Tant espéré en plusieurs milieux indépendantistes, les États généraux sur la souveraineté du Québec vont enfin bientôt prendre forme.
Avec tout le respect que je vous dois monsieur Larose, j'ai une suggestion à formuler. Elle pourrait apparaître au premier regard déplacée. Mais je suis persuadé qu'une fois la réflexion faite en votre fort intérieur, vous en arriverez aux mêmes conclusions également.
Il s'agit de la présidence et direction des États généraux. Je sais qu'on vous a demandé, en tant que président du Conseil de la Souveraineté du Québec, de mettre sur pieds l'organisation de ces États généraux.
En toute honnêteté d'esprit, je crois que la présidence et direction de ces États généraux doit être confiée à Gilbert Paquette.
A ma connaissance, monsieur Paquette fut l'un des premiers "soldats" à promouvoir ces États généraux. De plus sa feuille de route de militant de l'indépendance nationale est exempte de faute. Qui plus est, son discours est logique et posé. Il ne fait aucun doute de la droiture et de la stature de cet homme.
J'espère que cette suggestion puisse être prise en considération, et je crois que tout justificatif supplémentaire serait futile dans les circonstances, l'essentiel ayant été dit.
Sur ce bonne organisation.
De Soulanges,
Normand Perry.
États généraux sur la souveraineté
Gilbert Paquette à la présidence et direction
Lettre ouverte à Gérald Larose
Tribune libre
Normand Perry126 articles
On pourrait le décrire comme un grand passionné de communication, de philosophie, de politique, d'histoire, d'astronomie, de sciences, de marketing, de musique classique et d'opéra. Normand Perry mène une vie publique bien remplie, toujours avec des projet...
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On pourrait le décrire comme un grand passionné de communication, de philosophie, de politique, d'histoire, d'astronomie, de sciences, de marketing, de musique classique et d'opéra. Normand Perry mène une vie publique bien remplie, toujours avec des projets plein la tête et des rêves à réaliser.
Après avoir obtenu un premier diplôme universitaire en philosophie au milieu des années ’90, Normand Perry débute sa vie publique comme pamphlétaire, exprimant ses opinions librement, ces dernières étant publiées régulièrement dans les journaux régionaux, les quotidiens et divers sites Web.
Depuis avril 2004, il travaille chez [Soleil communication de marque->http://www.soleilcom.com/], agence de publicité montréalaise, où il est au développement des affaires, en veille stratégique et aux relations publiques.
Depuis juillet 2010, il s’est vu confié un projet radiophonique à [l’antenne de Radio Ville-Marie->http://www.radiovm.com/index.aspx] où il conçoit, réalise, anime et supervise le montage d’une émission portant sur l’orthodoxie chrétienne au Québec : [Voix Orthodoxes->http://www.voixorthodoxes.org/].
Sa plume va le conduire en politique active.
Après s’être fait connaître comme pamphlétaire à partir du début des années 2000 dans sa région du Suroît, il se fait remarquer, et on lui propose la présidence de circonscription au Parti Québecois dans Soulanges au début 2005. Suite à la démission inattendue de Bernard Landry en juin 2005 comme chef de cette formation politique, Normand Perry appuie d’emblée la candidature de Louis Bernard tout en s’opposant farouchement à l’élection d’André Boisclair. Lorsque ce dernier remporte la chefferie du PQ en novembre 2005, Normand Perry démissionne de sa présidence et quitte le PQ sur-le-champ.
A l’automne de la même année il se fait élire au conseil municipal à Les Coteaux dans la circonscription de Soulanges au Québec. Il se voit confier notamment les responsabilités du comité des loisirs, où conçoit et implante un programme de subvention à l’activité sportive pour les jeunes; il occupe la vice-présidence du HLM, il aussi responsable de la sécurité publique et participe activement à la fondation de la Régie inter municipale des Pompiers du Lac-St-François (fusion des services des incendies de Les Coteaux et St-Zotique).
