Le wokisme en tant qu'idéologie délétère indéfendable, ou sacro-sainte religion bâillonneuse, est maintenant décrié par de nombreux partis politiques comme le Parti québécois et la CAQ. La population qui commence à en avoir assez de ses manifestations abjectes le rejette ouvertement de plus en plus. Nous allons dans la bonne direction. Continuons à le mettre en déroute dans toutes ses applications.
Le plus étonnant, c'est de voir toute la gamme de moyens mis en application par les wokes pour arriver à leurs fins condamnables. Voyons voir de quoi il retourne.
Voici 26 déclinaisons de la rhétorique et des techniques du wokisme à mettre en échec:
1- Le privilège blanc. Consiste à remplacer le Blanc par des multiethniques. S'étend à un discours anti-Nous au Québec
2- Le transgenrisme glorifié. Chercher constamment à ajouter de nouvelles lettres au mouvement LGBTLQ+ ¹@³¼½¾{[]}|¸°~`´/><µ\^=)(*&?%$#"¬! Ils commencent à manquer de couleurs à leur arc-en-ciel.
3- L'effacement des différences entre les sexes représenté par l'exhibition des travestis
4- La culture de l'annulation
5- le décolonialisme, qui est la négation culpabilisante du progrès et des bienfaits apportés historiquement par l'Occident
6- Question autochtone: les territoires supposément non cédés, alors qu'en fait, il n'en existe aucun
7- Définancement de la police, abolition du profilage préventif, pour protéger les minorités racisées
8- Les soi-disant micro-agressions
9- Faire croire au racisme systémique au niveau institutionnel
10- L'écriture inclusive
11- Les embarassantes toilettes non genrées ou communes à tous les sexes
12- Les safe spaces (censure de livres, censure de livres de cours, obscurantisme des idées, censure de conférenciers)
13- Procéder à la réécriture de l'histoire en présentant le développement de l'Occident comme n'ayant eu que des effets négatifs
14- Désinformation pour créer un procès d’intention (ex.: le scandale QS Bouazzi et ses insinuations tendancieuses non fondées)
15- Recourir à l'intimidation, à l’utilisation à répétition des mots racistes, intolérants et phobe pour contraindre l’adversaire au mutisme et empêcher tout débat ou contestation de leurs fausses idées
16- Adopter la posture de la victimisation, en se présentant toujours comme des lésés, des attaqués, des racisés. La moindre remarque contre eux fait de vous le gros méchant.
17- Recourir aux Chartes en en déformant le sens initial, l'esprit, procéder à la contestation judiciaire de lois comme celle de la laïcité
18- Imposer le programme Équité, diversité, inclusion ayant pour but de remplacer les Blancs, peu importe si cela doit au final médiocriser le marché du travail ou ruiner le climat des équipes de travail. Plusieurs universitaires déconnectés sont à blâmer de vouloir répandre ce programme inique sur les campus et dans les entreprises.
19- "Le wokisme, c'est voir de la discrimination partout" (le premier ministre François Legault). Les wokes accusent et abusent.
20- Cautionner la présence et les activités fanatiques de groupes radicaux étrangers sur les campus (genre pro-hamas et Cie) et les laissent camper et grabuger sans rien faire
21- Forcer la surreprésentation des minorités par l'imposition de normes diversitaires dans la publicité, les talk-shows, les téléséries, les films, de manière disproportionnée avec la réalité
22- Faire instituer des instances gouvernementales pro-islam comme le conseil de lutte à l'islamophobie dirigé par la toxique Elmira Elgawaby visant à faire taire toute forme de critique publique de l’entrisme islamique
23- Faire adopter des mesures restrictives muselant la liberté d'expression qui vont toujours dans le même sens (même les humoristes ne peuvent plus rien dire)
24- Un néo-féminisme hargneux et revanchard, où tout homme est vu comme un agresseur potentiel jusqu’à preuve du contraire
25- Se servir de tous les moyens en place incluant des médias complices, pour faire de la propagande woke: campagnes gouvernementales, journalistes vendus, invités wokes à des émissions
26- Déformation de faits biologiques scientifiques afin de nier par exemple la simple existence des races pour ne pas nuire à l’idéologie wokiste niveleuse
Que faire pour déjouer le wokisme insidieux?
