Le 15 avril dernier, Réjean Labrie a affirmé ici dans La victoire au référendum passera par les jeunes:
"Il ne manque vraiment que très peu de choses pour atteindre la majorité requise pour réaliser l’indépendance, à peine 10 ou 11% des votes, car, rappelons-le, tous les votes comptent lors d’un référendum. Il n’y a pas un seul Oui de perdu ; c’est cet atout qui fait notre force."
D’accord pour l’atout en mode référendum contrairement à en mode dont le principal mérite est d’être simple.
C’est votre point de vue, ce n’est pas ce qu’a estimé Jean-François Lisée fin avril 2014 dans L'appui à la souveraineté, état des lieux.
Je ne voudrais pas qu’ON aidée d’autres entreprenne la graduation de l’État-province de Québec à République du Québec, fédérale ou autre, à 50 + 1 ou 51 %. Je souhaite que ce passage se fasse dans la confiance, la sécurité et la recherche d’un bien-vivre écologique et économique, pour des siècles et des siècles.
Pour cela, il faut viser le 60 %. J’en ferais un objectif clair et simple de convergence PQ, QS et ON, pour l'objet République du Québec. Amen !
Qu’appelez-vous « jeunes », M. Labrie ? Lecteurs ?
1 - âge en bas de la moyenne;
2 - âge en bas du mode;
3 - âge en bas de la médiane;
4 - toutes ces réponses;
5 - aucune de ces réponses;
6 - l’âge n’a pas d’importance;
7 - ne sait pas quoi répondre;
8 - je ne veux pas répondre;
9 - les moins de 18 ans;
10- l’espérance de vie moins l’âge.
Nous connaissons une situation paradoxale, plus les gens de l’État-province du Québec sont nés depuis peu, plus il leur reste mathématiquement de temps à vivre, moins ils ont, hommes ou femmes, de poids électoral, de choix sur certaines conditions de vie, le bien et le mal, dont elles ou ils pourront jouir ou auront à subir. Ça n'a pas de sens égalitaire.