Suite aux accusations du lobby juif et de leurs valets rouges, je me suis posé deux questions.
1- Le fait que Fournier ait cité mon nom au sujet d'un vieux texte ([Monsieur Juif->36459]), qui se voulait d'abord une dénonciation de la spirale de la violence, et que le sens de mon texte ait été tordu par un ministre tordu d'un parti tordu pour en faire une « incitation au meurtre » change-t-il quelque chose à ma vie, et à la donne politique actuelle ?
2- Continuer en ce sens aide-t-il la cause indépendantiste, ou l'inverse ?
Moi, si on me demande de quelle couleur est le mur et que je le vois bleu, je vais dire qu'il est bleu. Mais si je crois qu'il est préférable pour la souveraineté politique de mon peuple de dire qu'il est vert, je vais dire qu'il est vert. Tant que la liberté a des chaînes aux poignets, elle n'a que faire de la vérité la-la-l'ère...
Je crois qu'il est préférable pour le moment de ne pas insister sur un tel sujet, non pas parce que nous serions plus ou moins antisémites que d'autres peuples, mais parce que notre situation de minoritaires et de dominés fait en sorte que nous devons montrer pattes blanches.
Le congrès juif d'ici (ainsi que les congrès italien et grec), ont tout fait en '95 pour nous barrer la route de la souveraineté et s'en sont même vantés. De ce fait, ils sont non pas des adversaires, mais bien des ennemis politiques et à mon avis, il faut d'abord les considérer comme tels, puis réfléchir et trouver la façon la plus intelligente de les contrer. Je dis « contrer » parce que je ne crois plus que nous puissions convaincre les dirigeants de ces organismes. Leurs fils, enfants de la loi 101, peut-être ?
Je remercie ceux qui ont cherché à m'aider dans cette histoire de fous. Je ne crois vraiment pas que nous ayons quoi que ce soit à gagner sur ce terrain, alors revenons donc à nos moutons...
et transformons-les en béliers !
André Vincent
P.S. Il m'arrive même d'être sage à l'occasion...