Le nous est à genoux
Devant le fou qui impose tout.
Le nous fâché se dit tout-à-coup :
Il y a toujours un sacré bout
On ne peut pas toujours être un mou
Qui se fait tasser n’importe où
Aussi, on se demande à quel jeu jouez-vous
Pour voter, démasquez-vous
Nous sommes gentils, regardez-nous
On n’est pas des durs nous, on est doux
Certains disent même de nous
Que nous sommes des maudits mous
Mais ça, que voulez-vous
C’est de naissance ce défaut bien à nous
Mais vous le pompon, calmez-vous
N’oubliez pas que vous entrez chez-nous
Les traditions, les coutumes, à nous
Devraient être respectées par vous
Comprenez-vous
Arrêtez de jouer au fou
Et prenez votre trou
Et dans votre tête souvenez-vous
Quand vous êtes partis de chez-vous
Comment c’était chez-vous
La paix chez-vous?
La liberté chez-vous?
Le respect des femmes chez-vous?
Ici, on a tout ça et bien plus nous
Alors intégrez-vous
Comme on le ferait nous
Si on entrait chez-vous.
Un point c’est tout ! Chu tu tanné !!
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1 commentaire
Archives de Vigile Répondre
28 août 2008Minou doux mais pas mou, relevez-vous !
De nous à vous, faut pas devenir fous
Vaut mieux être debout qu'à genoux...
écrapoutillé, ayoye, sous leurs roues