L’absence de barrières réelles et dissuasives a fait de la frontière canadienne une passoire trouée à pseudo-réfugiés idéale qui attire comme jamais tous les profiteurs alléchés par la prise en charge à vie que leur promet le généreux état canadien.
Les tentatives quotidiennes d’entrées par effraction qui se multiplient à outrance et qu’on nous montre au bulletin de nouvelles parlent d’elles-mêmes. Elles ont doublé rien que depuis un an et on peut s’attendre à un accroissement exponentiel devant la facilité à berner les autorités.
N’importe quel étranger peut se faufiler par les sentiers et traverser impunément la frontière non protégée de Lacolle sans être le moindrement entravé. Une fois passé, il ne lui reste qu’à jouer son rôle de pauvre victime menacée et d’attirer la pitié.
À noter qu’il n’a même pas besoin d’être convaincant comme acteur pour passer l’audition et recevoir son premier café chaud gratuit, et les premières salves d’applaudissements nourris des ligues de défenseurs bien-pensants des droits de la personne qui ne voient que du feu à ce petit jeu...
Mais d’où peuvent bien arriver toutes ces hordes de migrants clandestins ? Cela ne peut être des États-Unis, puisqu’il n’y a pas de persécution à cet endroit. C’est donc qu’ils proviennent des réseaux d’arnaqueurs internationaux qui leur fournissent tous les moyens pour arriver à leurs fins malhonnêtes, et les amener à destination, en échange d’argent. C’est un système bien organisé qui rapporte gros.
Ces sans-papiers illégaux n’ont fait que transiter par les États-Unis pour s’en venir profiter des largesses du système canadien. Mais puisque que ce ne sont pas des Américains, comment ont-ils bien pu s’y prendre pour y mettre pied en premier lieu ?
Il y fort à parier que ces gens-là n’auraient même pas été acceptés au pays s’ils avaient suivi la procédure légale habituelle de demande d’immigration. Par conséquent, on peut les accuser de vouloir profiter de passe-droits. On leur ferme la porte, ils entrent par en arrière en cassant une vitre.
Le gouvernement doit prendre toutes les mesures nécessaire pour défendre l’accès illégal au pays en repoussant énergiquement tous les pseudo-réfugiés à la frontière. Il doit à tout prix les empêcher de la franchir et renverser la tendance actuelle, sinon le raz-de-marée nous inondera de toute part. Et le barrage est déjà passablement ébréché.
Il importe également que le gouvernement se retire de l’accord international sur les réfugiés qui est devenue une véritable risée, une officialisation de la fraude de la mouvance humaine illégale.
Tentez votre chance, qu’on leur assure, ça marche à tout coup ! Tous les prétextes sont bons. Les traités sont de votre bord.
Les États-Unis sont pris avec 11 millions de latinos clandestins qui n’ont jamais eu d’affaire là, qui n’avaient aucun droit d’y pénétrer, et qui l’ont fait un par un, million après million. Faudra-t-il que le Québec en accumule autant avant de réagir ? Il y a des lois, des règles à respecter.
Le gouvernement américain a prouvé qu’il est possible d’expulser les sans-papiers indésirables qui n’ont pas respecté les règles, afin de protéger la société. Il a démontré que subir passivement l’infiltration envahissante en s’y résignant et en baissant les bras était loin d’être la bonne solution. Il a su prendre les mesures énergiques qu’il fallait.
Exigeons un tel courage, une telle détermination de nos élus à tous les niveaux.
Les Trudeau, Couillard, Coderre et compagnie vont à l’encontre du désir de la majorité des Québécois de souche qui tiennent à préserver les caractéristiques de leur identité nationale et qui ne veulent rien savoir d’un état passoire.
Nos frontières, passoire trouée à pseudo-réfugiés
La majorité des Québécois est contre
Tribune libre
Réjean Labrie889 articles
Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème gén&ea...
Cliquer ici pour plus d'information
Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.
Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.
L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.
Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
7 commentaires
Réjean Labrie Répondre
2 mars 2017Comme vous avez dû vous en rendre compte dans les conversations avec les gens autour de vous, on nous confirme que 4 Québécois de souche sur 5 sont contre l'arrivée d'immigrants illégaux qui tentent de se faire passer pour de pauvres réfugiés victimes de terribles persécutions.
Chiffres du sondage:
79% des personnes ayant le français comme langue maternelle se disent d'accord avec l'idée de resserrer la surveillance aux frontières pour empêcher l'arrivée d'immigrants illégaux.
Et je parie que parmi le reste, il y en a qui n'osaient pas dire le fond de leur pensée par soumission à ce que prétendent les bien-pensants mondialistes et multiculturalistes.
Ces chiffres démontrent positivement que les Québécois tiennent à leur identité collective et voient d'un mauvais oeil la venue illégales d'étrangers qui n'auraient sans doute pas été acceptés au pays par les voies normales.
Pierre-Yves Dubreuil Répondre
23 février 2017La première chose à faire, c'est de savoir comment et pourquoi ces gens sont arrivés ici. Sont-ils encouragés dans leur pays à fuir et de quelle façon? Quelles sont leurs aspirations et leur chance de les atteindre? Une étude approfondie serait la moindre des choses car il y a évidemment anguille sous roche.
Comment est-ce possible qu'il soit aussi facile de devenir citoyen canadien que de venir par voie immigratoire normale?
Il y a aussi la question du devoir d'aider autrui qui se pose, évidemment. Or la question demeure: mais qui donc cet autrui aidera? C'est bel et bien l'État qui acceuielle les réfugiés et non les citoyens uns à uns; les individus n'ont aucun contrôle sur ce qui adviendra des ces gens. Imaginez une crise économique sévère...Les réfugiés pourraient devenir une source (autre) de problèmes il est difficile de prévoir contre qui et pour qui ces gens pourraient se revirer.