Que pouvez-vous faire dans les circonstances pour ne pas tomber dans les mailles du filet qui vous est tendu jour après jour? C'est simple: restez à l'affût. Remarquez et décelez chacun des signes wokes qui se présentent à vous pour ne pas en être dupe. Faites-en part immédiatement à votre entourage pour qu'ils le voient eux aussi. Conscientisez vous-même et les autres.
Suggestion pratique
Imprimez, puis épinglez la liste des 25 éléments ci-dessus à votre bureau, et référez-vous y au besoin lorsque quelque chose vous met la puce à l'oreille. Si ça ressemble un tant soit peu à l'un des éléments listés, eh bien, pas de doute, c'est du wokisme qui cherche à vous influencer. Et vous venez de vous y soustraire en en prenant conscience. Bravo!
Conclusion
Il est rassurant de constater que le bon peuple se réveille, s'indigne, proteste, rejette l'idéologie wokiste maléfique. À nous tous ensemble de se serrer les coudes pour mettre les wokes K.-O. De nouvelles entreprises contre le wokisme s’ajoutent quotidiennement. Des politiciens s'y opposent ouvertement. Nous sommes en train de prendre le dessus.
En terminant: un avertissement à toutes les bandes de wokes mal biaisés: nous avons percé vos visées secrètes, votre double jeu, dévoilé votre visage à 2 faces. La partie de plaisir, la récréation, c'est finie.
C'est nous qui avons raison. Ce sont les wokes qui ont tort. Nous l'emporterons.
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
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4 commentaires
Réjean Labrie Répondre
30 décembre 2024Le retentissement international du sociologue québécois Mathieu Bock-Côté s'élargit et fait la fierté de tous les nationalistes enracinés attachés à la défenses de leur patrie natale.
Rien qu'en Europe, il est classé parmi
Les 100 qui font l'opinion : le numéro 34, Mathieu Bock-Côté. Pas mal, n'est-ce pas?
Voici comment il voit la lutte au wokisme.
Début des extraits fournis par la page Facebook du Parti québécois:
MBC nous donne une description du wokisme et des wokes très juste de cette pathétique et hallucinante réalité...
Il est temps que nous dénoncions les ravages du wokisme chez-nous; cette réalité empoisonne et gangrène notre Québec qu'on reconnaît de moins en moins. Et "non" le wokisme N'EST PAS un trait de l'extrême droite ni même de la droite comme l'énonce clairement MBC : "Le wokisme prend le relais du communisme dans l’histoire de la gauche totalitaire."
Merci à MBC pour cette lecture (ci-dessous) lucide du wokisme.
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Mathieu Bock-Côté
Lundi, 25 novembre 2024 15:30
DÉFINISSONS LE WOKISME (QUI EST UN TOTALITARISME)
Paul St-Pierre Plamondon est parvenu, depuis une semaine, à remettre la question du wokisme au cœur de l’actualité. Mais il n’y serait pas parvenu si sa critique ne rejoignait pas un profond ras-le-bol dans la population, qu’il a su exprimer vigoureusement.
Combien sont-ils à s’être mis la tête dans le sable pendant des années avant de reconnaître aujourd’hui que ce mouvement, que j’ai qualifié dans mon livre La révolution racialiste, en 2021, de virus idéologique, dévore les sociétés qu’il contamine, en les plongeant dans une forme de névrose collective?
Définissons le wokisme:
Le wokisme est fondé sur une vision paranoïaque de la civilisation occidentale, qu’il assimile à un complexe néocolonial de systèmes discriminatoires (racisme, sexisme, hétéropatriarcat, etc.) poussant à la répression des minorités ethniques et sexuelles par une série de discours haineux phobiques, au service de l’homme blanc hétérosexuel, qui en serait le fondement et le bénéficiaire exclusif.
