L'hypocrisie a un nom : Jean-Marc Fournier. Comment est-ce possible qu'un homme puisse raconter tant de ''menteries'' sans sourciller tout en croyant que nous allons le croire. Mais, voilà le drame, certains le croient...les anglais, les allophones, les aveugles (intellectuellement) et ceux qui se remplissent les poches des fruits de leurs larcins libéraux et aussi les anciens ultra religieux qui croyaient que les politiciens étaient les représentants de Dieu. Si le karma existe pour les nations, nous avons dû être très méchants dans une autre vie.
Pierre-Karl Péladeau sera, sauf s'il pleut des hallebardes, le prochain chef de ce bateau à coque percée et sans gouvernail valable qu'est le PQ. Souhaitons ardemment (prions mes frères, comme nous le disions anciennement) que les professionnels du PQ cessent leurs petites masturbations intellectuelles et se rallient à la cause, la leur, la nôtre. Le PQ pour être efficace et crédible, doit prendre forme et se débarrasser des ses fantômes tous plus imprécis les uns que les autres. Une inconnue cependant : après les saletés innommables que les libéraux ont lancées au visage de son épouse Julie Snyder, celle-ci, n'ayant pas la langue dans sa poche, (ou son sac à main, c'est selon) réagira mais, comment?
Je suggère fortement aux lecteurs d'aller lire la chronique de Mme. Sylvie MOSES, écrit le 14 mai et dont le titre est : ''Vous le PLQ''. Un extraordinaire résumé des ''vraies affaires'' commises par le PLQ. En lisant ça , Jean-Marc Fournier devrait aller se cacher près du trou des goguenots (pots de chambre, toilettes en France). Les effluves s'échappant de ces endroits lui ressembleraient quand il ouvre la bouche au nom du PLQ. Il doit avoir très mauvaise haleine. Si vous croyez que j'exagère avec mes expressions colorées, lisez le texte de Mme. MOSES et vous serez d'accord. C'est poli, très bien écrit, mais, laisse peu de place au doute.
À une époque, j'habitais Châteauguay et ce misérable Fournier était notre député. Pour ceux qui s'en souviennent, il s'était fait exclure du gouvernement Charest, il n'avait pas démissionné, on l'avait démissionné. Il nous avait aussi dit que si nous parlions de ça en public, il nierait tout. Vu les insondables mystères de la politique, surtout au PLQ, on lui a demandé de réintégrer ce gouvernement (Charest) que l'on croyait le pire de l'Histoire du Québec. C'était, bien sûr, sans connaître celui que nous avons en ce moment. Les mots me manquent pour le décrire. Et dire que nous qualifions de période noire, celle de Maurice Duplessis. C'était gris pâle comparé à ce que nous vivons présentement.
Appuyons PKP, c'est pour l'instant notre seule planche de salut. Il faut être derrière lui car un homme ne peut entreprendre ce travail seul. L'Hermione dont nous parlais récemment Mme. Morot-Sir, est un exemple extraordinaire. Les jeunes matelots à bord doivent s'unir pour entreprendre les tâches nécessaires. Ils sont maintenant au centre de l'Atlantique. Espérons que les membres influents du PQ auront cette sagesse pour que le Québec puisse aussi rejoindre le rivage de notre indépendance, sains et saufs, à l'abri des requins voraces du PLQ.
http://www.hermione.com/voyage/localiser-l-hermione/
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3 commentaires
Marie-Hélène Morot-Sir Répondre
17 mai 2015Monsieur Parent, nous nous réjouissons avec vous de notre côté de l’Atlantique, nous vous disons: Bravo le Québec, de tout cœur avec vous tous et votre grand Pierre Carl Péladeau..
Vous avez réussi à embarquer dans le canot, ce canot dont parlait Gaston Boivin dans son texte … http://vigile.net/au-fil-du-temps en septembre 2009.
« Quand j’embarque dans mon canot, je redeviens mon père, le père de mon père, ...et ainsi de suite jusqu’à l’ancêtre qui, le premier de notre lignée, a foulé le sol du pays.
Quand donc notre peuple consentira-t-il à embarquer dans le canot de nos pères ?!Quand donc redeviendrons-nous nous-mêmes ?!"
Merci aussi, Monsieur Parent, de nous rappeler que la belle frégate Hermione, ce symbole vivant d’un grand Passé, déclenchant tant d’enthousiasme, en est actuellement à la moitié de sa traversée de l’Atlantique, elle sera le 5 juin prochain en vue des côtes américaines.
Ivan Parent Répondre
16 mai 2015M. Haché,
Vous m'arrachez les mots de la bouche. Même décédé, Pierre Falardeau fait encore parler de lui, c'est un immortel. Il a caricaturé les bouffons de la politique avec son Elvis Gratton et ces derniers, toujours vivants, entourent ce qui nous sert, pour l'instant, de premier ministre. Même si ce sont eux qui sont au cabinet, c'est nous qui faisons une véritable diarrhée politique.
Bienvenue à Pierre-Karl. Il aura besoin d'être un véritable superman pour pouvoir supporter l'odeur cadavérique des libéraux dans son combat pour le Québec. Nous devons nous unir pour le supporter. Longue vie à Pierre-Karl et à sa famille.
Marcel Haché Répondre
16 mai 2015M. Parent, Fournier est un bouffon déguisé en requin vorace. Un bouffon parmi toute une gang de bouffons.
En tous les cas, le fanfaron Jean Marc Fournier n’a rien à craindre de P.K.P. dans son comté. Voilà bien l’exemple typique d’un Tremblay d’Amérique « élu » dans un comté typiquement canadian, par des « libéraux automatiques », comme les avaient déjà appelés René Lévesque.
Mais Fournier n’est pas seul le fanfaron de sa gang ! Ce n’est pas le seul rouge de la députation « liberal », en effet, qui est dans cette situation singulière d’être un représentant de l’autre majorité « québécoise », de ces canadians qui sont aussi, ben oui, ben oui… des « québécois aussi ».
Dans le cabinet béni des fanfarons qui Nous tient lieu de gouvernement, l’« inner cabinet » le plus béni, ce sont tous ces béni-oui-oui du très puissant West Island ! Cette singulière bénédiction anti-Québec explique par ailleurs beaucoup l’arrogance du gouvernement Couillard, son goût prononcé pour la bouffonnerie, pour les sondages bidons et les ballons politiques, ses jokes plates, que tout la gang du conseil des ministres lance à la ronde en toute impunité depuis la dernière élection. Hélas, hélas, M. Parent, le P.M. du Québec lui-même se trouve du talent d’humoriste pour faire rire sa députation anti-Nous en pleine A.N. Ce chef médiocre rivalise, en effet, avec ses commis les plus « drôles » à qui transformera l’A.N. en cirque. Non, le Québec n’est pas près de mourir à petit feu. Mais s’il doit mourir un jour le Québec, ce sera sûrement d’avoir tant ri pour rien.
Enfin, c’est à l’honneur de P.K.P. d’avoir été au service de Québécor en même temps que d’en avoir été le chef. Cela est très honorable. En tous les cas, cela est certainement au moins aussi honorable, certainement pas moins honorable que d’avoir servi discrètement en Arabie Saoudite, puis servir, servir, et servir à nouveau, toujours et encore aussi discrètement, servir cette fois le West Island de la façon la plus servile qui soit.
Je ne sais pas pour vous, M. Parent, mais moi il m’arrive de m’ennuyer de Falardeau, qui se trouvait toujours de l’énergie pour bafouer les bouffons et les imbéciles.