Il faut renvoyer les immigrants qui vivent aux crochets de la société

5 fois plus d'immigrés dépendants de l'aide sociale au Québec

avec le double du taux de chômage du Québec au complet!

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Tribune libre

Les plus récentes statistiques sont consternantes: les immigrés dépendant de l'aide sociale et vivant à nos crochets de manière chronique sont en constante augmentation. De plus, ils siphonnent l'assurance-chômage à leur profit. Ils surchargent les services publics au-delà de notre capacité à leur fournir, au détriment de notre propre population. Le surplus de ceux d'entre eux qui n'arrivent pas à subvenir à leurs besoins doit être renvoyé.


Les chiffres officiels disent tout:


1- Le nombre d’assistés sociaux immigrants a quintuplé, passant de 12 960 en 2021 à 69 160 en 2023. Et un nouveau sommet risque fort bien d’être atteint en 2024, puisque seulement entre les mois de janvier et de juin, 68 330 demandeurs d’asile ont eu recours à l’aide sociale au Québec, selon des chiffres du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale. Cela fait des centaines de millions de dollars par année en pure perte.


2- Le taux de chômage des immigrants a dépassé le double de celui de la province au complet !


3- En deux ans, la proportion de Canadiens qui se disent d’accord avec l’affirmation « il y a trop d’immigrants au Canada » a plus que doublé, passant de 27 à 58 %. Et ces chiffres sont à la hausse.


À lire: Comment peut-on bloquer le type d'immigrants qui créent de l'insécurité collective?


Centre social d'aide aux immigrants - fr - CSAI


Et vous pouvez être persuadés que cela ne les dérange pas le moins du monde de profiter de nos largesses. On leur avait promis un buffet à volonté de services publics mur à mur; ils ne s'en priveront certainement pas. Ils se servent avidement et redemandent du dessert. Montez dans les pays riches, et on va vous prendre en charge à vie. C'est ce qu'on leur a promis, c'est ce qu'on leur accorde. Et ils ne se gêneront pas pour l’exiger.


À lire: 40 signes qui ne mentent pas qui font qu'on ne se sent plus chez nous


Sondage Léger sur l'immigration: Québécois et Canadiens trouvent que le  Canada intègre mal ses immigrants | JDM


Voici quelques pistes de solution pour corriger la déplorable situation devenue si fréquente de se laisser vivre à nos crochets:


Mesure 1:


Tout immigré qui est à l'aide sociale depuis 3 mois sera renvoyé dans son pays pour inaptitude à subvenir à ses propres besoins. Il n'aura qu'à reprendre le travail qu'il faisait chez eux avant d'émigrer. On n'est pas responsable de son sort, ni du reste de l'humanité.


Mesure 2:


Tout immigré qui a reçu de l'aide sociale plus de 3 mois sera renvoyé automatiquement. De plus, avant de quitter, il devra travailler sans salaire le temps requis pour rembourser tous les frais qu'il a occasionné à notre société depuis son arrivée, incluant les prestations d’aide sociale.


Mesure 3:


Tout immigré qui épuise toutes ses prestations d'assurance-chômage ne pourra plus en recevoir avant 10 ans, ni soutirer de l'aide sociale plus de 3 mois, après quoi on applique la mesure 2.


Sondage Léger sur l'immigration: Québécois et Canadiens trouvent que le Canada  intègre mal ses immigrants | JDM


Il faut se sortir de la tête la fausse idée qu'une fois qu'un immigré étranger est entré ici, on doit rester "pogné" avec lui le restant de ses jours. S'il ne répond pas aux attentes, il suffit de le renvoyer. Il pourra être remplacé par des millions d'autres mieux qualifiés capables de le remplacer avantageusement. Ne restons pas pris avec les pogos les moins dégelés de la boîte, pour reprendre le meilleur mot d'esprit de la députée Manon Massé.


À lire: Que le surplus de prétendus demandeurs d'asile soit renvoyé sans délai



Note: Cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet


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Réjean Labrie882 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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