Cette vision prend la forme d’une révélation religieuse inconsciente d’elle-même, convaincue d’incarner le bien, et surtout convaincue que ceux qui s’opposent à elle sont dans le mal absolu.
J’ai parlé d’une révélation religieuse. C’est que le wokisme, son nom le dit, est une doctrine de l’éveil, censée nous délivrer de notre sommeil dogmatique occidentaliste. Qui se délivre de cette illusion découvre alors un monde à ce point horrible qu’il en est souvent pris de tremblements – et je ne dis pas cela qu’au sens imagé, car nous avons tous vu des wokes, qu’on aime piquer en les appelant les cheveux bleus, basculer dans l’hystérie lorsqu’ils manifestent contre la venue d’un conférencier qu’ils n’aiment pas, ou lorsqu’ils se rassemblent en meute pour hurler la haine de notre monde.
Le wokisme croit se présenter comme une prise de conscience.
Celui qui s’ouvre les yeux, surtout s’il appartient à la majorité, doit entrer dans un processus pénitentiel sans fin, où il devra déconstruire ses privilèges – mais il s’agit d’une expiation sans rédemption, car le péché occidental a laissé une marque indélébile en lui.
Il doit donc être en situation de vigilance permanente pour ne pas retomber dans ses travers «héréditaires» et en faire toujours plus pour demeurer «éveillé» et devenir un allié des «minorités», dont les revendications deviennent sa boussole morale et idéologique.
Qui ne donne pas immédiatement raison à ces revendications est accusé de déshumaniser les «minorités».
Le wokisme, on l’aura compris, fonctionne à la censure, car il nomme «discours de haine» tout propos qui ne reprend pas exactement la définition que les «minorités» donnent d’elles-mêmes (on aura compris qu’on parle moins des vraies minorités ici que de ceux qui prétendent parler en leur nom, avec des revendications toujours plus hystérisées).
Ainsi, la moindre réserve exprimée à l’endroit d’un homme se prenant désormais pour une femme au nom de son «ressenti de genre» est assimilée à un discours haineux.
Le rappel de l’existence d’une réalité qui ne vient pas se dissoudre dans les fantasmes des uns et des autres passe pour un discours haineux, caractéristique de «l’extrême droite».
Celui qui n’est pas woke est un réactionnaire, accroché à l’humanité d’avant la révélation diversitaire. Il faut donc le traiter comme le bois mort de l’humanité.
Le wokisme prend le relais du communisme dans l’histoire de la gauche totalitaire.
J’en vois certains vouloir sauver le wokisme des dérives qu’on lui prête. C’est ne pas comprendre que le wokisme est une dérive lui-même, dès ses origines.
La société libérale est parfaitement capable de corriger elle-même les injustices qu’elle génère inévitablement, sans verser dans cette idéologie qui pousse à un contrôle social intégral, car il est jugé nécessaire, par exemple, pour combattre le «racisme systémique», qui serait constitutif de l’ordre social.
Ce rêve d’un contrôle social total, politisant jusqu’à l’intimité, est au centre de la doctrine EDI (équité, diversité, inclusion), qui est un wokisme managérial, aujourd’hui hégémonique dans les entreprises, et particulièrement dans le domaine des ressources humaines.
Quand nous voudrons vraiment lutter contre le wokisme, nous devrons démanteler tout ce qui touche à l’EDI. C’est le wokisme cravaté. Il est bien plus dangereux que celui des cheveux bleus.
Je note une chose: le wokisme s’appuie sur une sociologie absolument simpliste, détachée de la complexité des sociétés réelles, empiriques.
On le voit dans sa définition du supposé racisme systémique, qui est une théorie conspirationniste bête à manger du foin.
Elle fonctionne ainsi: elle constate une disparité statistique entre certains groupes, identifiés par la bureaucratie diversitaire, et en conclut que cette disparité ne peut s’expliquer que par l’existence d’un système discriminatoire implicite produisant ces «inégalités».
