[->aut678]S’il est un homme, dans mon pays,
Qui est un fils de Laurin,
Un de ceux dont on peut dire :
« En lui, le Québec vit »,
S’il est un homme dans mon pays,
Qui est un fils de Bolívar,
Car il a juré sur son honneur le plus sacré,
De voir son rêve de ses yeux,
S’il est un homme que je salue avec respect,
Et pour lequel je ne m’empêcherai pas de cacher mon admiration,
C’est celui qui partage le prénom de Frappier,
Et dont le nom rime avec victoire.
Les Anglais, ô Québécois,
N’ont pas de « droits historiques » au Québec,
Quelle aberration, ô Colonisés,
Réveillez-vous ! Et voyez qu’il s’agit de privilèges,
Oui, les Anglais, au Québec, ont des privilèges historiques,
Qu’ils masquent, eux et leurs « alliances » avec le régime du
post-empire,
Sous l’étiquette de cette grossièreté,
De cette idée perverse qu’il faut dénoncer,
Celle qui veut que les Anglais,
Forment une « communauté » ayant des « droits historiques »,
Mettez-y donc des guillemets !
Pour montrer qu’il s’agit d’un grossier euphémisme de colonisateur,
Comme la « paix » romaine,
L’« épuration » hitlérienne,
La « Freedom»-je-ne-sais-quoi,
Des Américains ridicules sous Bush.
Homme de mon pays,
C’est en rasant le sol,
Du chapeau de mon admiration,
Que je termine cette brève salutation.
DPL
-- Envoi via le site Vigile.net (http://www.vigile.net/) --
Bernard Desgagné - un fils de Camille Laurin
Tribune libre 2008
David Poulin-Litvak51 articles
[Campagne pour une Assemblée citoyenne sur la réforme du mode de scrutin au Québec ->http://www.assemblee-citoyenne.qc.ca/]
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