Ne blâmez pas les médias
Il y a quelques décennies, on pouvait consacrer une émission de radio ou de télévision d'une heure à un livre portant sur la question de la surpopulation mondiale sans même nous décrire le lieu ou l'auteur passait ses vacances, nous révéler le designer de son costume, son orientation sexuelle (à cette époque cela aurait été inconcevable) ou nous confier sa recette de tarte favorite. L'auteur était considéré comme le vé...