Elle est belle, intelligente, engagée, notre Pauline, et, peut-être, indépendantiste.
Dommage qu'elle soit péquiste, c'est-à-dire congénitalement impuissante à faire du Québec un État indépendant, libre et souverain.
Après que ce parti ait pris tous les détours possibles et imaginables, autant qu'inimaginables dans une lutte de libération nationale, voilà que la nouvelle chef de ce parti nous en propose un nouveau: celui d'éviter les raccourcis.
Andrée Ferretti
Il faut le faire
Tribune libre - 2007
Andrée Ferretti124 articles
"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "
Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille mod...
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"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "
Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille modeste, elle fut
l'une des premières femmes à adhérer au mouvement souverainiste québécois
en 1958.Vice-présidente du Rassemblement pour l'indépendance nationale, elle
représente la tendance la plus radicale du parti, privilégiant l'agitation sociale
au-dessus de la voie électorale. Démissionnaire du parti suite à une crise
interne, elle fonde le Front de libération populaire (FLP) en mars 1968.Pendant
les années 1970, elle publie plusieurs textes en faveur de l'indépendance dans
Le Devoir et Parti pris tout en poursuivant des études philosophiques. En 1979,
la Société Saint-Jean-Baptiste la désigne patriote de l'année.
Avec Gaston Miron, elle a notamment a écrit un recueil de textes sur
l'indépendance. Elle a aussi publié plusieurs romans chez VLB éditeur et la
maison d'édition Typo.
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2 commentaires
Robert Bertrand Répondre
28 juin 2007Le Pays du Québec est porteur d'un objectif.
Il faut le faire avec ou sans le PQ.
Qui donc peut assumer cet objectif sinon le peuple lui-même ?
Il faut le dire le Pays.
Il faut que l'État assume les pleins pouvoirs.
Il faut parler de l'État du Québec. La Loi 99 a été votée et ne faut-il pas l'assumer ?
Ce devoir d'utiliser les bons mots appartient également à tous les éluEs de quelque parti politique que ce soit.
Robert Bertrand
Archives de Vigile Répondre
28 juin 2007Il faut le faire.
Absolument. Oui, absolument.
REPATIR avec un parti indépendantiste. Dès l'automne. Afin de prendre une route qui mènera où nous voulons aller. Et non attendre sur l'accotement. A faire du pouce.
Nestor Turcotte
Matane