Tribune libre
Un virage à 180 degrés
Réjean Hébert quitte le giron souverainiste
« Si c’est de l’opportunisme de faire avancer des projets, oui, je suis opportuniste »
À mon avis, si Réjean Hébert vibrait vraiment à la fibre « nationaliste » comme il le laisse entendre, il aurait pu facilement se ranger du côté de François Legault, lui qui a carrément fait le choix de défendre les intérêts du Québec.