Lors de la création du nouveau parti politique Québec solidaire en février 2006, il en devient membre et participe au congrès de fondation à Montréal. Il se porte candidat aux élections provinciales de mars 2007 pour cette formation politique dans la circonscription de Beauharnois.
Après ces quelques années en politique active, il poursuit son œuvre de réflexion pamphlétaire, notamment sur le [Blogue de Normand Perry->http://normandperry.blogspot.com/] tout comme sur Vigile et bien d’autres médias québécois
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7 commentaires
Archives de Vigile Répondre
1 septembre 2011@ DJ
Pendant que Mme Marois commence à comprendre qu'elle est peinturée dans le coin, elle concède aux indépendantistes qu'il est temps de rassembler toute la diaspora dans les États Généraux de l'Indépendance. Son amertume contre le NMQ ne la porte sûrement pas vers votre proposition répétée pour M. Desjardins. Si on veut lui faire sauver la face pour le moment où elle devra s'incliner devant les travaux des ÉGI, vaudrait mieux agir avec une certaine élégance et orienter notre choix du côté de "Cap sur l'indépendance", qu'elle a fait sonder hier par l'intermédiaire du député de Drummond, M. Blanchette. Cette coalition cogite déjà depuis 4-5 ans et s'est munie d'une documentation déjà prête à servir pour ces travaux.
http://www.vigile.net/Des-Etats-generaux-pour-remettre-l
Que M. Paquette ait servi jadis sous Lévesque n'a que peu à voir avec l'actuel PQ lessivé par trop d'intérêts depuis. D'ailleurs, ses états de service étaient la science et la technologie et ses assignations à l'UQÀM devraient l'avoir purgé d'une bonne part de filiation. IPSO qui donne des conférences publiques mensuelles n'a rien d'une succursale du piquiou.
Archives de Vigile Répondre
1 septembre 2011Gilbert Paquette est un homme de grande valeur et un militant indépendantiste sincère mais trop associé au PQ. Il n'aurait pas l'objectivité ainsi que la neutralité nécessaires pour mener à bien cet exercice.
Je le répète, il faut que celui qui dirigera ces États généraux n'ait jamis été ni député, ni ministre. L'indépendance nationale appartient d'abord au peuple et pas seulement aux politiciens.
Le duo Jocelyn Desjardins et Daniel Breton est très approprié. Pourquoi devons-nous toujours brasser la même sauce.Allons-nous finir par comprendre?
Archives de Vigile Répondre
31 août 2011Monsieur Perry,
Le CSQ, à mon avis, souffre d'un sérieux déficit démocratique. Je ne suis pas un fan de Pierre Cloutier, mais il a raison concernant sa légitimité.De plus, avec tout le respect que je lui dois, Gérald Larose n'est pas l'homme de la situation. Il ne passe pas lui non plus. C'est dommage, car le type est solide et articulé.
Oui, Gilbert Paquette comme président. Il pourrait facilement faire consensus. Cela dit, on n'élimine pas Larose pour autant, qu'on me comprenne bien.
Archives de Vigile Répondre
31 août 2011Je répète qu'il faut faire l'union des souverainistes pas des péquistes. C'est ce qui risque d'arriver avec Larose et ses États généraux bidons.
Archives de Vigile Répondre
30 août 2011Pour que ces États généraux aient un minimum de crédibilité, il faut absolument que ceux-ci soient le moins partisans que possible et pour cela, on ne peut en confier la direction à un parti politique ou à des gens qui gravitent de trop prêt des partis politiques.
Je propose qu'on en confie la direction à Jocelyn Desjardins et à Daniel Breton. L'un étant un militant de l'indépendance nationale qui est allé jusqu'à perdre son emploi pour diriger un mouvement citoyen et que le député péquiste Gaudreault devrait défendre avec acharnement et l'autre, un farouche défenseur de l'indépendance énergétique véritable prérequis à la libération du Québec des spoliateurs et des bradeurs de notre richesse collective.
