Se remettre en marche.
1 mars 2016
Fondation du Québec
Liberté et Justice
Fondation du Québec
Pour que le fond remonte
Avec respect
Cap sur l'indépendance
Il y a jeunes et jeunes
Suivi de partis québécois
Avril et 6 mois avant
Cap sur l'indépendance
Élection mandataire en 2018
Suivi des partis québécois
Majeurs et mineurs
Cap sur l'indépendance
À image régionale ou plurinationale ?
Cap sur l'indépendance
Lutte aux inégalités
Suivi politique québécois
Option nationale en montée
Cap sur l'indépendance
Enclencher ou déclencher
Cap sur l'indépendance
Bref exposé et alternative
Cap sur l'indépendance
Élection «mandatoire» 2018
Cap sur l'interdépendance
Poids électoral et âge
Partis politiques québécois
La CAQ et ON en feu !
29 février 2016
Remise en question de certains dogmes, dont celui-ci :
« le Parti Québécois a pour objectif premier de réaliser la souveraineté du Québec à la suite d’une consultation de la population par référendum tenu au moment jugé approprié par le gouvernement. »
En réchauffement, il faut lire [Alain Dubuc->http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/alain-dubuc/201110/27/01-4461896-au-suivant.php
], 2011. La question du chef est réglée jusqu’à juin 2017, qu’en est-il de la marque, du produit et du marché du PQ; à votre préférence pour l’ordre à respecter dans ce questionnement. Ça date 2011, ça choque Alain Dubuc ? Les questions me semblent encore bonnes 3 sur 4.
Le produit à réaliser par le PQ est-il toujours la souveraineté ? Je trouve paradoxal de courir après la souveraineté quand nous sommes à la recherche d’un régime politique sans reine. Faudrait qu’on m’explique.
Il y a eu le séparatisme en 1980, la souveraineté en 1995, avec les résultats encourageants que l’on connaît. Ne serait-il pas opportuniste depuis Jean-Martin Aussant de passer à l’indépendance politique, passer au LIT, passage obligé dirait Charles Sirois à une interdépendance politique et économique bonne pour nous et les autres, respectueuse de la Terre-Mère, dans les meilleurs délais ?
Aussi, comme ex-membre du PQ ponctuel pour l’élection de son chef, le redevenu par patriotisme pour 2018, un sur des dizaines de milliers j’en suis conscient, je proposerais sans véritable espoir de réussir si je savais comment faire selon les Statuts, un nouveau dogme : le Parti Québécois a pour objectif premier d’enclencher la graduation du Québec de province à pays.
Chemin faisant, j'aimerais que le PQ trouve une solution au paradoxe que la figure qui suit expose.
29 février 2016
Merci pour cette nouvelle forme de collaboration à Vigile et mes félicitations pour votre graduation ici de tribun à chroniqueur.
Vous me faites plaisir en annonçant que vous allez privilégier l’indépendance politique du Québec pour sujets plutôt que tout sujet d’actualité.
Après 4 ans de Cap sur l’indépendance, je voix que vous hissez les voiles sur l’enclenchement et la réussite de l’indépendance.
J’ai cherché sans succès le manifeste Se remettre en marche dans Google. J’aimerais lire.
Ça m'a fait découvrir un joli texte de Josée Blanchette sur Justin dans Le Devoir. Je ne mets pas en lien.
28 février 2016
Vous m’avez renversé avec votre sur-titre puis votre titre. J’ai cru jusqu’à lire votre deuxième paragraphe que PKP avait prononcé cette phrase mémorable de Mackenzie King au Conseil national en fin de semaine. Comme affirmation stratégique s’aurait été génial mais pris pour fou.
Le nombre n’est pas encore du côté d’Option nationale mais ils et elles y travaillent eux et elles, à croire avec succès, à fréquenter leur Facebook régulièrement.
Pour une victoire conjointe contre le PLQ, l’abondante récolte est du côté de la CAQ. Je comprends ainsi leur rapprochement la semaine dernière, lui et François Legault. Deux pragmatiques : gagnons d’abord, on verra ensuite.
Gérard Deltell n’est plus à la CAQ et Stéphane- Gobeil y travaille comme collaborateur ponctuel depuis janvier. Radio-Canada
Merci pour le Falardeau. C’est franchement mitraillé; aussi éclairant sur Pierre que sur Françoise. Mis en ligne en 2009.
28 février 2016
À mon âge, il me reste le jeu et la maison plutôt que le travail comme occupation principale. La et le politique sur Internet me divertissent et me gardent en forme plutôt que le logiciel NeuroActive ou la Technique Nadeau. Si en plus ça peut être patriotique, tant mieux.
