Il n'y a pas UNE journée ou des scènes d'horreurs de la sorte émergent de la société dans laquelle nous vivons tous. Mais vers quoi nous dirigeons-nous comme peuple ?
Quel sera le thème principal de la campagne électoral, les ponts, les autoroutes, les monorails, les trains, plus d'électricité, moins de pétrole, plus d'ameublement hospitalier, plus de salaire pour les uns et moins de services pour les autres avec un petit retour d'impôts. Plus d'ouverture envers les immigrants qui traversent nos frontières par les chemins de travers, plus de compréhension envers ces mêmes humains qui nous arrivent de partout où nous avons foutu le bordel en étant complice par nos silences quand nous n'avons pas nécessairement participer activement aux désastres géopolitiques. Un peu de peinture sur les murs de nos écoles, un peu plus d'éducation physique à défaut d'éducation de qualité, un cours d'anglais à la maternelle, des cours de sexualité en première puis la pratique au secondaire, un code sur l'habillement quand on a même plus de code sur les valeurs humaines. Que sont devenu ces valeurs chrétiennes qui faisaient que nous étions emphatique et bienveillant pour notre prochain. Nous avons balancé les valeurs chrétiennes aux « profits » des valeurs individuelles et sommes-nous plus riche, certainement pas sur le plan humain.
Je ne sais pas quel sera le thème principal des solliciteurs de mandat mais je sais que la solidarité sociale est bien plus prospère pour une société comme la nôtre que tous les petits entrepreneurs mis ensembles.
Tous ceux-là que nous laissons pour contre, coûtent les yeux de la tête plus tard, un jour ou l'autre nous payons pour nos innactions présentes et ces coûts sociaux que nous assumons TRÈS mal aujourd'hui ne font qu'appauvrir notre société qui périclite sans cesse depuis quelques décennies. Un moment donné va falloir que quelqu'un quelque part paler des vraies affaires.
Alors, faudrait y penser avant d'aller voter pour un métro, de l'asphalte ou un petit chèque d'impôt. Vous savez comme payeurs de taxes, nous avons le droit et le devoir de demander des comptes à ceux à qui nous allons remettre notre destiné pour les quatre prochaines années.
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