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Affirmant pour sa part ne rien regretter, M. Bellemare a tenu à répéter dans son communiqué qu'il avait «dit la vérité» et que la commission avait été un «cirque pitoyable». L'avocat souligne qu'il continuera «d'exprimer ses opinions sur la conduite des affaires de l'État comme c'est le droit fondamental de tout citoyen dans une démocratie». D'ailleurs, il entame son communiqué en réitérant son appui à la demande d'une enquête publique sur l'industrie de la construction «et sur les relations que cette industrie entretient avec le gouvernement et le Parti libéral du Québec».
Cette liberté d'expression «ne change rien au fait que s'il décidait de tenir à nouveau certains propos, le premier ministre pourrait se prévaloir de ses droits», a-t-on répondu dans l'entourage de Jean Charest.
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