Lorsque céder du terrain revient à céder de sa propre identité

Le mode de vie occidental ne s'accommode pas de toutes les dérives

Le point de vue de l'ethnologue Claude Lévi-Strauss

Tribune libre


L'ethnologue Claude Lévi-Strauss est l'un des intellectuels les plus avisé et respecté du XXe siècle. Il a consacré sa vie à l'étude des peuples et à leurs rapports entre eux. Voici ce qu'il disait en 1988, dans le livre De près et de loin :

"Que des cultures puissent se sentir plus ou moins d'affinités les unes pour les autres, c'est une situation qui a existé de tout temps. Elle est dans la normale des conduites humaines.

"J'appartiens à une culture qui a un style de vie, un système de valeurs distinctives. Donc, des cultures très différentes ne me séduisent pas automatiquement.


"Je fais mon travail d'ethnologue avec objectivité et empathie. Il n'empêche que certaines cultures s'accordent moins que d'autres avec la mienne. Il y aura toujours des communautés portées à sympathiser avec celles dont les valeurs ne heurtent pas les leurs, moins avec d'autres. Ce qui n'empêche que même avec celles-ci, les rapports peuvent et doivent rester sereins.

«Si mon travail requiert le silence, et qu'une communauté ethnique s'accommode du bruit et même s'y complaît, je ne la blâmerai pas et n'incriminerai pas son patrimoine génétique. Je préférerai toutefois ne pas vivre trop près, et apprécierai peu que sous ce méchant prétexte, on cherche à me culpabiliser».

(fin des citations)



Il ne peut y avoir de diversité mondiale que si chaque culture nationale est préservée dans toute sa spécificité.

Le Québec n'a pas à tolérer toute atteinte à son système de valeurs ni à son mode de vie. On n'a à s'aplatir devant personne ni aucun groupe de pression. On n'a pas à devenir ce que nous ne sommes pas ni tolérer ce qui nous heurte. C'est nous autres qui mènons ici, que ce soit clair dès le départ.

Il serait aberrant de créer sciemment des conditions sociales qui vont provoquer des frictions constantes entre la communauté d'accueil et certaines catégories d'arrivants qui tentent de s'imposer contre la volonté générale.
Sachant que certaines ethnies sont totalement incompatibles avec notre mode de vie (pour cause de mentalité divergente, de religion sujette à l'extrémisme, de mauvais traitements infligés aux femmes et aux enfants, etc) et entraînent une kyrielle de conflits sociaux qui heurtent la population sans justification aucune, il faut réformer les critères de sélection des candidats pour tenir compte de ce facteur d'incompatibilité et favoriser ceux qui sont les plus susceptibles de réussir leur intégration.


Ce processus d'adaptation fonctionne le mieux avec les occidentaux avec qui nous avons beaucoup en commun et dont les enfants sont indifférenciables des nôtres. De cette manière, l'homogénéité souhaitable à tout peuple pour qu'il conserve son identité spécifique est ainsi préservée. Dans un territoire donné, les gens doivent se ressembler pour que le bien vivre ensemble soit possible.

Mettons fin à cette pratique plus que douteuse de l'accommodement injustifiable, chambardeur et offensant. Les pratiques du tiers-monde sous-développé ne doivent pas venir contaminer les nôtres et faire régresser nos sociétés occidentales évoluées. Qu'on en finisse avec l'aplatissement humiliant. Qu'on en finisse avec toute forme d'accommodements servile. C'est en se tenant debout qu'on impose le respect.

Le risque de la substitution d’une population entière par une autre: c'est commencé: http://www.vigile.net/La-substitution-d-une-population
Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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