Coeurs méritants,
qui inondent les ans
et qui, dans l'antan,
forment un étang,
où, par temps clair et sans vent,
dans un miroir invitant,
l'on aperçoit la vie des siens,
dans l'adversité, trimant et défiant,
d'un verbe toujours aussi franc,
le conquérant anglais et ses carcans,
qui n'ont su mettre à sa main
ces insoumis dérangeants!
Coeurs vaillants,
qui, sans fin, bataillent autant l'ouragan
que la hargne déchaînés par cet impétueux arrogant,
qu'ils sauront bien, pourtant,
en temps opportun et prédominant,
réduire à néant,
car vient toujours le jour où un tyran est perdant!
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