L’enclave terroriste d’Idleb ne cesse de développer ces capacités militaires grâce à la Turquie et les reste des pays de l’Otan et est devenue officiellement la seule entité non-étatique ou du moins non officiellement reconnue comme telle à développer et à utiliser des gaz de combat dans un conflit ouvert.
Le nombre d’unités militaires relevant des organisations terroristes retranchées dans la province rebelle d’Idleb ne cesse croître et certaines portent des dénominations fort bizarres telles que « Gardiens de la Religion » (Horass Eddine), « Instance d’incitation des croyants au combat » (Hay’at Tah’rid Al-Mouminine ila Al-Kital), « Instance de Liberation du Levant » (Hay’at Tah’rir Al-Sham) mais tous émanent plus ou moins des différentes branches d’Al-Qaïda® en Syrie. Toutes ces unités radicales sont soutenues, financées et armées par l’OTAN et les royaumes Arabes.
Idleb est devenu un très gros problème.
La rhétorique guerrière teintée de références religieuses apocalyptiques des principaux chefs des organisations terroristes d’Idleb ne laisse aucun doute sur les intentions belliqueuses et expansionnistes de cette enclave protégée par l’OTAN.
Cette armée d’Idleb a utilisé 150 obus et des roquettes à têtes chimiques contre les quartiers pro-gouvernementaux d’Alep sans susciter la moindre réaction internationale.
En moins d’une semaine, des unités terroristes ont tenté de pénétrer le dispositif défensif syrien protégeant les limites septentrionales de la province de Lattaquié, la province la mieux défendue et fief supposé du régime syrien. Selon la propagande terroriste d’Idleb, disposant de médias de plus en plus lourds, signe d’un afflux financier plus conséquent de la part des sponsors internationaux, les unités rebelles ont pu détruire un important centre de commandement syrien chargé de la zone nord.
En réalité, une dizaine de kamikazes ont tenté de se faire exploser à l’entrée de postes d’observation de l’Armée Arabe Syrienne (AAS) mais la plupart ont été abattus par les mitrailleuses des miradors.
Une autre tentative rebelle cible actuellement la zone centrale de Hama.
Cela démontre que la province rebelle d’Idleb est utilisé comme une tête de pont adjacent aux provinces syriennes où se situent les bases aériennes et le port militaire russes.
Les relations économiques et financières entre Idleb et la Turquie ne cessent de croître de façon exponentielle.
L’abcès d’Idleb fait pendant à la zone septentrionale tenue par les kurdes et aux camps militaires étrangers de l’Euphrate. Ce sont des tâches sur la souveraineté de Syrie. Ils sont encerclés par les moyens militaires encore disponibles de Damas et ceux de ces deux alliés iranien et russe.