Imaginez le gros lot mensuel

L'immigré récent sans travail doit accomplir des travaux communautaires

Sinon, pas de chèque d'aide sociale

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Tribune libre

Il se produit une curieuse situation chez les immigrés qui n'ont jamais travaillé depuis leur arrivée au pays: l'habitude rapidement prise de se laisser entretenir et nourrir par les mamelles de l'état québécois.


Ce serait la moindre des choses que tout immigré travaille pour mériter son généreux chèque d'aide sociale, pour lequel il n'a eu qu'à poser le pied au pays pour se faire prendre en charge par l'état, et se voir entretenu avec l'argent des contribuables, qui ne lui doivent strictement rien après tout.



Imaginez le gros lot mensuel qu'ils reçoivent sans avoir à faire quoi que ce soit en retour, surtout si vous additionnez les suppléments substantiels dus au nombre élevé d'enfants. Certains d'entre eux reçoivent gratuitement en 1 seul mois, et sans travailler le moindrement pour, ce qu'ils gagnent en travaillant 3 ou 4 mois dans leur pays d'origine!



Pas surprenant que le programme de réunification familiale, permettant au reste de la famille incluant les parents vieux et malades (à la capacité d'intégration nulle), fonctionne à plein régime. Et comme dans certains pays du tiers-monde famille proche et parenté éloignée se confondent... on imagine facilement les dérapes.


Il faut aussi noter que dans plusieurs pays du tiers-monde, il n'existe tout simplement pas de système d'aide sociale comparable au nôtre. Pour eux, s'établir ici, c'est comme gagner à la loterie de $ 1 000 dollars par semaine à vie! Ils n'en croient tout simplement pas leurs yeux de voir leur porte-monnaie se garnir tout seul le premier de chaque mois!


Tout immigrant devrait sentir qu'il a des comptes à rendre, des obligations à remplir. Il doit sentir une pression constante à se trouver du travail et à s'intégrer rapidement à la société d'accueil.


Il serait tout à fait normal que le ministère de l'aide sociale exige de tout immigré récent qu'il exécute divers travaux communautaires pour mériter tout l'argent qu'on lui donne, en attendant qu'il se trouve un véritable emploi rénuméré.


Il reviendrait à chaque palier de gouvernement fédéral, provincial et municipal de fournir leur liste de travaux communautaires pouvant être effectués par les nouveaux arrivants pour justifier l'obtention de toute prestation monétaire.



Tenez, si on était aux États-Unis, on pourrait par exemple les obliger à construire le grand mur séparateur du Mexique pour accélérer sa construction. On en aurait peut-être besoin d'un ici aussi par les temps qui courent, lorsqu'on voit le désastre dû aux frontières poreuses prises d'assaut.


Il restera à l'immigré sans travail assez de toutes ses soirées et des fins de semaine pour naviguer sur internet et faire des démarches pour se trouver un emploi en bonne et due forme.


De plus, il serait logique que tout immigré qui finit par se trouver du travail soit tenu de rembourser toute les prestations d'aide sociale reçues. Elle seraient considérées alors comme un prêt temporaire pour faciliter l'installation au Québec, pas comme un don sans condition.


À l'aide sociale (où j'ai longtemps travaillé), il y a déjà en place tout un service de recouvrement des sommes trop-payées. Les agents d'aide sociaux-économiques pourraient se charger de conclure avec eux des ententes de remboursement à tant par mois, jusqu'à ce que la dette soit totalement remboursée.


Le Québec ne doit pas être vu comme un hospice de charité universelle devant héberger et prendre en charge tous les milliards de miséreux de la Terre qui se présentent à sa porte pour une prise en charge permanente.


Il sera toujours tout à fait inadmissible que certains individus plus finfinauds que d'autres et qui savent abuser du système, trouvent le moyen de se faire entretenir à vie dans un autre pays que le leur.


