Québec, le 4 avril 2011
Une droite Québécoise conservatrice
Le réseau liberté formé par d’ex-militants de l’action démocratique du Québec (ADQ) mené par deux anciens conseillers de Mario Dumont Joanne Marcotte et Éric Duhaime essaie de redonner vie à la droite québécoise et s’implique dans la présente campagne fédérale en dénigrant le Bloc Québécois.
De plus les deux postes de radio poubelle de Québec ont recrutés des correspondants politiques de droite Éric Duhaime pour le 98,1 et Mario Dumont ancien chef de l’ADQ pour le 93,3. Quel poste représente une partie de la gauche, certainement pas radio-canada?
Il me semble que les débats enflammés et houleux de l’assemblée nationale de 2010 nous a démontré que la droite et la gauche existent bel et bien. D’ailleurs le chef du gouvernement du Québec Jean Charest et la chef de l’opposition officielle Pauline Marois ont commis l’irréparable en ne se souhaitant pas la traditionnelle bonne année ce qui était le présage d’une année 2011 aussi houleuse, contraignante et non performante. D’ailleurs le malheureux président de l’assemblée nationale Yvon Vallières a démissionné parce qu’il n’était plus capable de contrôler les débats.
Que faut-il pour faire comprendre à ces gens de la droite que leur crie, les alarmes et la peur créent de l’instabilité, un climat de tension instable et difficilement contrôlable. Les partis politiques déjà existant ont toutes les marges de manœuvre pour recevoir et alimenter ces débats de gauche et de droite donc pas besoins de partis bidons ne créant aucune valeur ajoutée.
D’ailleurs dans la campagne en cours ces gens de l’extrême droite, principalement Éric Duhaime sur ses trop nombreuses tribunes, tombent à bras raccourcis sur le bloc Québécois et ses candidats et prônent un vote conservateur. En effet que ce soi à la radio poubelle dont il est le correspondant politique, ou dans sa chronique du journal de Québec Duhaime ne manque pas une occasion de dire n’importe quoi pour essayer d’anéantir le bloc Québécois.
Jocelyn Boily
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2 commentaires
Jocelyn Boily Répondre
5 avril 2011Le parti Québécois lorsque le gouvernement Charest était minoritaire avait refusé Yvon Vallières comme président de l'assemblée parce qu’il doutait de ses capacités et de ses compétences.
Lorsque Jean Charest est devenu majoritaire ils sont revenus avec Vallières mais le principe de Peters s'appliquait dans son cas car il avait visiblement atteint son niveau d'incompétence.
Guillaume Labelle Répondre
4 avril 2011''D’ailleurs le malheureux président de l’assemblée nationale Yvon Vallières a démissionné parce qu’il n’était plus capable de contrôler les débats.''
C'est la un des arguments soulevés, mais la cause de sa démission n'était-elle pas surtout le fait qu'on remette en doute son impartialité et son intégrité? C'était, par le fait même, une occasion rêvée pour décocher quelques fleches a l'endroit du PQ, ce que l'ex-président ne s'est ecrtainement pas gêné de faire...