J’ai constaté comme vous que dans ce tableau, je suis plus optimiste que j’aurais dit. Mon tableau n’est pas aussi réfléchi que nécessaire. De plus, je n’en ai pas parlé à ma comptable et il a été élaboré avant le Conseil national du PQ à Trois-Rivières aujourd’hui et hier.
Le titre que fait ici aujourd’hui Henri Marineau de cet événement : « L’indépendance si nécessaire, mais pas nécessairement l’indépendance » m’évoque Angela Merkel ou Joseph Facal. [Wikipédia->https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_de_la_conscription_(1944)] consulté, je constate que l’expression remonte au moins à Mackenzie King, 1942.
En réponse à OBJECTIF
Pour enclencher les événement menant à notre indépendance, Guy Bertrand mise sur une élection mandatoire, ON sur une élection référendaire coalisée comme en Catalogne (fin janvier 2016) et le PQ sur une élection majoritaire et peut-être suivie de la négociation d’une entente Ottawa-Québec préalable, comme en Écosse (Lisée 2014). J’ai ébauché un nouveau tableau sur ce.
Je mise sur l’évolution du concept de graduation de province à pays dont le premier terme était séparatisme (1980), le second souveraineté (1995) et le troisième indépendance politique que je daterais de la fondation d’Option nationale, octobre 2011.
Plurinational. Le Québec est un territoire reconnu avant d’être le rêve compréhensible d’une élite québécoise d’une Amérique du Nord française en compétition à celui d’un projet d’Amérique du Nord britannique, plutôt que complètement américaine, qui a pris de l’aplomb à l’ouest de Montréal depuis 1812.
Ce territoire est habité par la descendance de trois peuples fondateurs : les Premières-Nations, la Deuxième et la Troisième et par des gens qui ont demandé et obtenu de venir s’y ajouter. Le peuple québécois est ainsi à mon sens multinational ou plurinational plutôt que multiculturel.
Le Canada sans le Québec, CSQ, et non pas le reste du Canada selon la formule consacré ROC se veut multiculturel. Ça lui appartient, à chacun son histoire. Le Québec est majoritairement francophone, et tient à le demeurer, mais plurinational plutôt que multiculturel. L’affirmer, c’est poser la question.
Rendez-vous dans les catacombes de Vigile pour la suite.
27 février 2016
Fort bien M. Ricard!
Le modèle américain est celui d’une république fédérale qui compte 50 États et le district de Colombia.
« Aux États-Unis, la souveraineté est exercée à la fois par le gouvernement fédéral et par chacun des cinquante gouvernements d'État. Un Américain est à la fois citoyen des États-Unis et citoyen de l'État où il est domicilié1. Par contre, la citoyenneté d'État est une chose assez flexible et aucune procédure légale n'est nécessaire, sauf rares exceptions, pour changer son domicile d'un État à un autre. Les Américains ont conscience d'appartenir à une même nation, malgré la diversité des régions. [Wikipedia->https://fr.wikipedia.org/wiki/États_des_États-Unis]»
Le projet Liberté-Nation du patriote Guy Bertrand d’une République fédérale du Québec s’inspire de ce modèle. Dans ce projet de Québec indépendant politiquement, les 17 régions administratives du Québec graduent de régions à États. Je ne connais pas d'autre projet d’indépendance du Québec aussi détaillé que le sien.
Dans la souveraineté du Québec : Hier, aujourd’hui et demain, 2009, Jacques Parizeau en chapitre VIII, l’État du Québec, décentralise le pouvoir aux régions sans en faire des États.
Alain Dubuc en 2011 écrivait que si le PQ était une entreprise, on pourrait dire qu’il a quatre problèmes : son PDG, sa marque, son produit et son marché. Au suivant !
Le PQ a un nouveau PDG, quel est son produit ? Devrait-il faire de ce sujet le motif d’une demande de congrès national extraordinaire pour ce printemps ?
26 février 2016
Pas besoin d’avoir lu Démocratie : Histoire politique d’un mot aux États-Unis et en France de Francis Dupuis-Déri, 2013, pour savoir que le parlementarisme qui nous régit est hautement antidémocratique, mais ça aide si vous vous questionnez là-dessus.
Dans ce livre, démocratie devient synonyme de bien, de bon pour nous, dont pour moi aussi, comme dans le dicton « charité bien ordonnée commence par soi-même, d’abord, et ensuite ? ».
La lecture de ce livre fournit en plus un exemple de l’importance des mots, de la dérive des mots au point de monter des bateaux sujets à dérive. Meilleur exemple, les graphiques de [« Darwin »->https://jeanneemard.wordpress.com/2016/02/17/la-pauvrete-selon-linstitut-fraser/] chez Jeanne Émard.
