"Gouvernance souverainiste"

Tribune libre

La gouvernance souverainiste mentionné dans l'article suivant:

http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200905/29/01-861342-gouvernance-souverainiste-le-pq-jouera-la-carte-du-rapatriement-des-competences.php

est de la bouillie pour les chats.
Le fédéral refusera, cela ira devant la Cour Suprême et 10 ans plus tard on se retrouvera au même point.
À ce que je sache, des référendums sectoriels n'auront aucun impact sur la réalisation de ces objectifs.
Cette gouvernance souverainiste dont on parle depuis quelques années est le pire étapiste qu'il n'y est jamais eu.
On ne réussi même pas à être propriétaire des terrains autour de l'Assemblée nationale et on espère faire reculer Ottawa dans son empiètement sur nos compétences.
Le pire de tout cela, c'est qu'on ne promet aucun geste de rupture et que cette gouvernance souverainiste se limite à quelques juridictions.
De toute façon la gouvernance souverainiste est la façon normale de gouverner le Québec, pas besoin d'en faire le point principal de son programme.
Vous venez de trouvez une raison de vous croiser les bras d'ici la prochaine élection et d'éviter de faire ce que vous êtes tenus de faire selon le programme du parti: parler de souveraineté et mobiliser les forces souverainistes.
Le point principal du P.Q. c'est de dire quotidiennement pourquoi la rupture est nécessaire. C'est aussi de se comporter comme si les campagnes électorales avaient commencées, sinon, le Bloc Québécois ne sera pas aussi chanceux aux prochaines élections et le P.Q. restera l'opposition.
Autrement dit, il faut se comporter comme s'il ne nous restait qu'une année à vivre.
Je ne sais pas qui décide au P.Q. mais cela commence à ressembler à du despotisme.
Je vous suggère, vous députés des régions où le français n'est pas menacé, à venir passer vos vacances d'été en Ontario, oh excusez, je voulais dire à Montréal. Je crois que cela changerait votre façon de voir les choses.

Daniel Roy, C.A.


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11 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    @ M. Robert Bertrand
    Vous dites :
    « POUR S’UNIR, il nous faut s’asseoir et travailler ENSEMBLE. Est-ce possible ? »
    OUI, c'est possible ! Si nous le voulons et si celles et ceux qui le veulent disent qu'ils le veulent et ont le courage de faire ce qu'il faut pour matérialiser leur VOLONTÉ en ACTE, comme le dit si bien M. Sauvé dans son titre Ne dites plus de stupidités - René Marcel Sauvé - Tribune libre de Vigile - 28 mai 2009
    Avoir le courage en la circonstance c'est avoir le courage de renoncer au découragement, au procès d'intention, à la démission, au blâme improductif, pour choisir la critique constructive, la mobilisation citoyenne, l'expression libre de ses idées pour fin de partage et de discussion dans le but de nous entendre sur l'essentiel.
    OUI, il nous faut un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ exposant un PROGRAMME de GOUVERNEMENT de SOUVERAINETÉ, de COALITION souverainiste si possible, et décrivant « les gestes qui seraient posés, les lois qui seraient mises de l’avant pendant les 100 premiers jours... les deux cents premiers jours... » à la faveur d'un élection décisionnelle.
    Je propose pour ma part à titre de premiers gestes :
    - La réunion de l'ASSEMBLÉE de la DÉPUTATION du PEUPLE SOUVERAIN du QUÉBEC, élue pour siéger à Québec et Ottawa et qui pour la première fois siégerait à Québec ; Voter pour tel Programme obligerait au moins légitimement et moralement à y siéger tous député(e)s de tous partis ;
    Cela pour qu'elle se prononce majoritairement ou unanimement si possible,
    - Pour voter une Proclamation déclarant invalide et illégitime l'actuelle Constitution du Canada jamais soumise aux voix du peuple et rejetée autant par les souverainistes, les autonomistes que les fédéralistes-rénovateurs ;
    - Sur une Constitution primordiale de l'État du peuple souverain du Québec qu'elle rédigerait avec le concours d'experts réunis pour la circonstance et la société civile
    - Telles Proclamation et Constitution serait ensuite approuvées par l'Assemblée nationale pour être nommément soumises aux voix du peuple souverain du Québec afin de leur donner force de LOI, la NÔTRE, la seule légitime et valide NÔTRE ;
    Toutes les propositions doivent être déposées sur la table, discutées au mérite, La Presse nous dit aujourd'hui que le PQ va en déposer une... ne reste qu'à la discuter. Et, si c'est cela que le PQ veut faire approuver dans 17 mois au Congrès du PQ, il faut dire que cela n'est pas suffisant.
    Nous restent 17 mois pour déposer d'autres propositions et les analyser. Cela, dans le but de concevoir un PROGRAMME COMMUN de souveraineté et de gouvernement capable d'emporter l'adhésion de toutes les composantes de la mouvance souverainiste dans l'union solidaire de nos différent regroupement électifs, une UNION souverainiste seule capable d'emporter l'adhésion de tout un peuple.
    OUI, nous pouvons faire cela, si nous voulons le faire.
    RESTE à celles et ceux qui le veulent, à le dire et d'y travailler avec courage et détermination.
    Je le dis, c'est ça que je veux.
    Qui d'autre le veut ? Qui d'autre le dit que c'est ça qu'il et elle veut ?
    Une discussion sur la base de la présentation de propositions et leur analyse dans le but de concevoir un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ d'ici 15 mois endossé par toutes les composantes de la mouvance souverainiste pour qu'il soit adopté par le Congrès du PQ et par tous les partis politiques souverainistes parties de L'UNION SOUVERAINISTE unie autour d'un PROGRAMME de GOUVERNEMENT de COALITION SOUVERAINISTE