Il y a ici même et ailleurs bien des ''gauchistes'' qui tendent à projeter leur propre personnalité dans le reste de la population en se disant ''si tout le monde les aidaient , ça irait mieux!''. Or l'ironie est souvent que ces ''gauchistes'' soient souvent plus individualistes qu'autre chose. D'ailleurs, on les reconnait bien par leur façon de faire porter tous les problèmes du monde par un certain Donald Trump et ses supporteurs.
Or ce n'est pas dans la volonté de tous, on s'en doutait, qu'on soit réfugié ou autochtone, d'aider autrui dans la misère, surtout dans une soicété aussi décadente que la notre ou l'opportunisme et le désir immédiat est roi.
Pour moi, l'acceptation de toute la misère du monde ne fait sens qu'à une seule condition, toute petite, qui est que tous les citoyens d'un pays qui recoit ces gens acceptent et comprennent que c'est chacun pour soi et tous contre tous ...c'est à dire: un anti-pays!
Une chose est certaine: avec la démographie sans cesse croisssante de certains pays extrêmement pauvres ( au premier rang les pays africains), il est fort à parier que ce ne soit qu'UN DÉBUT .
Réjean Labrie Répondre
23 février 2017On apprend aux nouvelles que cette année 36 pays ont réussi à défendre leurs frontières et à repousser migrants clandestins, pseudo-réfugiés, sans papiers illégaux dans leur pays d'origine.
Comme on pouvait s'y attendre, Amnistie International toujours aveuglément biaisée déplore la chose alors qu'il faut plutôt se réjouir que les nations susceptibles d'envahissement à long terme prennent les moyens de protéger leur société.
On dit que l'ONU est devenue sous l'emprise d'une clique de pays du tiers-monde qui tirent la couverture de leur bord. Amnistie International subit-elle le même sort? De louables organisations détournées de leurs beaux idéaux par ceux qui s'en emparent?
Le Canada doit se joindre au réveil des nations et combler les trous de sa passoire déclôturée.
Louise Michaud Répondre
23 février 2017Entre Valérie ''White Privilege'' Plante, et Denis ''Ville Ouverte'' Coderre, il sera urgent que les Montréalais trouvent et élisent un parti municipal qui ne soit pas à la solde des globalistes-gauchistes.
Afin que leurs intérêts, et non ceux des étrangers soient représentés. Il y a des limites à l'abus de la bonne foi, de la confiance et de la générosité des Montréalais, des Québécois, des Canadiens. Des Occidentaux.
Archives de Vigile Répondre
22 février 2017Monsieur Labrie
C'est ça qui arrive lorsque tu n'es qu'une simple province et que tu ne contrôles pas tes frontières comme un pays normal. Le Canada s'en fout comme l'an 14! Bof! le Québec, on va les assimiler à p'tit feu qu'ils se disent à Ottawa. Voyons donc! Et nous continuons à regarder passer le train en colonisés jusqu'à l'os.
André Gignac 22/2/17
Gaston Carmichael Répondre
22 février 2017Quand les américains attrapent un réfugié illégal, ils doivent le retourner à son pays d'origine. Cela coûte beaucoup de bidous.
Alors, Trump prend le mégaphone, et hurle à tout vent que la chasse aux illégaux est ouverte. Ceux-ci font comme les rats quittant un navire en perdition, et se cherchent un nouveau refuge.
Go north young man!
Au lendemain du décret de Trump, Justin leur a lancé l'invitation: «À ceux qui fuient la persécution, la terreur et la guerre, sachez que le Canada vous accueillera indépendamment de votre foi, a-t-il écrit. La diversité fait notre force.»
Arrivée au Canada, ils ne sont pas moins illégaux. Toutefois, après un long processus administratif et judiciaire, on ne pourra pas les retourner E-U. Non, il faudra les expulser dans leur pays d'origine, à nos frais.
Génial ce Trump. Il a trouvé le moyen de faire payer le coût des expulsions d'immigrés illégaux aux É-U par le Canada. Peut-être que le Mexique décidera finalement que c'est rentable de payer pour le mur pour empêcher une nouvelle horde d'assistés sociaux de retourner dans leur pays.
En France, on remet 2,500 Euros aux immigrants illégaux pour ceux qui choisissent de retourner volontairement dans leur pays.
Apparemment, cela serait très rentable. Parce que le coût pour entretenir un immigrant illégal sur son territoire serait dix fois plus élevé. Et dire que notre Calinours montréalais vient de décréter sa ville comme un sanctuaire pour les immigrants illégaux.
Yves Corbeil Répondre
22 février 2017Ça va prendre des volontaires pour aller planter des affiches avec l'adresse de Coderre, question de diriger le traffic des migrants où ils seront accueillit avec service 5 étoiles.
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1017904/montreal-ville-refuge-engagements-concrets-spvm-solidarite-sans-frontieres-alternatives
Et je suggère que tourisme montréal commence tout de suite à faire ces publicités pour l'année en cour car ils sont un peu en retard sur les promotions du mère de la ville championne de la solidarité internationale et maintenant championne gastronomique grâce à son ministre leitao et son investissement de 11 millions dans le restaurant de son casino.
On s'en vient big au quouébec et nos journaux arrête pas de critiquer trump qui lui veut devenir plusss big encore au sud.
Faut être consistant avec nos affaires, on veux-tu être big ou pas trop big. Car nous autres les petits citoyens on a de la misère à suivre vos bottines.