sa religion pour décider comment les choses devraient être, pour bâtir son programme électoral, pour orienter sa prise de décisions s'il était élu.


La chose importante à retenir d'une affirmation aussi énorme de conséquences, c'est que nombre d'immigrants des pays sous-développés arrivent ici déjà pleinement endoctrinés par leur religion contrôlante et se montrent incapables de s'en libérer pour la remplacer efficacement par la mentalité évoluée des pays occidentaux.


Cela signifie que si jamais ils réussissent à décrocher un poste officiel et décisionnel, ils se montreront les zélotes soumis à des doctrines, idéologies, religions et superstitions incompatibles avec notre système de valeurs établi et officiel.


Autrement dit, M. Jagmeet Singh ne semble pas prêt à agir en fonction du bien commun tel que nous l'entendons généralement, mais selon ce que lui dictent ses croyances religieuses intériorisées, dans la soumission et l'obéissance aveugle. Il cherchera toujours à remodeler la société dans la direction de ses croyances, dans la même lignée que tente de le faire également l'islam conquérant.



C'est précisément une telle attitude qui fait de cette intentionnalité une réelle menace au principe de laïcité appliqué au fonctionnement de nos institutions.


Certains compareront cette attitude à ces membres de secte au cerveau reprogrammé, qui resteront marqués à vie même s'ils réussissent finalement à s'en extirper au prix d'efforts surhumains.


Croyez-le ou non, c'est au Canada que se trouve désormais la plus grande communauté sikh en dehors de leur pays. Autrement dit, le Canada est devenu un pays satellite du Pakistan, une destination cible à investir en masse.



On notera également la présence de 3 députés sikhs au Parlement, toujours aisément repérables autour de M. Justin Trudeau, une disproportion inquiétante par rapport à leur démographie réelle.


Cela démontre la puissance de leur association qui vient même de réussir à faire changer la loi sur la sécurité des Canadiens en forçant les autorités à accepter les couteaux dans les avions pour qu'eux puissent circuler partout avec le kirpan qui n'est rien d'autre qu'une arme blanche potentiellement dangereuse. Cela révèle sans l'ombrer d'un doute leur soif de pouvoir et de domination.



S'ils prétendent que cette arme tranchante est inoffensive et n'est portée qu'à titre de symbole, une lame molle en caoutchouc flexible fera tout aussi bien l'affaire. Et le symbole sera sauf!


Au fait, saviez-vous que tous les sikhs portent le même nom de famille Singh? Curieux, n'est-ce pas? Cela est imposé par leur religion et sert à démontrer que c'est elle qui les contrôle dans tous leurs agissements, et qu'ils acceptent de vivre en totale soumission à ses préceptes. Ce patronyme de Singh leur sert à différencier clairement les 2 camps: nous les sikhs et les autres.


Où commence l'intégrisme, l'extrémisme, l'activisme, la radicalisation? La ligne de démarcation est parfois fort ténue.



À ce propos, un autre Singh apparenté, Jaggi de son prénom, récemment arrêté à Québec pour de telles activités, montre qu'on est en droit de se poser de telles questions...


Et notre candidat habile danseur du NPD, visiblement fier comme un paon, de vouloir nous faire croire qu'il pourra subitement et facilement faire abstraction totale de son endoctrinement de toute une vie pratiquante...


Mais il vient de se produire un revirement de situation. Aux dernières nouvelles, le nouveau chef du NPD à l'orgueil démesuré aurait changé son fusil d'épaule, euh, son kirpan de bord, en nous assurant que jamais au grand jamais il ne se laissera influencer par les principes de sa foi religieuse pour prendre la moindre de ses décisions. Mon œil!


Mais voyons donc, un tel conditionnement mental de toute une vie ne s'efface pas comme par magie en un claquement de doigts. Ne s'en libère pas qui veut. Il n'y a pas de commutateur pour l'arrêter à volonté. Et dans le cas qui nous concerne, peut-on croire qu'il le veuille véritablement? Il est permis d'en douter.



Quelqu'un qui mène sa vie à 100% en tant que disciple sikh ne peut se lever le matin pour aller travailler de 9 à 5 en faisant une totale abstraction de ce dont il est totalement imprégné jusqu'à bout des longs cheveux dissimulés sous son turban et de la barbe hirsute qu'il n'a pas le droit de couper.


Transposons au Québec : imaginez si 3 imams intégristes se faisaient élire à l'Assemblée nationale par la communauté musulmane de Montréal, croyez-vous un seul instant qu'ils se mettraient à défendre les valeurs québécoises et occidentales? Jamais en 100 ans, ces imams devenus députés prioriseront d'abord et avant tout les intérêts de leur communauté dans le cadre de l'avancement hégémonique de l'islam conquérant.



Pour prouver sa volonté de changer, que M. Singh commence donc pour voir par se débarrasser de son arme blanche ostensible lorsqu'il pénètre au Parlement pour montrer qu'il est capable de se défaire de l'emprise de sa religion...


Le principe de laïcité de nos institutions doit pouvoir triompher de toutes les tentatives d'imposition de religions étrangères et de leurs pratiques archaïques qui ne conviennent pas à une société évoluée comme la nôtre.


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Réjean Labrie890 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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2 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    14 décembre 2017

    La commentatrice politique anglophone de Radio-Canada déclarait que M. Singh était devenu le leader des immigrants du Canada.



    N'est-ce pas curieux de voir que certains immigrants, peut-être même la majorité d'entre eux, se perçoivent comme une communauté devant se liguer pour se battre contre les natifs, et ayant absolument besoin d'un chef né ailleurs pour les représenter?


    Ils voient 2 camps opposés: eux et nous.


    C'est comme s'ils disaient qu'ils ne veulent rien savoir de nous, allant jusqu'à se montrer méfiants devant tout chef qui serait natif du pays.


    Ils veulent comme chef quelqu'un qui nous fera reculer et qui les fera avancer.



  • Yves Corbeil Répondre

    27 novembre 2017

    Le jour ou le Québec deviendra un Bollywood j'espère que je vais être mort. Comment peut-on autant ridiculiser ces institutions avec des Trudeau et Singh qui aspire à gouverner, des ''preacher'' sorti d'une boite de cracker jack. Sommes-nous rendu aussi bas.