Dévaliser le Québec

Le duel Québec-Canada: Vidéo 7 (Nantel)

Voici les données sur les vols commis par les Anglos au Québec même

Chronique de Jean-Jacques Nantel

Cette vidéo décrit le système qui, encore aujourd'hui, permet aux Anglophones d'origine britannique de dévaliser les francophones et ce, au Québec même.
Bon visionnement,
Jean-Jacques Nantel, ing.


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8 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    21 février 2013

    Oui
    On laisse le rayonnement de nos universités à la communauté anglophone comme s'ils étaient mieux que nous. Alors que dans les faits ils reçoivent plus d'argent que nous. Comment se fait-il que les recteurs des universités francophones ne se plaignent pas de leur sous financement alors que la part du lion va à McGill?

  • Simon Massicotte Répondre

    19 février 2013

    Très intéressant tout ça! :-)
    Merci!

  • Archives de Vigile Répondre

    17 février 2013

    Merci M. Nantel pour cet exposé très bien campé. Je fais suivre avec plaisir sur fb.

  • Archives de Vigile Répondre

    17 février 2013

    Merci M. Nantel pour cet exposé très bien campé. Je le partage également sur FB.

  • Chrystian Lauzon Répondre

    16 février 2013

    Monsieur Nantel,
    Merci pour ces faits socio-politiques à inégalités économiques de fond(s) entretenues systématiquement.
    Au lieu de se fendre en quatre pour une dette bullaire cyclique programmée par le Haut et appauvrir le peuple par des pseudos et éphémères équilibres budgétaires à visée de déficit qui ne donne jamais zéro, une gouvernance qui se veut souverainiste devrait se préoccuper de ce vrai rééquilibre budgétaire proportionné Francos/Anglos et exiger désormais un détournement zéro.
    Pour ce faire, dans le cadre même de la campagne médiatique « Commission Charbonneau » d’épuration du passé, le PQMarois/Marceau devrait décréter la mise sur pied d’un comité responsable de rétablir la répartition proportionnelle des biens, services et coûts de l’État selon les besoins réels et proportionnels des communautés francophone versus anglophone. Et ce rétablissement devrait se faire sur la base quantitative des besoins et des communautés, pas sur la base de la protection de la langue mais strictement au plan économique.
    Le domaine de la protection du français relevant de la Charte de la langue et de la loi 101… à bonifier, c’est le moins qu’on puisse dire.
    Par ce rétablissement comptable un vrai débat économique s’engagerait pour montrer avec évidence aux Québécois comment ils sont appauvris et maintenus pauvres et cette prise de conscience s'opérant, leur voix se ferait entendre sur cette revendication économique, première forme territoriale d’indépendance non pas idéologique mais concrète.
    Et les médias seraient ainsi forcés de parler des vraies disparités de faits, non de querelles de langue ou de partisannerie politique, donnant lieu aisément à désinformation. Le retournement du détournement strictement en termes de redressement économique de l’État et de ses dépenses, voilà une stratégie pratique et dans l’esprit d’élimination systémique de collusion et de corruption. Retour du balancier dans la balance économico-sociale.
    Il y a là une promotion certaine de l’indépendance du Québec, sans même avoir à en débattre idéologiquement : l’argent n’a pas d’odeur, n’est-ce pas – donc sans allégeance politique associée comme la justice en elle-même n’a pas de parti « pris »? Prouvons-le, exécutons-le dans la saine gestion gouvernementale. Et, informée par le portefeuille, la majorité franco-québécoise, même analphabête, se fera sans doute éloquente, enfin, revendicatrice de justice et de fierté économiques, plutôt que silencieuse dans sa pauvreté confortable de classe moyenne acceptée par défaut, nonchalance et désinformation.
    Peut-être qu’au lieu de pouvoir se limiter à pointer « quelques carrés rouges » et la méchante populace de la Rue, les médias devront parler maintenant des bruiteurs de petite monnaie et des défilés des poches percées remplaçant les casseroles, les manifs francos du « dollar équitable » des masses populaires du Québec prenant la relève des étudiants.
    Les « adultes-gueux » prenant la place des dits « enfants-rois » pour les chroniqueurs et journalistes banalisateurs de nouvelle.
    Question en terminant : comment se fait-il, monsieur Nantel, que jamais nos grands économistes, et des plus indépendantistes parmi eux, n’ont jamais mener ce combat des disparités « budgétaires » institutionnalisées sur la place publique et au cœur de l’État durant tout ce temps, afin de modifier la donne? Je pense à Bernard Landry en particulier, ou mieux, moins à droite et néolibéraliste, à Jacques Parizeau? D’autant si la PUISSANCE agrandie d’une communauté, majoritaire de fait, en est le résultat?
    C’est un peu comme pour les avocats, les économistes véritablement défenseurs du citoyen ne courent pas les rues… mais ceux qui courent au devant du peuple en politique, les souverainistes en particulier, qu’attendent-ils pour rectifier le tir : le véritable nerf de la guerre?!!!