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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3 commentaires

  • Pierre-Yves Dubreuil Répondre

    11 janvier 2018

    @ claude fortin


    le régime capitaliste ultra-libertaire-victimaire dans lequel on vit nécéssite une cohésion nationale très forte pour fonctionner efficacement. or en ce moment au Québec, il n'y a rien, à part cette idéologie, sur quoi on peut s'appuyer pour bâtir une harmonie sociale et économique... Ce qui mène au inexorablement au chaos. Forcer les nouveaux arrivants à des travaux n'a strictement rien à voir avec le nazisme, même si c'est une suggestion radicale. 



    le vrai problème c'est l'effacement et l'affaissement culturel et historique du Québec en dehors ainsi que dans le cadre canadien,ce dernier favorisant la marginalisation du Québec comme entité disticnte,  ce qui mène nécéssairement à un remplacement de population et de culture à terme, puisqu'il n'y a plus assimilation. Il s'agit de la même façon d'une invitation aux québécois de souche de retrouver leur culture d'origine, aussi diverses soient-elles. par exemple devrais-je me réapproprier mon origine irlandaise et normande et probablement un peu amérindienne sans compter la langue et chercher mes semblables? Est-ce que c'est dans l'intérêt de tous de le faire? à quoi ça servirait et ça mènerait. Pour l'instant je décide de faire preuve d'un peu d,altruisme et de me réclamer «de souche» pour faire grandir la démocratie au niveau local. Quel est le mal?



     De la même manière, je serais curieux de connaitre votre réaction si vous découvriez un sans abris malade venant du El Salvador, par exemple, sur votre divan le matin après que votre femme, par exemple, ai mise une affiche sur la façade ou l'on peut lire «Sainte maison du bon dieu. Ouvert à tous»....


  • Yves Corbeil Répondre

    11 janvier 2018

    Voyons donc, on peut faire tellement mieux pour arrimer les gens qui veulent joindre notre société.



    Premièrement, on doit s'assurer quelle genre de société on veut NOUS MÊMES puis s'assurer ensuite de les mettre au courant dans quoi ils/elles s'embarquent.


    Deuxièment, s'assurer qu'ils/elles apprendront le français, oui le Canada est ''bilingue'' mais au Québec, le français prime.


    Troisièmement, régler le problème de reconnaissance de diplôme.


    Quatrièmement, la discrétion des croyances religieuses est nécessaire et voulu dans une société multiculturelle qui vet être respectueuse de tous ces citoyens sans discrimination, favoritisme ou accomodement de quelques sortes.


    Cinquièmement, il faudrait peut-être revoir la fameuse charte des DROITS ET LIBERTÉS qui porte à confusion sur les droits de sociétés quand il y a une multitude de valeurs qui y sont pratiqué.


    Sixièmement, septièmement, huitièmement, neuxièmement, dixièmement... à définir si il y a lieu.



    Un genre de contrat social qui ne fera que seulement mettre sur papier les RAISONS POURQUOI TANT DE GENS VEULENT VENIR HABITER CHEZ NOUS AU QUÉBEC, juste ça, rien de plus, rien de moins.


    Exctement comme le coach des ''Thundering Herds de Marshall University'' l'a dit au directeur du programme de football complètement décimé suite à un accident d'avion en 1970, après la première victoire de l'équipe, il lui a remis le ballon du match et le DG a dit mais je ne suis pas un joueur, le coach lui a dit oui mais nous autres nous sommes Marshall et on accepte n'importe qui. (Gros problèmes de recrutement quand le programme est décimé et que ça va prendre des années à rebâtir donc une dérogation de la ligue pour les joueurs plus jeunes et la signature de tous ceux qui pouvaient contribué à faire avancé le programme.) Comme nous au Québec avec notre jeune société francophone dans un environnement précaire, on ne va pas se tirer dans le pied pour faire plaisir aux anglais qui veulent nous intégré dans NOTRE pays, bien oui on étaient ici avant eux avec les autochetonnes qui sont les vrais propriétaires de lieux.


    Je vois cela comme ça aujourd'hui et SURTOUT je suis bien, bien fatiguer d'être affublé par toutes sortes de quolibets méchants pour demeurer poli.


  • claude fortin Répondre

    11 janvier 2018

    stigmatiser ces gens n'aideras certainement pas , je pousse un peu plus loin votre pensée ., pourquoi pas un brassard de différentes couleurs selon l'origine de la personne ? oups ca me rapelle quelque chose de pas très positif