Désespoir de cause

Billet de Caroline


"Avant de se péter les bretelles

il faut mettre ses culottes."

Mon voisin


Le fédéralisme canadien

s’infiltre comme un vent mauvais

dans les journaux, à la radio, à la télé

dans les livres d’école, les boîtes à lettres, Internet

dans les soirées hommage aux grands canadiens de l’OSM

et les esprits égarés.
Heureusement, la famille péquiste

resserre les rangs derrière son apprenti chef.

Il faut dire qu’à l’approche d’élections printanières

elle n’a plus le choix.
Après les gros sabots, les petits souliers.

Le défi, reconnaît André Boisclair,

« c’est de lancer un appel à tous les souverainistes

de revenir au Parti québécois. »

Il est de taille.
Pour renaître de ses cendres

et des urnes électorales

le PQ devra privilégier

une élection sur la souveraineté.

Il faut dire

qu’il n’a plus le choix.

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Caroline Moreno476 articles

  • 265 406

Château de banlieue

Mieux vaut en rire que d'en pleurer !


Chapitre 1
http://www.tagtele.com/videos/voir/73927/

Chapitre 2
http://www.tagtele.com/videos/voir/73949/

Chapitre 3
http://www.tagtele.com/videos/voir/73967/1/





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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    6 février 2007

    La bonne gouvernance sans être négligeable, ne constitue pas le moyen de réaliser l'indépendance du Québec. Ce concentrer sur cette seule dimension de la réalité politique, c'est se piéger comme politicien désirant la création d'un pays. Il faut des moyens concrets que vous connaissez probablement mieux que moi : une constitution, une citoyenneté, un rapatriement total des impôts, etc.

    Il m'apparaît primordial qu'un groupe présidé par une figure dominante et crédible (Parizeau, Marois,Landry ou ??? - et ayant une grande expérience de l'appareil de l'état québécois et du fédéral - parmi les indépendantistes s'active à donner vie aux moyens (ex. voici en détail la future constitution d'un Québec souverain), présenter ces moyens au peuple du Québec par la suite, en faire des certitudes électorales (pas des promesses), et les réaliser une fois élu.

    Il ne faut pas s'illusionner, les moyens sont connus. Il ne manque que la volonté d'agir. Il faut du concret avant de choisir de devenir un pays. Ne demandons pas aux citoyens d'entériner la souveraineté sur la seule base de la confiance, en leur promettant de tout clarifier par la suite. Marcher dans l'ombre, on vous éclairera plus tard. Une approche pas très lumineuse à mon avis.

    Après une élection sur la base des gestes concrets à poser pour devenir un pays, ce groupe de travail en collaboration avec le premier ministre et son gouvernement enclenchent la réalisation progressive des moyens. Tout en maintenant la bonne gouvernance (le premier ministre), la mise en place des moyens se fait grâce au groupe de travail en collaboration avec le premier ministre.

    Il est impensable de réaliser l'indépendance du Québec en confiant au fédéral le soin d'entériner ou non les démarches et décisions d'un peuple et de son gourvernement élu démocratiquement. Le processus référendaire peut constituer un outil ne profitant qu'aux opposants à la création du pays du Québec. Le référendum ne devrait servir qu'à confirmer une acceptation par la nation d'un moyen proposé. Par exemple, un référendum sur la future constitution du Québec (bien étoffée par le groupe de travail) qui, si elle est acceptée par voie référendaire, deviendra officiellement la constitution du Québec. Devenir indépendant ne se quémande pas, ça se prend. Le monténégro est un exemple d'étapisme au niveau des moyens concrets conduisant à l'indépendance d'une nation, à la création d'un pays.

    Mais pour réaliser cela, nous avons besoin de learders politiques qui croient vraiment à l'indépendance et du support de la nation québécoise. Une nation convaincue que devenir un pays lui sera profitable à court ou moyen terme, qui est conscientes des moyens et des gestes à poser, qui en fait le choix, est essentielle pour orienter l'action politique.

  • Jacques Bergeron Répondre

    6 février 2007

    J'ai vraiment hâte de voter contre Boisclair et sa candidate , Lisette Lapointe,(épouse d'un grand Homme)celle qui joue le rôle de mère auprès du chef du PQ. Comme dirait un de mes amis, il faut d'abord battre Boisclair si nous voulons ensuite passer aux choses sérieuses.
    En attendant on peut toujours voter pour le candidat ou la candidate de son choix.
    Et choix, il y aura c'est certain!
    Que l'élection arrive?
    Cela est urgent!
    Jacques Bergeron
    Ahuntsic, Montréal