À propos, Jacques Parizeau dans La souveraineté du Québec : Hier, aujourd’hui et demain en page 24 annonce que « souveraineté », « indépendance » et « séparation » sont trois termes qui ont pour lui le même sens. Dans les trois cas, il veut dire que le pays dont il parle a plein contrôle sur ses lois, ses impôts et les traités qu’il signe à l’étranger. Séparation fait 1980, souveraineté 1995, quelle année à venir pour indépendance politique.
Dans son chapitre VIII, l’État du Québec, Monsieur s’interroge longuement sur le régime politique à retenir pour concrétiser cette interdépendance renouvelée et s’arrête sur la république. Le passage se ferait sans heurt, le représentant de la reine serait remplacé par un président. Il pense qu’un régime imparfait mais qu’on connait bien et qu’on peut amender vaut mieux que la recherche de la perfection.
À ce sujet, il mentionne que le mode de scrutin est un élément du régime à améliorer. Il ne retient pas l’idée d’un niveau de décentralisation du pouvoir aux régions à celui de structure fédérale comme dans le projet Liberté-Nation de Me Guy Bertrand. La constitution s’appuierait sur la Charte des droits et liberté de la personne et l’État, disposant de la souveraineté que le peuple lui confère pour organiser la vie en société.
Conclusion, si une moins grande concentration du pouvoir du peuple délégué à ses élus et à son premier ministre en particulier peut contrer la corruption, je voterai pour ça.
26 février 2016
J’aime bien votre initiative d’une grille pour exposer nos opinions particulières en regard de points de comparaison communs sur deux façons de procéder pour que le Québec en arrive à l’indépendance politique.
Quand vous nous invitez à faire notre propre grille, j’imagine que nous devons garder vos entêtes de rangées et de colonnes. Ça me convient.
Je prends pour acquis qu’élection référendaire au sens d’Option nationale et qu’élection mandatoire au sens de Me Guy Bertrand est synonyme de référendum déclencheur.
J’aurais mis processus au lieu de référendum, enclenchement plutôt que déclencheur et entérinement au lieu d’entérineur, pour la rime, la symétrie.
Sur ce, voici ma grille.
25 février 2016
En cette veille d’une descente dans les catacombes de Vigile,
Je suis allé examiner le mandat, la composition et le fonctionnement du congrès national aux Statuts du PQ. C’est en pages 18-20, articles 93 à 107.
http://mon.pq.org/documents/statuts2011.pdf
Un congrès extraordinaire n’est pas destiné à « La très grande majorité des membres du PQ, de l’ON est favorable à l’indépendance. Il y a aussi de nombreux indépendantistes chez QS. On peut même en trouver en la CAQ et le PLQ. » mais à des délégués en fonction à divers postes dans le parti. On est trop nombreux au PQ pour une représentation directe comme ce que j’ai vécu à ON les 30 et 31 janvier dernier.
Il y a en plus de cette disposition, si ce n’était pas suffisant, une façon de faire et des délais prévus pour la convocation d’un tel congrès.
L’article 101 stipule que : « Le conseil national, la conférence nationale des présidentes et des présidents ou le conseil exécutif national peut convoquer un congrès extraordinaire. Pour la tenue d’un tel congrès, un avis d’au moins trente (30) jours mentionnant l’endroit, la date, l’heure et le but dudit congrès doit être adressé par le secrétariat national au conseil exécutif de chaque circonscription et de chaque région ainsi qu’aux autres instances habilitées à soumettre des propositions. »
À 111 il est prévu que « Le conseil national se réunit au moins deux (2) fois par année sur convocation du conseil exécutif national. »
À 115 il est prévu que « 111.Trente (30) membres du conseil national peuvent, en énonçant leurs motifs par écrit, exiger de la présidence du conseil exécutif national la convocation d’un conseil national, dans un délai maximum de trente (30) jours. »
à 114 il est prévu que « Le conseil exécutif national peut convoquer un conseil national extraordinaire. Pour la tenue d’un tel conseil national, un avis d’au moins sept (7) jours doit être adressé par le conseil exécutif national aux membres de la conférence nationale des présidentes et des présidents. »
Bref, je pense que votre exposé de la situation va être lu par au moins une personne qui est en position de demander et obtenir, contre une démarche à décourager même Françoise David, la tenue d’un congrès national extraordinaire, soit sur le conseil national, soit à la conférence nationale des présidentes et des présidents ou soit au conseil exécutif national.