Elle néglige au même moment des hypothèses sociologiques bien plus fécondes pour expliquer ces disparités, qui n’ont rien à voir avec le racisme.
On le voit notamment lorsqu’il est question du soi-disant «profilage racial» dont se rendrait coupable la police, ce qui est une immense sottise.
Je note une autre chose qui n’est pas sans intérêt.
Pendant un bon moment, la gauche fut fière d’être woke. Elle l’est encore souvent en expliquant que de son point de vue, le wokisme n’est rien d’autre qu’un engagement pour la justice sociale.
Mais voilà, l’étiquette s’est retournée contre elle, et cela, pour la première fois depuis longtemps. Elle ne sait plus vraiment quoi faire.
Alors après nous avoir expliqué que le wokisme était le sommet de la vertu, elle nous explique désormais qu’il n’existe pas.
C’est bien la première fois que la gauche radicale perd ainsi, sur une question importante, une bataille rhétorique. Elle se désole même qu’on lui colle une étiquette (qu’elle revendiquait, je le redis) alors que l’essentiel de son travail théorique consiste depuis longtemps à forger des concepts-étiquettes pour disqualifier ses contradicteurs.
Il faut dire qu’elle fonctionne toujours ainsi.
Elle nous explique que l’immigration massive n’existe pas tout en ajoutant qu’elle est formidable, nécessaire, et que sans elle, nos sociétés basculeraient dans l’intolérance et le repli sur soi.
Elle nous explique que les excès du féminisme n’existent pas et en même temps, elle les justifie en disant que nos sociétés ont été à ce point dominées par le patriarcat que ces excès sont non seulement pardonnables, mais légitimes et nécessaires.
Elle nous explique désormais que le wokisme n’existe pas, mais qu’il est absolument vertueux et que nous devrions avoir honte de ne pas être wokes.
Il est nécessaire d’être antiwoke, pour peu qu’on se veuille sincèrement démocrate, libéral, soucieux du pluralisme, soucieux aussi d’une vie publique équilibrée, faisant droit à la diversité des points de vue, et refusant de réduire la politique à un combat des gentils contre les méchants.
J’ajoute, d’un point de vue québécois, qu’il est heureux que les nationalistes s’emparent de la critique du wokisme, car elle trouve un écho dans la conscience populaire.
Le wokisme est un totalitarisme.
Et le nationalisme québécois est aujourd’hui en partie un antiwokisme (bien qu’il ne se réduise pas à cela, évidemment, car la vie collective ne s’épuise pas dans cette question).
Cette bataille doit être menée, et PSPP la mène bien.
(fin du texte explicatif de Mathieu Bock-Côté)
Source: Définissons le wokisme (qui est un totalitarisme)
Au Québec, nous avons donc le Parti québécois comme allié pour combattre cette idéologie maléfique. Un Québec libre saura se libérer des entraves à son essor, à commencer par le wokisme anti-national.
Toujours au Québec, l'Actualité a placé Mathieu Bock-Côté au 12è rang des personnalités les plus influentes en 2024, à la hausse.
Le palmarès des 100 personnes les plus influentes du Québec
Le palmarès des 100 personnes les plus influentes du Québec
l’équipe de L’actualité, collaboration à la recherche et à la rédaction : Jean-Philippe Cipriani
L'équipe de L'actualité vous présente sa liste des 100 personnalités les plus influentes en 2024. Cet exercice s...
Réjean Labrie Répondre
14 décembre 2024On trouvera ici de multiples exemples du wokisme au quotidien:
Que faut-il demander à la population pour savoir ce qu'elle pense du wokisme?
Il s’agit de demander si elle croit qu’un homme qui se déclare soudainement femme peut participer à des compétitions sportives féminines, comme on l’a vu aux derniers Jeux olympiques.
Il s’agit de savoir si elle croit qu’un homme (en fait, une femme biologique qui s’autoproclame homme sans avoir pour autant connu une chirurgie de changement de sexe) peut accoucher.
