Cette idée du Nous opposé à Eux, nous vient de l'indéfinissable "Pratte-à-quatre...".
["S'il y a un Nous, il y a forcément un Eux"->8644] écrivait-il et tous les
intellectuels ou presque tous, lui ont emboité le pas. A la télé, les
journalistes ânonnent cela à coeur de jour.
Cette petite phrase assassine est devenue une presque maxime, au-delà des
espoirs du scribouilleur. Elle atteint le résultat voulu: dresser les
québécois les uns contre les autres,
[ les nous contre les eux], les amener à se confronter. Et du même coup,
en donner une image de« petit peuple sans envergure...»
En fait, Pratte et ses compères nous regardent du mauvais bout de la
lorgnette, celui qui rapetisse. Ils NOUS voient xénophobes, racistes,
simplistes, refermés sur nous-mêmes, petits quoi!
Alors, faites comme moi: tournez la lorgnette! Que voyez-vous maintenant?
Des GROSSES FACES: celles de Pratte, Dubuc, Marissal, Gagnon, Auger,
David, Descôteaux, Aubin, Legault, Courtemanche et autres. Laissons-les
scribouiller et s'égosiller sur notre non-droit à nous définir. Ne leur
accordons pas plus d'importance qu'ils n'en ont. «Ils s'énervent le poil
des jambes», comme on disait autrefois!!!
Pour leur répondre, parlons de NOUS, NOUS, NOUS!
NOUS, les Québécois, qui sommes prêts à accueillir les immigrants, NOUS qui
voulons leur apprendre notre langue pour leur donner une citoyenneté
québécoise, NOUS qui nous donnons l'obligation de leur trouver du
travail.
Qui veut diviser? NOUS ou EUX?
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