Débat des chefs - Québec 2008

Debate was a flop

TV executives like the new format, but the numbers show Quebecers weren't impressed


For Jean Charest, the bad news is that the only public poll on Tuesday's election debate says that over all, he lost and Pauline Marois won (I hate to say I told you so). The good news for the Liberal leader is that it probably doesn't matter, since the poll (snipurl. com/6wp0k), by CROP for La Presse and Quebec City's Le Soleil, also says the debate had no real effect on voting intentions. And that was among...

La question Obama



Sur la question nationale? Ce que serait l'"autonomie" adéquiste est toujours aussi mystérieux. Jean Charest parle de donner de la "stature" au Québec avec son chapelet d'ententes internationales. Mme Marois a parlé de la souveraineté du bout des lèvres, mais tout en affirmant, sans broncher, qu'au Canada, "il est possible, sans drame, de faire des amendements constitutionnels". Sans drame? Robert Bourassa a dû se retourner dans sa tombe! Si ce fut le cas pour la déconfessionnalisation des commissions scolaires, on sait pourtant que depuis Meech, la Constitution est verrouillée à triple tour pour tout ce qui touche à la question nationale.

Mauvais débat, piètre spectacle



Mauvais débat, mauvais show. Si ce que voulaient les télédiffuseurs, dans leur pathétique recherche du plus bas commun dénominateur, c'était un talk-show divertissant, ils ont raté leur coup. Bien des gens, excédés, se seront empressés de zapper au plus vite, pour échapper à la cacophonie et à la vision, ô combien déprimante, que donnaient d'eux-mêmes ceux que l'on appelle nos leaders. Un débat? Quel débat? Il ...

Québec

À hauteur de femme



Rien ne pourra cependant enlever à Mme Marois ce qu'elle a tiré personnellement de sa victoire de mardi. Elle sait maintenant qu'elle peut être à la hauteur et les militants péquistes le savent aussi. Pour la suite des événements, cela a son importance.

Étonnante Pauline

Des trois chefs de parti, M. Charest a sans doute été le moins convaincant, et ce n'est pas à cause de la cacophonie qu'il a déplorée.


Les politiciens d'antan tentaient de déstabiliser leurs adversaires en leur demandant à brûle-pourpoint quel était le prix de la pinte de lait. Hier soir, Mario Dumont a pris Jean Charest complètement de court avec une question dont il n'avait pas le droit d'ignorer la réponse: à combien s'élève la dette du Québec? Le premier ministre était même très loin du compte. Pour un homme qui se faisait fort de connaître ses...

Pauvre démocratie



Il y a bien des façons de faire le bilan d'un débat des chefs. La plus classique consiste à se demander, comme dans un match sportif, qui a été le gagnant, quel belligérant a réussi à marquer des points. On peut regarder les choses autrement, non pas du point de vue des chefs et de leur formation politique, mais de celui du citoyen. Depuis le déclenchement des élections, on dit que cette campagne intéresse pe...

Québec

Ping-pong politique



Trois chefs, trois discours, trois personnes aguerries qui se renvoient la balle pendant 120 minutes. Qui a gagné? Qui a perdu? Le débat des élections 2008 a été un match nul parce qu'aucun n'a réussi à marquer des points de façon décisive et qu'aucun n'a trébuché. Pour les téléspectateurs, les chefs se sont livré un combat de chiffres souvent cacophonique. Qu'il s'agisse du thème de la santé, de l'économie ou de ...

Du meilleur et du pire



L'impression était très largement partagée hier soir: la nouvelle formule du débat des chefs a trop souvent dégénéré en cacophonie, malgré les habiles efforts du modérateur Stéphan Bureau pour imposer un semblant d'ordre. Il faudra retenir la leçon: nos chefs politiques sont trop indisciplinés, les enjeux sont trop grands pour pouvoir tenir un tel débat sans des règles beaucoup plus strictes. Ce que l'exercice...

Bien préparée, Marois parvient à tirer son épingle du jeu



(Québec) Devant une Pauline Marois très combative, ...

Marois surprend Charest et Dumont

Dans un débat musclé, les chefs se querellent autour de leur bilan


Antoine Robitaille, Guillaume Bourgault-Côté, Robert Dutrisac - Québec -- Les trois chefs de parti ont offert hier soir un débat passionné, parfois cacophonique et acrimonieux, qui a souvent tourné à la querelle de bilans en santé, en éducation et en économie. Pauline Marois a surpris par sa combativité, alors que Jean Charest s'est souvent retrouvé sur la défensive, entre autres choses en raison des a...

Les vraies questions



La plupart du temps, les débats des chefs tournent à la foire d'empoigne. Les protagonistes cherchent davantage à malmener l'adversaire qu'à éclairer l'électeur. Malgré toute l'habileté de Stéphan Bureau, il est à craindre que le débat de ce soir n'échappe pas à cette fâcheuse tendance.