  • Gaston Boivin Répondre

    30 mai 2009

    Je voudrais bien avoir tort, mais mon impression est que le P.Q., c'est de plus en plus l'A.D.Q., un parti chloroforme, "chlroformiste", qui s'endort en endormant le Québec: La grande illusion au service du pouvoir à tout prix!
    C'est Perrette qui trébuche et perd sa cruche: Adieu veau, vache, cochon et couvée! C'est le chien qui lâche sa proie pour l'ombre!

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    Je suis assez favorable à la proposition qui sera soumise au PQ car pour la première depuis Parizeau, il y a la pédagogie de l'Indépendance à l'Ordre du jour et c'est précisément ce qu'il faut faire. Les gens ne savent pas ce que c'est que la souveraineté. C'est d'abord et avant tout, les pouvoirs d'un État et Pauline Marois insiste sur ces pouvoirs comme Parizeau le faisait. Il faut toutefois une carte d'électeur, c'est le nerf de la guerre que cette carte sans laquelle on se fera voler encore une fois comme le 30 octobre 1995.
    Les Québécois ne sont pas des felquistes ! Donc il est nécessaire d'avoir le plus grand tirant d'eau possible afin d'attirer celles et ceux qui ne pensent pas encore comme nous.
    Faire connaître les pouvoirs d'un État que l'État du Québec, qui existe déjà comme le rappelle souvent le Général Sauvé, a besoin nous permettra donc d'abord de les faire connaître ces fameux pouvoirs qui nous manquent et dont la majorité des gens ignorent la nature et la portée. C'est le goût de la liberté et de l'Indépendance qu'il faut donner au peuple et cela seule l'éducation politique et nationale peut le faire convenablement.
    Cessons de faire le jeu d'Ottawa et de ses agents... Faisons le ménage dans nos rangs.
    Une génération des vivants tassera celle des morts...Lamarche du 24 mai l'a éloquemment montré.
    Pauline Marois s'inscrit dans le sillon de Jacques Parizeau par son projet essentiellement pédagogique. C'est très habile.
    GR

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    M. Bousquet: Oui, le gouvernement Charest n'est pas un gouvernement normal. Il ne représente pas la majorité francophone québécoise. Aussi, comment est-ce que les Québécois pourraient se sentir embrigader par un parti souverainiste, on ne parle même pas de souveraineté. On n'en parle tellement pas, que les gens ne savent même plus pourquoi faire la souveraineté et sont conditionnés bien sûr par le Canada. Nous sommes comme des robots conditionnés par Ottawa à penser que tout est normal et que s'il y a quelqu'un a blâmer c'est nous. Les Québécois réaliseront qu'ils sont victimes d'un génocide quand nos élus et nos élites le réaliseront. Nos élus et élites sont restés insensibles aux récentes révélations sur le recul du français et sur l'impossibilité de faire passer nos attentes à Ottawa et même à Québec face à un gouvernement fédéraliste. C'est complètement inacceptable. Enfin, pour gagner des élections, ils faut parler de souveraineté, il faut que le P.Q. se démarque des autres partis et qu'il ne soit pas gêner de parler de la vérité: le génocide.
    M. Archambault:: Vous avez raison. L'union de nos forces est nécessaire. M. Gilles Rhéaume suggérait des états généraux et ou une coalition électorale.
    M. Bertrand:: Vous avez mis le doigt dessus, les concessions pour atteindre le but ultime.
    Daniel Roy, C.A.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    J'ajouterais...
    Notons qu'à sa droite cette photo se trouve l'ADQ et à sa gauche QS. Voilà réunies toutes obédiences confondues les voix du peuple souverain du Québec, canadianisateurs en moins.

