L‘histoire politique n’est pas linéaire, mais s’opère à coup de bonds provoqués à des moments précis. En ce sens, le Printemps érable généré par la crise estudiantine sera certainement un moment référant dans notre histoire puisqu’il aura amorcé un mouvement de lutte populaire contre le gouvernement Charest. Mais si cette dynamique a éveillé une société qui en avait bien besoin, nous assistons peut-être aussi à son ultime sursaut… car le premier ministre pourrait se servir de cette crise comme un tremplin électoral victorieux. Or, dans le contexte où nous avons encore quatre années (minimum) à nationalement résister au gouvernement conservateur canadien, imaginez le désastre sociétal si le Québec reconduisait un quatrième mandat aux libéraux Jean Charest?
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