Pauvre Justin. C’est pas drôle d’être le fils de PET. Je comprends ta faiblesse et tu as toute ma sympathie. Ton père, malgré les apparences était colonisé lui aussi, même s’il était un intellectuel instruit et riche. Il ne croyait pas en la force de son peuple. Au contraire il le rapetissait sans cesse pour mieux nourrir son complexe.
Pour lui nous n’étions pas une nation, ni un peuple, ni une société distincte, mais plutôt qu’un groupe populaire secondaire. C’est ça être colonisé !
Dans ses années de pouvoir, son ton frondeur, sa désinvolture et son manque de respect pour ses compatriotes québécois en ont marqué plusieurs et bien sûr les fédéralistes l’ont chaudement applaudi. Sûrement toi aussi qui grandissait à ses côtés.
Par manque de courage, il a choisi le Canada pour mieux enterrer le Québec. C’était plus facile pour lui. Il n’avait pas le courage de reconnaître la nation québécoise. C’était au dessus de ses forces : triste bilan d’un homme hautain et colonisé !
Et aujourd’hui, toi mon petit Justin, quand tu parles, c’est encore ton père qui dicte tes paroles. Et c’est ça qui n’est pas drôle !
Denis Lalande
Justin Trudeau
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6 commentaires
Denis Lalande Répondre
30 juillet 2008Merci à tos ceux qui ont fait des commentaires sur le texte que j'ai écrit. Vous avez raison, ce n'est pas colonisé le qualificatif pour décrire correctement le père de Justin, traître aurait été plus approprié .
D.Lalande
Archives de Vigile Répondre
29 juillet 2008M.Lalande, PET s'adressait à Justin dans la langue de Shakespaere dans la vie courante et dans la langue de Molière devant les journalistes en visite à la maison. Why do you speack in french now, daddy! La vérité vient de la bouche des enfants.
Archives de Vigile Répondre
29 juillet 2008Trudeau n'avait rien d'un nationaliste. Il n'était ni Canadian ni Québécois. Il se voyait comme un "citoyen du monde" et appartenant à la classe mondial dirigeante et "supérieure" (noblesse). Il avait même horreur du nationalisme américain. C'est pourquoi il instaura la loi sur le multiculturalisme afin de noyer les deux peuples "fondateurs" dans une mer multiculturelle et il remit le contrôle de l'économie de la fédération canadian dans les mains des banquiers internationaux (noblesse) dès 1974. Il est de la même trempe que son mentor Desmarais.
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
29 juillet 2008M.Lalande,
Preuve que ces échanges sont profitables réciproquement: M. Bousquet nous rappelle que le colonisateur ne peut être le colonisé. Par contre, il retiendra la précision que dans sa citation d'une locution latine, il faut dire "A mari", pour signifier "la provenance" au lieu de "A mare" qui s'applique correctement à la finale "Ad mare", pour "la direction": "D'un océan à l'autre."
Archives de Vigile Répondre
28 juillet 2008Un colonisateur qui choisit le camp du vainqueur est encore plus colonisé qu'un simple colonisé résigné, parce qu'il se sent fort de la faiblesse de ses semblables.
Archives de Vigile Répondre
28 juillet 2008Je ne crois pas que PET était un colonisé. Il était plus colonisateur que colonisé si on veut demeurer dans cette idée.
La mère de PET était anglaise et la mère du fils était aussi anglaise. L'anglais était plus colonisateur que colonisé, selon mes lectures. PET était 50 % anglo et Justin est donc le mélange de 100 % anglo plus 50 % anglo qui fait 150 divisé par 2 pour trouver la moyenne, ce qui fait 75 % anglo, selon mes cours de maths.
Fait que...faut trouver un autre terme que colonisé pour PET père et fils. Ça serait full-fédéraliste canadia(e)n et fier de l'être.
Ils ne peuvent quand même pas être fédéralistes et souverainistes en même temps. Ils sont bilingues canadiens avec légers penchants vers l'anglais. C'est aussi le cas de la famille de Paul Martin et de Jean Charest qui sont issus de mélanges des 2 principales races canadiennes. Ils sont tous full-bilingues, le rêve de PET "A mare usque ad mare". Ils voient une nation au Canada, la canadienne. Une parle français principalement, la canadienne-française et l'autre, parle principalement l'anglais, la canadienne-anglaise. Pour eux, la Québécoise n'existe pas puisque le Québec n'est pas un pays mais une simple province.