Depuis la semaine dernière, l’Allemagne est en proie à des attentats d’une particulière violence. Les attaques meurtrières se multiplient… et se ressemblent, quoi qu’on dise.
Ainsi, le 18 juillet, un demandeur d’asile afghan de 17 ans blesse cinq personnes à bord d’un train régional allemand, à Wurtzbourg, en les attaquant à la hache et au couteau, avant d’être abattu par la police.
Le 22, un « Germano-Iranien » de 18 ans abat neuf personnes dans un centre commercial de Munich et se supprime ensuite.
La journée du 24 fut doublement ensanglantée, d’abord à Reutlingen, où un réfugié syrien tue une femme et blesse deux autres personnes avec une machette, puis à Ansbach, où un autre réfugié syrien se fait exploser aux abords d’un festival de musique et occasionne un mort et douze blessés.
La série noire avait pourtant débuté dès février 2015, lorsqu’une adolescente de 15 ans s’en était prise à un policier à la gare de Hanovre, en l’attaquant au couteau. Quelques mois plus tard, en juin, un projet d’attentat impliquant des Syriens et visant le centre de Düsseldorf était déjoué de peu. En septembre, ce fut au tour d’un Irakien de 41 ans, bénéficiant d’une liberté conditionnelle après avoir été condamné à une peine de prison ferme pour appartenance à une organisation terroriste, de blesser une policière à l’arme blanche à Berlin.
La prudence de Sioux dont font montre les médias « mainstream » est, à cet égard, exemplaire, parce que singulièrement grotesque. France Info avait même annoncé un « attentat présumé » s’agissant de l’attaque d’Ansbach. Et l’ensemble des médias, dans une semblable démarche mimétique pavlovienne, de parler de « violences », à la rigueur d’« attaques terroristes », mais sans jamais désigner quiconque.
Et, systématiquement, les mêmes éléments de langage aseptisés qui décrivent le tueur comme un « forcené », un « déséquilibré », un « voisin sans histoire », voire un musulman « non pratiquant » (ineptie, quand on sait que l’islam, à la différence du catholicisme, par exemple, ne se réduit nullement à une religion et à des rites mais est foncièrement juridico-politique, l’appartenance de chaque mahométan à l’Oumma lui conférant aussi bien une « citoyenneté » qu’une « nationalité »).
Le summum de la malhonnêteté est, cependant, atteint quand ces « mutins » de Panurge font état d’un séjour de l’assassin en « hôpital psychiatrique », confondant, à dessein, l’isolement de l’aliéné associé à une éventuelle camisole chimique avec le simple repos d’un dépressif ayant désespérément attenté à ses jours.
Mais surtout s’agit-il, dans tous les cas, de Charlie Hebdo au Bataclan, de Nice à Munich, d’éviter « les amalgames » avec les musulmans d’ici ou les immigrants de l’autre côté du Rhin.
Pourtant – sauf à vouloir délibérément prendre les gens pour des imbéciles (bien qu’ils soient, effectivement, légion) -, si tous les attentats précités ne furent pas revendiqués par Daech, l’ombre blafarde de ce dernier plane néanmoins, attendu que ceux qui s’en réclament, fût-ce par pure opportunité pour justifier a posteriori leurs forfaits, sont, curieusement, loin, très loin d’être des Bavarois ou des Niçois de souche. Rappelons qu’en 2015, plus d’un million d’allogènes extra-européens candidats à l’asile foulèrent le sol germanique…
À cette aune, force est bien d’admettre que, davantage que l’islamisation de nos pays, c’est leur submersion migratoire continue, encouragée et planifiée depuis 40 ans, qui apparaît comme le fléau majeur devant lequel nos élites mondialisées sectaires se voilent criminellement la face par pure idéologie.
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