Jean Pelletier, coupable
Ces gens n’ont pas de pleurs pour la démocratie qu’ils tuent.
Il est mort. Normalement le concert d’éloges convenus et convenants marque le point d’orgue de la carrière d’un homme de cette envergure. Jean Pelletier a souhaité jouer les prolongations en livrant aux médias une série d’entrevues à être publiée après son décès. Dans les circonstances il nous permettra de jouer la partie. Dans lesdits entretiens il avoue crûment que relativement à la question nationale du Q...