Cet ouvrage de Roméo Bouchard pourrait susciter la réprobation des curés de l’intolérance et de la rectitude politique. L’auteur parle d’emblée du pays comme étant la terre natale. Exclurait-il ainsi tous ceux venus d’ailleurs, de l’immigration récente, ces dessouchés pour raisons économiques ou politiques ? Pourtant, lorsque Boucar Diouf parle avec passion de son Sénégal natal, je ne me sens pas exclu.