André Pratte

  • Featured e9ce29e1df8a56a11b26e68ffd733781

    André Pratte878 articles

    • 317 252

    [une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]

    [Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.




L'étoffe de M. Dumont

Mario Dumont devra s'imposer et exiger de son parti la profondeur et le sens de l'État qui leur ont fait défaut depuis le printemps dernier

Le français: que faire?

Il faut tout de suite préciser que ce déclin ne se fait pas au profit de l'anglais mais en raison de la hausse importante du nombre d'allophones

L'étapisme furtif

Alimenter, enraciner l'indépendance: voilà à quoi se consacrerait en priorité, selon Gérald Larose, un prochain gouvernement du Parti québécois. Est-ce aussi le plan de Mme Marois?

Un magnifique projet

Toutes les communautés concernées, notamment les milieux d'affaires de Montréal et de Toronto, devraient d'ores et déjà se mobiliser afin de convaincre les gouvernements et la population du bien-fondé d'un tel projet aux plans économique, culturel et politique.

Le dîner sans con

(...) il faut éviter de dramatiser la situation, ce qui pousserait les politiciens à multiplier les mesures aussi coûteuses qu’inefficaces.