Marteau, un coup de masse sur un clou à finir

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En référence aux articles de journaux parus dans le cadre de l’opération Marteau, permettez-moi de faire les commentaires suivants.
Si le gouvernement refusait une enquête publique de la construction dans la crainte de ternir des réputations, cette excuse vient d'en prendre un dur coup avec l'opération marteau.
On présente l'ingénieure France Michaud comme faisant face à 13 chefs d'accusation sur 27 au total dont celles d'inviter des élus à des cocktails, faire du lobbying auprès du gouvernement pour changer les règles d'octroi des contrats municipaux et même participer à l'embauche d'un directeur des travaux publics dans une municipalité.
Franchement, si ce sont les plus grosses accusations, le procureur n'ira pas loin avec ça. Mais la réputation de France est entachée pour longtemps. Elle a plus d'accusations que les entrepreneurs, qui eux auraient les gros bras.
M Charest, je doute que les quatre ingénieurs mentionnés dans l'article aient été faire une croisière sur le bateau de Tony Accurso. Pourquoi frapper si fort sur madame Michaud?
N'oubliez pas que cette ingénieure a fait carrière chez la firme Roche qui avait comme dirigeants Marc Yvan Côté et Sam Hamad.
Ces ingénieurs de Roche ne se comportaient-ils pas en fonction d'une certaine culture d'entreprise?
Avec une enquête publique, nous aurions su tout cela et au lieu de fesser sur un individu, on aurait tapé sur la compagnie, là d'où émane les vrais problèmes.
M Charest, vous êtes injuste
Gérard Lamontagne

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1 commentaire

  • André Taillon Répondre

    7 février 2011

    L’Opération marteau c’est comme le Niqab, elle voile l’ensemble des magouilles gouvernemental et laisse entrevoir qu’une infime partie du problème.
    Je m’en fous des accusations porté contre tel ou tels entrepreneurs, maires ou mairesses de ce monde qui servent de boucs-émissaires dans cette affaire.
    Pas d’enquête publique, comme ça personne ne saura la vérité !

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