Je me sens comme un minou écrasé sur l'asphalte !

Tribune libre 2008


Le nous est à genoux

Devant le fou qui impose tout.

Le nous fâché se dit tout-à-coup :

Il y a toujours un sacré bout

On ne peut pas toujours être un mou

Qui se fait tasser n’importe où

Aussi, on se demande à quel jeu jouez-vous

Pour voter, démasquez-vous

Nous sommes gentils, regardez-nous

On n’est pas des durs nous, on est doux

Certains disent même de nous

Que nous sommes des maudits mous

Mais ça, que voulez-vous

C’est de naissance ce défaut bien à nous

Mais vous le pompon, calmez-vous

N’oubliez pas que vous entrez chez-nous

Les traditions, les coutumes, à nous

Devraient être respectées par vous

Comprenez-vous

Arrêtez de jouer au fou

Et prenez votre trou

Et dans votre tête souvenez-vous

Quand vous êtes partis de chez-vous

Comment c’était chez-vous

La paix chez-vous?

La liberté chez-vous?

Le respect des femmes chez-vous?

Ici, on a tout ça et bien plus nous

Alors intégrez-vous

Comme on le ferait nous

Si on entrait chez-vous.
Un point c’est tout ! Chu tu tanné !!
-- Envoi via le site Vigile.net (http://www.vigile.net/) --


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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    28 août 2008

    Minou doux mais pas mou, relevez-vous !
    De nous à vous, faut pas devenir fous
    Vaut mieux être debout qu'à genoux...
    écrapoutillé, ayoye, sous leurs roues