Là ça risque de brasser pas mal fort!
Je me méfie d'États généraux pipés d'avance où les béni-oui-oui se succèderaient au micro avec des discours serviles qui ne rendraient pas service à la cause.
Ces États généraux pour être utiles doivent ratisser très large et non pas se mettre au service d'un seul parti.
Cela devrait déboucher sur une union des forces souverainistes afin de mettre Charest dehors le pied au cul. Ce qui a permis à Mitterand de devenir président de la république; c'est justement d'avoir fait l'union de la gauche.
Il faut faire l'union des forces souverainistes, toutes les forces souverainistes!
Jean-Yves Durocher Répondre
30 août 2011C’est une excellente suggestion. Gérald Larose, que j’estime, est trop partisan pour prendre la direction de ces États Généraux devenus un exutoire pour Madame Marois.
Je crois que Monsieur Paquette aurait rapidement la sagesse de recibler cette patente en organisme crédible, donc de revenir à l’esprit des derniers États Généraux. Qui n’était pas une improvisation électoraliste. Il faut lire ceci : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tats_g%C3%A9n%C3%A9raux_du_Canada_fran%C3%A7ais
M. Paquette aura rapidement l’intelligence de consulter Jacques-Yvan Morin pour que l’on revienne à la raison et que l’on organise honnêtement cette consultation. Donc d’y retirer le mot indépendance pour le remplacer par Québec. Les dernières ont vu le Canada Français disparaître, celle-ci permettrait peut-être de voir naître le Québec, pour tous. Pas uniquement ceux qui veulent se débarrasser d’un boulet politique. En premier, il faut rameuter les partis existants, non seulement le PQ, donc Québec Solidaire et l’ADQ. Je doute fort, et c’est malheureux parce que ce parti y gagnerait fort, que le Parti Libéral accepte cette fois d’y participer mais il doit y être invité. Mais je vois bien, la mouvance de François Legault s’y associer rapidement, cela règlerait pour elle la ‘question nationale’.
Pour ceux qui ne savent pas de quoi il s’agit, j’ai assisté à la session de 1969, ce n’était pas une assemblée de samedi des Ipso. C’est un budget imposant, $300,000 en 1965, c’est plus de deux millions en dollars d’aujourd’hui.
Et ce n’était encore moins une réunion de ‘séparatissssssssssssss’ http://services.banq.qc.ca/sdx/actionnationale/document.xsp?app=qc.ca.banq.sdx.actionnationale&db=article&id=1966_1182&qid=sdx_q3&n=2&q=%C3%A9tats%20g%C3%A9n%C3%A9raux&sortfield=sdxscore&order=descendant&rechercheexacte=
Parti comme c’est, c’est déformer et tuer dans son esprit ce que devrait être les États Généraux, une honte. Mr. Paquette saurait remettre le tout sur pieds. Pour le bien de tous et de tous les québécois. C’est dommage pour M. Larose, mais il n’est pas la personne indiquée pour ce poste.
Archives de Vigile Répondre
30 août 2011Appui à la candidature de M. Gilbert Paquette à la présidence des États généraux.
Parmi ses mérites, ajoutons le respect que lui vouent les "Jeunes IPSO", branche active des Intellectuels Pour la SOuveraineté. Il les a parrainés entre autres pour ce colloque sur les Jeunes Québécois et l'actualisation du projet de pays, en février 2011.
http://www.vigile.net/Les-jeunes-Quebecois-et-l,34894
De plus, la création de la coalition "Cap sur l'indépendance" a nécessité des années de préparation persévérante.
Comme un bon soldat, l'ex-ministre continue de parler aux salons de livres où on le demande. Calme dans la discussion, humble devant les nerveux, c'est le candidat idéal.
Ouhgo St-Pierre