Titulaire d'un doctorat en relations internationales de l'Institut universitaire des hautes études internationales de Genève, Frédéric Bastien se spécialise dans l'histoire et la politique internationale. Chargé de cours au département d'histoire de l'Univ...
Titulaire d'un doctorat en relations internationales de l'Institut universitaire des hautes études internationales de Genève, Frédéric Bastien se spécialise dans l'histoire et la politique internationale. Chargé de cours au département d'histoire de l'Université du Québec à Montréal, il est l'auteur de Relations particulières, la France face au Québec après de Gaulle et collabore avec plusieurs médias tels que l'Agence France Presse, L'actualité, Le Devoir et La Presse à titre de journaliste. Depuis 2004, il poursuit aussi des recherches sur le développement des relations internationales de la Ville de Montréal en plus d'être chercheur affilié à la Chaire Hector-Fabre en histoire du Québec.
LIBRE OPINION
L’argument suivant lequel un échec constitutionnel affaiblirait le Québec ne tient pas la route. C’est quand le Québec ne revendique rien qu’il perd son rapport de force.
Selon toute vraisemblance, le plus haut tribunal paye le prix de son activisme politico-judiciaire qui dure depuis des années. Un billet de Frédéric Bastien.
Ces jours-ci, le gouvernement québécois revendique peu d’Ottawa. On ne lève pas souvent le ton, les gestes d’éclat sont inexistants et, ô surprise, on obtient rarement quelque chose.
Réponse à Stephen Harper
L’accès aux documents est essentiel pour le travail des historiens. Le premier ministre devrait le savoir, lui qui lancera cette année un livre sur l’histoire du hockey
On peut retourner la situation dans tous les sens, il reste que les archives nous dévoilent que le juge en chef est intervenu au minimum cinq fois dans le processus politique!
La réplique › Les débats constitutionnels
C’est le fils de celui qui nous a imposé la Charte des droits qui prétend maintenant que toute cette affaire est secondaire !