  • Robert Bertrand Répondre

    30 mai 2009

    Rappelons-nous, pendant la dernière période référendaire...
    Jacques Parizeau était à la barre. Il y avait tous les autres qui tiraient de leurs côtés.
    Combien de concessions a fait Parizeau à Bouchard pour qu'il vienne à ses côtés ? Ce serait bien de publier une analyse de cette petite période. Existe-t-elle cette analyse ?
    Est-ce que tous les membres élus du Parti Québécois ont fait leurs efforts dans leurs propres circonscriptions pour être de toutes les tribunes et parler dans le sens de la réussite du référendum ?
    Nos pires adversaires, sont dans nos rangs de Québécoises et Québécois qui en veulent toujours un peu plus, un peu plus haut... un peu plus loin... plus à gauche, plus à droite, plus... plus... encore plus... mais pas atteindre le premier objectif le pouvoir.
    En fait, pour progresser véritablement dans cette UNION NÉCESSAIRE, ne s'agirait-il pas de prévoir les gestes qui seraient posés, les lois qui seraient mises de l'avant pendant les 100 premiers jours... les deux cents premiers jours... ?
    Pour croire en nos gens, il nous faut de plus en plus de preuves tangibles. S'asseoir pour créer un agenda d'actions et s'y conformer.
    POUR S'UNIR, il nous faut s'asseoir et travailler ENSEMBLE.
    Est-ce possible ?

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    Suite
    Mais tout cela ne suffit pas, ce n'est qu'un partie de la donne. Nous restent 17 mois avant le Congrès du PQ pour trouver la formule, exposer toutes celles qui pourraient participer à sa mise au point, en discuter, se mettre d'accord, cela dans le contexte d'un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ, à endosser par une large coalition de gouvernement souverainiste appuyée par un large consensus de toutes les composantes de la mouvance souverainiste. Nous en sommes loin, mais nous avançons dans la bonne direction. Celle qui permet de mettre sur la table des propositions dont il nous faut discuter et disposer.
    Un autre indice est encourageant. Il illustre bien ce que pourrait être une coalition souverainiste de gouvernement, et cet indice précurseur présente sur la même tribune, je pense pour la première fois solidaires, PQ, ADQ et QS réunis pour exiger une enquête sur la CDPQ afin de la soustraire à terme de la tutelle canadianisatrice qui veut l'assujettir au pouvoir de Bay Street ou la détruire.

    (La Presse 20209 05 29 - Les trois partis réclament une enquête sur la Caisse)

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    Vous avez d'après moi en partie raison.
    Vous avez entièrement raison sur plusieurs points. Même si les Québécois se prononcent sur tel ou tel rapatriement de tel ou tel secteur de notre souveraineté territoriale ( Les Plaines ), culturelle ( Radio-Canada, le CRTC, Téléfilm-Canada, etc. ), économique et financière ( Impôts et taxes ), le Canada pourra très bien rejetter ces demandes exprimées par les voix du peuple souverain du Québec.
    Cependant, je ne crois pas que ce soit pour autant de la « bouille pour les chats ». Cela à plusieurs égards, pédagogiques et stratégiques. Mais cela pourrait aussi se faire autrement et mieux. Reste à trouver la formule. Et, le PQ la cherche, nous la cherchons même si d'aucuns au PQ, ici dans Vigile, et ailleurs dans la mouvance souverainiste, pensent l'avoir trouvée. Nous sommes en train de sortir du deuil de la défaite référendaire de 1995. Nous sommes en train de préparer un grand rendez-vous électoral. Celui qui renverra à Ottawa Jean Charest. Celui qui pourra nous permettre de procéder à une élection décisionnelle. Et, cela ne pourra se faire de manière victorieuse que dans la mesure où nous nous entendons sur la formule de manière à faire l'UNION de nos forces autour d'un Programme commun de souveraineté endossé par toutes les composantes de la mouvance souverainiste, dont, tous les partis politiques souverainistes, Bloc, PQ, QS, PI voir l'ADQ qui l'a déjà été. Tout cela formant de gauche à droite en passant pas le centre un tout uni sur un point, la fondation d'un État légitime et valide par les voix libres du peuple souverain du Québec.
    La formule n'est ni commune ni au point. Mais toutes les propositions doivent être analysées au mérite dans le but de faire naître le consensus qu'il nous faut et sur lequel nous devons nous entendre. Et, comme vous le dites, ce ne pourra être sur un programme de gouvernement qui pour l'heure semble mis de l'avant dans ce qui nous est dévoilé par La Presse d'aujourd'hui. Soit dit en passant tout aussi biaisées dans la présentation de la nouvelle. Vous aurez remarqué à quel point il met en évidence ce qui pourra heurter les « purs et durs », comme nous.
    La formule n'est pas au point, cela n'est pas suffisant, nous sommes d'accord. Un tel programme ne peut emporter l'adhésion de toutes les composantes de la mouvance souverainiste. Mais d'un strict point de vue pédagogique, certains aspects méritent d'être conservé dans une perspective où une telle politique est complété par un Programme commun de souveraineté endossé par l'ensemble du mouvement souverainiste.
    - De un, on parle de souveraineté ;
    - De deux, le fait de mettre en valeur secteur par secteur les impacts concrets de notre souveraineté politique, économique et culturelle permet non seulement d'en prendre la mesure mais aussi de considérer hors les menaces de représailles ce que cette mesure pourrait engendrer de positif pour les Québécois.
    Ce qui n'est pas à négliger. Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Nous devons emporter l'adhésion libre des Québécois, pour cela rien de mieux que de démontrer que dans tel secteur de notre activité nous pourrons :
    - Éliminer les dédoublements de technocratie ;
    - Décider nous-mêmes ce qui est de notre propre ressort :
    - Cesser d'attendre que deux gouvernements se querellent et s'entendent ;
    - Cesser d'assujettir ce qui est ou devrait être de notre seul ressort au bon vouloir de l'ensemble du Canada ;
    - Cesser de remettre notre pouvoir sur ce qui nous concerne à la tutelle canadianisatrice et à son objectif de « nation building » à savoir :
    - le multiculturalisme, le bilinguisme, la négation de notre existence en tant que peuple dès lors confiné à la notion ethnique, une parmi d'autres et incapable de se constituer en tant qu'État valide sur son territoire national, etc.
    Suite ici-bas