Je doute que cette personne se donne la peine de formuler votre exposé en motifs acceptables et convaincre 29 autres personnes de l’appuyer sur une demande de congrès national extraordinaire. Les préalables à l’ordinaire de 2017 commenceront bientôt.
Pour être tenu informé des développements éventuels, j’ai renouvelé mon adhésion au PQ pour trois ans et je vais être attentif à mon courriel.
Je vais continué à examiner les statuts du PQ pour savoir ce qu’il faut faire et réussir pour obtenir la tenue d’un congrès extraordinaire à partir de ma circonscription.
Je joins un nouveau graphique en espérant qu'il s'étalera davantage en largeur.
24 février 2016
Mon rêve c’était d’imaginer avec vous le Québec de demain, de partager avec vous un avenir positif pour le Québec y incluant tout ce que nous pourrions accomplir si nous étions indépendants. Normande Imbeault, L’indépendance « s’en va à vau l’eau »
http://vigile.quebec/L-independance-est-a-vau-l-eau
C’était le 28 décembre dernier, après le 21 novembre précédent :
18-24 ans : pour 42% contre 58%
25-34 ans : pour 39% contre 61%
35-44 ans : pour 36% contre 64%
45-54 ans : pour 40% contre 60%
55-64 ans : pour 46% contre 54%
65+ ans : pour 34% contre 66%
À 39 contre 61 pour les Québécois en âge de voter.
La preuve est faite pour Québec et Ottawa que les 65 et + exercent davantage leur droit de vote que les 44 et moins. C’est sans compter que les moins de 18 sont privés d’une modalité d’exercice du droit de vote que leur accorde la constitution de 1982, si pas signée soit-elle par le Québec. Ça contribue à un paradoxe.
C’est tombé à 35 contre 65 au début de février dernier selon Léger : Recherche . Stratégie . Conseil.
http://www.ledevoir.com/documents/pdf/sondage020816_qc_pol.pdf
Ça a déjà été pire avant PKP, à genre 19 % le 9 mai 2014, un mois après… Depuis ça remonte jusqu’au 19 mai 2015, puis ça redescend.
- Tenir un congrès national spécial ? !
- Non ! Il y en a un de prévu pour le printemps 2017, retardé par l’élection improvisée de 2014 puis la course à la chefferie qui se devait ensuite.
- Faut voir quoi d’autre prévu ou à exploiter aux Statuts du PQ qui date de 2011.
http://mon.pq.org/documents/statuts2011.pdf
Dans La souveraineté : Hier, aujourd’hui et demain, 2009, Monsieur Jacques Parizeau était pour une relégation d'une bonne partie du pouvoir et des argents récupérés d’Ottawa aux régions.
Me Guy Bertrand fait des régions rien de moins que des États dans son projet Liberté-Région, il n’y va pas avec le dos de la main morte aurait dit à l’époque Jean Perron. Avec respect, à la place de M. Bertrand, j’aurais mis un s à Région au nom du projet. Même chose s’il avait écrit Liberté-Nation plutôt que Liberté-Région.
http://www.republiquefederaleduquebec.com
Que diriez vous de congrès régionaux spéciaux ?
- C’est pas les sujets de conversation qui manquent !
23 février 2016
Le Lapin sort du chapeau
Fait accompli pour le nom, j’aurais mis laboratoire au lieu d’institut de recherche pour faire Laboratoire sur l'autodétermination des peuples et les indépendances nationales, le LAPIN.
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2016/02/23/005-institut-souverainete-recherche-autodetermination-independance-peladeau-pq.shtml
Désolé pour Pierre Jean-Jacques, ce ne sera pas L’IRIQ mais l’IRAPIN.
Pierre : http://vigile.quebec/Un-institut-de-recherche-sur-l
Jean-Jacques : http://vigile.quebec/Projet-d-Institut-de-recherche-sur
23 février 2016
« Un déclenchement du processus référendaire dès une victoire possible du PQ en 2018 donnant trois ans à chaque camp de faire leur devoirs avant d’aller au peuple me semble souhaitable et réaliste. Je persiste et signe. »
Mon correcteur ne digérait pas le « a » dans déclenchement, j’ai mis un « e » plutôt que (sic). Il est heureux, je suis content.
AH ! et non HA HA ! cette langue française, belle mais exigeante, olympique comme ça ne se peut pas mais son Académie s’efforce de simplifier, à petit feu ! À nous de précéder et suivre.
Un déclenchement du processus référendaire dès une victoire possible me semble raisonnable et bon si un sondage crédible annonce par la suite au moment opportun un oui à 60 % ! J’ai des doutes pour 2018 à moins que….
Personne ne suit Robert J. Lachance. Soyez le premier!