LA NOTION D'ACCOMMODEMENTS RAISONNABLES, SES LIMITES ET SES EFFETS SUR LA SOCIÉTÉ
Par Anne-Marie Dion
Québec, mai 2008
Voici un texte sur la question des accommodements raisonnables d’une étudiante de Secondaire V présenté dans le cadre du Programme d’éducation internationale (PEI) au Petit Séminaire de Québec.
La notion d’accommodement raisonnable a fait couler beaucoup d’encre ces derniers mois mais peu de jeunes sont intervenus pour offrir leurs opinions. En présentant son texte, l'auteur de 16 ans a exprimé son désaccord sur la conviction émise par certains à l’effet que sur 10 personnes qui demandent aujourd’hui un accommodement, 9 auront des enfants qui diront un jour «je n’ai plus besoin d’accommodements pour vivre au Québec» (Journal SSJB, avril 2008). S’il faut faire confiance au temps, il faut favoriser l’intégration qui permet de véritables échanges. La ghettoïsation, l’exacerbation des différences, le multiculturalisme et la multiplication des accommodements qui divisent ne permettent pas l’unité. Ainsi, comment peut-on affirmer que 90% des enfants de ceux qui ont choisi cette voie la rejetteront par la suite? Pourquoi rejetteront-ils ce que leurs parents n’auront eu cesse de leur inculquer? Selon l'auteur, c’est l’intégration respectueuse des individus qui permet une vie sociale harmonieuse et il faut que le «bon sens» retrouve sa place dans notre société.»
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La notion d'accommodements raisonnables, ses limites et ses effets sur la société
Selon l'auteur, c’est l’intégration respectueuse des individus qui permet une vie sociale harmonieuse et il faut que le «bon sens» retrouve sa place dans notre société.»
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