La diversité, ennemie jurée des petites nations

La diversité de remplacement: une fort mauvaise idée

Elle détruit l'identité collective

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Tribune libre

Pour une nation de petite taille, la diversité représente une dilution de sa population native, une infiltration d'eau dans le solage, une mise à l'écart, une entreprise de minorisation.



Cela revient à une tentative de la noyer dans le nombre, comme les Chinois qui sont en train de surpeupler le Tibet en accéléré pour en faire disparaître les Tibétains.



C'est encourager le remplacisme, qui est la substitution d'une population visuellement identifiable par un mélange hétéroclite de n'importe qui de n'importe où. Un pêle-mêle de races, d'ethnies, de cultures divergentes, de langues, de religions étrangères, refusant ou incapables d'intégration.



Cette diversification vers le bas entraîne un affaiblissement de la culture collective en place dû à sa non-consommation par les remplaceurs indifférents.



Et lorsque la diversité se voit imposée et matraquée par une idéologie fédérale érigée en dogme suprème comme cela se passe au Canada contre la volonté de la majorité des Québécois, les conséquences sont encore plus dévastatrices.



Une nation de grande taille possède un pouvoir d'attraction et d'entraînement qui permet l'intégration et l'assimilation. Les petites, non. Pas d'effet de pression de "melting pot" à l'américaine possible en Corse, en Islande ou au Québec.



La préservation de notre identité collective passe nécessairement par le maintien de notre homogénéité démographique et culturelle. Il faut qu'on reste comme ce que nous avons toujours été.



Photo: le futur Kaboul-en-Québec est en route


Celui explique que le Québec soit un état qui doit être protégé de l'intrusion massive d'étrangers incompatibles, généralement issus des sociétés les plus sous-civilisées de la planète, avides de s'approprier tous nos avantages.



Rien qu'à voir ce qui se passe à Montréal, la ville ayant reçu le plus grand nombre d'immigrants du tiers-monde per capita, on saisit la vérité de cette affirmation. Le marasme s'y accentue de semaine en semaine, et ne peut qu'aller en empirant.



Entre autres, on y sent très bien le pouvoir d'attraction de l'anglais, la formation de quartiers et de ghettos ethniques dont se voient exclus les natifs, la pratique du communautarisme cloisonné, l'accroissement ahurissant de la violence et du crime, les fusillades entre gangs de rue, la saleté des rues, les féminicides, l'attitude grandissante anti-Québécois. Dans les écoles de la métropole remplies d'enfants d'immigrants, l'adhésion au monde et à la culture québécoise est pratiquement nulle.



Bref, Montréal, la métropole cosmopolitisée à outrance, s'ensauvage à la vitesse grand V, au grand découragement des natifs forcés de la fuir en masse.



Pour toutes ces raisons, les critères d'immigration doivent être révisés et resserrés pour favoriser d'abord et avant tout les Occidentaux qui sont plus près de ce que nous sommes et qui offrent le meilleur potentiel d'intégration en douceur.



De plus, une politique nataliste généreuse avantageant uniquement les natifs doit remplacer l'immigration indiscriminée d'incompatibles à haut taux de natalité.



Tout ça, pour que le Québec continue de ressembler au Québec de toujours, celui qui nous appartient.




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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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4 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    26 octobre 2021

    La diversité de remplacement: une fort mauvaise idée


    Une image vaut mille mots, ou mille remplaçants, à la plus grande joie du maire honteusement diversitaire Régis Labeaume:




  • Réjean Labrie Répondre

    25 octobre 2021

    La population française est préoccupée par la théorie du grand remplacement ethnique. Ils sont 67 % à considérer cette possibilité comme source d’inquiétude et 61 % pensent que le grand remplacement va se réaliser. 


    Cela fait tout de même 2 citoyens sur 3. Et cela va en augmentant.


    La même menace nous guette au Québec.



    Le Grand remplacement désigne le changement induit par une immigration « massive » à fécondité plus forte de populations d’origine extra-européennes qui seraient en passe de surpasser les populations « d’origine » (c’est-à-dire caucasiennes) en Occident (Europe de l’Ouest, Amérique du Nord, Australie) — et donc d’imposer leur culture, leurs us et coutumes et leurs religions.




    Référence: L'inquiétude face au Grand Remplacement s'accentue


  • Réjean Labrie Répondre

    4 septembre 2021


    À lire: En France, le problème est encore plus aigu: C’est bien l’immigration extra-européenne qui fournit l’essentiel de la croissance démographique.


  • Réjean Labrie Répondre

    26 août 2021

    Les derniers chiffres officiels sur l'augmentation de la démographie étrangère en France sont alarmants.


    44 % de la hausse de la population française provient des immigrés!


    C'est 10 fois plus qu'une proportion normale de 5%.


    Une autre statistique consternante concerne l’origine des immigrés. En 2019, 46,5 % des immigrés vivant en France sont nés en Afrique. 33,3 % sont nés en Europe. Les pays de naissance les plus fréquents des immigrés sont l’Algérie (12,6 %), le Maroc (12 %), le Portugal (9 %), la Tunisie (4,5 %), l’Italie (4,3 %), la Turquie (3,7 %) et l’Espagne (3,6 %). La moitié des immigrés sont originaires d’un de ces sept pays (49,7 %).


    Et ce n'est pas tout.


    De 2006 à 2019, il s’agit d’une immigration de plus en plus extra-européenne.


    En 2019, 385 000 personnes sont entrées en France, un niveau globalement stable depuis 2016. Parmi elles, 90 000 sont nées en France et 23 000 sont nées françaises à l’étranger, soit 113 000 personnes non immigrées. Parmi les 273 000 immigrés entrés en France, 112 000 sont originaires d’Afrique (dont 57 000 du Maghreb), 87 000 d’Europe, 44 000 d’Asie et 30 000 d’Amérique ou d’Océanie. L’immigration en provenance d’Afrique est deux fois plus importante en 2019 (112 000 personnes) qu’en 2006 (62 000 personnes). Près de 60 % des nouveaux arrivants immigrés ont moins de 30 ans : un quart sont mineurs et un tiers sont âgés de 18 à 29 ans.


    La plupart des autres pays européens sont aussi mal pris que la France.


    Un choc catastrophique est à prévoir d'ici peu. Ne laissons pas la situation s'envenimer à ce point ici même au Québec.


    L'immigration tiers-mondiste décivilisatrice doit cesser. Des programmes de renvoi massifs doivent être mis sur pied pour la sauvegarde de l'Occident.


    Référence: 44 % de la hausse de la population française provient des immigrés