  • Serge Jean Répondre

    16 février 2013

    Merci;très très intéressant.
    Jean

  • Tremblay Sylvain Répondre

    15 février 2013

    Pour lire les textes du vidéo, Diane, mettre au plein écran et prendre une copie d'écran avec un logiciel de capture d'écran, par exemple XnView (qui est excellent), clic sur icône Capturer et valider, puis F10 sur le clavier pour prendre la photo d'écran, qui se retrouvera dans le répertoire indiqué. Ensuite, utiliser un logiciel photo pour l'agrandir encore plus, au besoin. XnView fait aussi ce travail.
    Effectivement, ce vidéo de la série est très fort, il montre que nous sommes en-dessous depuis l'arrivée des Anglais, et qu'ils ont tout prévu pour ne pas qu'on se relève. Nous garder en-dessous constamment, par tous les moyens, la langue étrangère, les pouvoirs politiques et économiques.
    La conclusion est étonnante, les Anglais ne sont plus le problème, ce serait plutôt la coutume de tout leur accorder, leur donner, alors ils en profitent et ne veulent évidemment rien changer à celà. C'est devenu une coutume. Mais c'est là qu'il faut s'arranger pour briser cette coutume ou cet état de fait, qui nous nuit énormément et nous empêche de progresser normalement.
    C'est une manière de voir les choses, un état de fait qui est une coutume, comme si c'était normal et qu'on ne peut rien y changer. Pourtant, effectivement, ils ne sont pas nécessairement plus intelligents que nous, ni plus beaux ni plus fins, rajouterais-je. Alors, c'est quoi l'affaire?
    Je pense que l'affaire c'est que le Canada n'a pas été fondé en 1867, pour nous, mais plutôt au tout début de la Colonie, au 17e siècle. Pour eux, le Canada, c'est la colonie britannique, mais pour nous c'est toujours celle française. Nous vivons dans deux mondes différents, nous avons une vision complètement différente du monde, de notre pays, de notre patrie. De ce point de vue, notre autorité est bien supérieure à la leur, elle est d'origine, pas importée.
    Changer les coutumes d'asservissement qui nous desservent, voilà tout un programme. C'est dans les esprits que ça commence, cesser de répondre en anglais pour rien, comme si nous n'étions pas chez-nous. Cesser de subventionner à tous vents des requêtes anglophones disproportionnées. Cesser de se sentir petits, incompétents, hors-normes. Etc.. Imaginons nous par terre depuis 250 ans, comme nous le démontre éloquemment m. Nantel, ce n'est pas qu'une figure de l'esprit. Avons nous encore besoin de coups, de réprimandes, de quolibets, d'ordres, de ponctions, de cession de terrain, etc.? Pour se relever, il faut cesser de tout donner ce qu'il nous reste, nous n'avons plus rien, faisons semblant que nous sommes pauvres, sans le sou. Ainsi ils vont cesser de nous achaler et on pourra reprendre les forces requises pour nous relever de cette longue saga de la cession de la Nouvelle-France à l'Angleterre. Pour nous, ça reste la Nouvelle-France, même si le nom s'est perdu dans l'oubli, à force de tout donner.
    Nous continuons l'oeuvre de nos ancêtres qui ont fondé ce pays. Il y a eu une coupure épistomologique, une coupure de sens, arrangeons nous pour la réparer, plutôt que de s'en accommoder comme si c'était devenu une coutume, ce qui fait bien l'affaire de gens qui pensent nous diriger parce qu'ils parlent la langue de l'occupant.

  • Archives de Vigile Répondre

    15 février 2013

    Cette vidéo-là, elle frappe très fort !
    Dommage que les chiffres soient si petits. Peut-on y avoir accès d'une autre manière ?
    Merci beaucoup. Je m'empresse de la placer dans ma page FB.