J’ai vu un reportage hier au Téléjournal de fin de soirée à Radio-Canada portant sur la lutte électorale dans la circonscription de Verdun. La candidate de Québec solidaire, Alejandra Zaga Mendez, a déclaré : « Je sens qu’on peut connecter avec tout le monde, même les personnes anglophones. »
Tout de suite après cette déclaration, on la voit aborder une anglophone dans sa langue en lui demandant si Québec solidaire est une option pour elle. « Oui », lui répond cette dernière, avec un grand sourire. Si le parti de Gabriel Nadeau-Dubois plaît à ce point aux anglophones, c’est qu’ils ne craignent nullement de perdre leur langue et leur pays avec lui.
Quand les anglophones commenceront à voter pour le Parti québécois, ce sera la fin du rêve d’indépendance et le début de la fin du français au Québec.
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