Il s’agit de savoir s’il faut soumettre les enfants ou les adolescents à des chirurgies et thérapies de changement de sexe (que nos amis wokes appellent «chirurgie d’affirmation de genre»).
Il s’agit de savoir si elle pense que le racisme antiblanc n’existe pas, même quand on entend des gens dire «sales Blancs», comme on l’entend souvent en France et quand les Blancs sont formellement exclus de certains emplois, comme on le voit avec la discrimination positive.
Il s’agit de savoir si elle croit qu’il existe une telle chose qu’une «islamophobie systémique» dans nos sociétés, comme on le croit au Canada, où on a même nommé à Ottawa une responsable chargée de la combattre.
Il s’agit de savoir si elle croit légitime de réserver certains programmes gouvernementaux aux gens d’une certaine couleur de peau, comme on le voit avec le programme fédéral de soutien réservé aux entrepreneurs noirs.
Il s’agit de savoir si elle croit nécessaire d’infliger aux employés d’une entreprise des formations de rééducation en «diversité» à travers l’approche EDI et de massacrer la langue française avec l’écriture inclusive.
Il s’agit de savoir si on doit automatiquement se faire accuser de racisme si on s’oppose à l’immigration massive.
Il s’agit de savoir si la population est favorable à la censure des conférenciers qui déplaisent à la gauche.
Source: Vers un consensus antiwoke?
Réjean Labrie Répondre
7 décembre 2024Les bandes de wokes mal biaisés cherchent à se répandre partout, même dans les musées, qui deviennent des organes complices de propagande wokiste, visant à remplacer les natifs un par un par des étrangers.
Imaginez, au Musée des Beaux-Arts de Québec situé sur les Plaines d'Abraham, le plus gros de la ville, qui est consacré à la valorisation de l'art québécois et son histoire, on vient de nommer une turque musulmane du nom quasi imprononçable et impossible à retenir de Özlem Gülin Dağoğlu!
Le musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ), une société d’État, vient de nommer sa nouvelle conservatrice de l’art moderne québécois (1900-1960) Özlem Gülin Dağoğlu qui est spécialisée... en théorie du genre, en féminisme, en migration et en décolonisation. 4 péchés capitaux wokistes et non les moindres!
Tous son passé va dans le mauvais sens de l'idéologie wokiste. Quels dégâts elles s'apprête à accomplir!
Tous les postes de nos musées doivent être attribués à des Québécois de souche, dont c'est la vraie et authentique culture, pas à des importés des îles Moukmouk, ou turc-turc, qui arrivent avec leur agenda woke bien caché, ou plutôt, bien affiché, comme dans le cas décrit et décrié.
Référence: Une musulmane turque pour déboulonner la culture québécoise, qu'elle ne connait pas
Les wokes envahissent les musées!
Réjean Labrie Répondre
6 décembre 2024Le toujours très avisé M. Joseph Facal donne un nouvel exemple du ridicule de l'application des mauvais principes du wokisme.
Il concerne l'un de nos grands nationalistes et indépendantistes prématurément disparu en 2023, M. Frédéric Bastien.
Frédéric Bastien détenait un doctorat de l’Université de Genève, était professeur au cégep Dawson et avait publié plusieurs ouvrages marquants.
En septembre 2021, le département d’histoire de l’Université Laval lance un appel de candidatures pour un poste de professeur en histoire du Canada et du Québec.
L’appel précise cependant que le poste serait, en raison des exigences du programme fédéral, réservé à une personne appartenant à l’une ou l’autre de quatre catégories: femme, Autochtone, handicapé ou minorité visible.
L’Université Laval n’a soumis aucune candidature au programme fédéral. Aucune.
Le poste n’a pas été comblé.
On n’a pas trouvé de docteur en histoire suffisamment expérimenté et compétent... qui appartienne aussi à l’une des quatre catégories mentionnées plus haut.
(fin de la citation)
Source: Lorsque que le wokisme s'enfonce dans la bêtise
Le wokisme dans les universités doit être éliminé. Tous les postes attribués selon ses règles délétères et discriminatoires envers les Blancs doivent être annulés.