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    M. Roy écrit : « De toute façon la gouvernance souverainiste est la façon normale de gouverner le Québec, pas besoin d’en faire le point principal de son programme.»
    Ça voudrait dire que le gouvernement Charest ne serait pas un gouvernement québécois normal.
    Il ajoute : «Le point principal du P.Q. c’est de dire quotidiennement pourquoi la rupture est nécessaire. C’est aussi de se comporter comme si les campagnes électorales avaient commencées, sinon, le Bloc Québécois ne sera pas aussi chanceux aux prochaines élections et le P.Q. restera l’opposition.»
    Tenter de trop d’embrigader quotidiennement les Québécois ne servirait qu’à les écœurer.
    L’affaire est assez simple : Il n’y a pas un nombre suffisant de Québécois qui veulent se séparer du ROC et il n’y en aura pas plus tant qu’ils ne sentiront pas qu’ils sont victimes d’un génocide de la part du ROC. Le PQ devrait faire quoi en attendant ? Laisser le pouvoir aux Libéraux très très provinciaux en déclarant : Si vous nous élisez, ça va être l’indépendance le lendemain ?
    L'enfer est pavé de bonnes intentions et les bonnes intentions ne sont pas suffisantes pour gagner les élections.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    Le PQ nous propose de voter pour lui afin qu'il puisse s'agenouiller devant le fédéral anglais pour lui demander gentiment s'il voudrait bien, S.V.P., dans un élan de générosité, nous accorder le pouvoir sur certaines de nos "compétences" stratégiques comme la culture, la langue, l'impôt. Reconnaissant ainsi que le fédéral est bien l'autorité légitime et possesseur de ces pouvoirs sur le peuple québécois.
    Et ce, même si nous n'avons pas signé la constitution !
    Si le fédéral "veux pas", le PQ nous dit qu'il fera alors un référendum pour chaque compétences, pour voir si le peuple québécois veux vraiment avoir le pouvoir sur elles !
    Pourquoi vouloir nous faire voter deux fois sur la même chose ? Pourquoi ne pas simplement promettre qu'un vote pour le PQ est un vote pour une déclaration du peuple québécois, par la voix de ce gouvernement élu démocratiquement, de la prise en charge légitimes de toutes ses compétences ?
    Nous n'avons pas à quémander à qui que ce soit ce que nous aurons décidé démocratiquement par nous-mêmes en tant que nation !
    Il est temps que le PQ mette ses culottes, car le jupon dépasse !

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    Le Plan Marois s'apparente a celui de M Larose; sauf qu'on y parle de gestes de souveraineté plutôt que d'actes d'État.
    Cette nuance est d'importance car elle marque la différence entre la rhétorique du vide et une politique qui s'incarne dans l'État, qui seul agit avec envergure.
    Autrement ce plan est le bon. Car il ne s'agit plus de parler de souveraineté mais bien de la faire. Et on ne peut agir qu'a partir des assises de l'État.
    J'ai eu l'occasion de commenter le Plan Larose dans Le Devoir (Opinion):
    http://www.vigile.net/Pauline-l-important-c-est-Larose
    La difficulté consiste a comprendre le changement de paradigme: On attend plus le Grand Soir, on prend le contrôle systematique de notre État immédiatement.
    Reste a savoir si le PQ peut assumer et incarner cette politique dans l'État..
    JCPomerleau