Il est effroyable qu’il ait fallu une pandémie qui a pris des allures de désastre planétaire pour qu’une prise de conscience du danger que représente la Chine communiste s’opère, et cette prise de conscience est encore très profondément insuffisante en France et en Europe.
Des doutes se trouvent encore émis ici ou là sur le fait que le coronavirus soit sorti du laboratoire P4 de Wuhan, ces doutes en France sont vraisemblablement dus au fait que la France a contribué à la construction de ce laboratoire, ce qui fait qu’elle est impliquée, et, plus encore, au fait que Donald Trump et Mike Pompeo ait dit avoir des preuves que le coronavirus est sorti du laboratoire en question: il suffit en France (et dans une large part de l’Europe) que Donald Trump affirme quelque chose pour que des discours s’élèvent pour prendre la direction inverse. Il faut donc le dire : des preuves existent. Elles ont été pour partie exposées dans la presse du monde qui parle anglais, dans cet article entre autres :
Elles seront pleinement exposées ultérieurement par l’administration Trump. Il deviendra vite impossible de nier l’évidence.
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Des doutes encore plus forts s’expriment sur le fait que le coronavirus a été fabriqué. Le discours presque hégémonique en France (et en Europe) affirme que le coronavirus est naturel, et quand le professeur Montagnier s’est exprimé sur le sujet, il a été presque unanimement traité de complotiste, de charlatan et de crétin par les médias français. Il a ainsi rejoint dans l’enfer médiatique le professeur Raoult (sur lequel je reviendrai dans un autre article). L’administration Trump tient sur le sujet un discours gêné, et a pu dire que le coronavirus est “sans doute” naturel, elle aussi : le fait que les Etats-Unis aient financé des recherches dans le laboratoire de Wuhan y est pour quelque chose.
Il faut le dire : des éléments précis et concordants montrent que le coronavirus n’est vraisemblablement pas naturel, et viennent appuyer les propos du professeur Montagnier. Un journaliste américain a mené une enquête précise, rigoureuse, qui fait l’objet d’un film documentaire qui ne sera pas diffusé en France et ne sera disponible qu’en langue anglaise. Le film s’appelle Tracking Down the Origin of the Wuhan Virus (https://www.theepochtimes.com/coronavirusfilm?utm_source=Epoch_Times&utm_medium=Banner.).
Ce que le film explique est que la Chine communiste a, depuis des années, des projets d’armes biologiques, et de guerre menée par d’autres moyens que la guerre conventionnelle. Ce que le film rappelle est que des stratèges chinois ont exposé les projets de la Chine de manière très claire et très explicite dans un livre paru il y a vingt ans, Unrestricted Warfare (https://www.amazon.fr/Unrestricted-Warfare-Chinas-Destroy-America/dp/1626543054). Ce livre avait été commenté avec inquiétude à l’époque. Il est tombé largement dans l’oubli. Le relire aujourd’hui serait très utile.
Il ne s’agit pas de dire que le coronavirus de Wuhan a été utilisé comme une arme de guerre, et ce n’est pas ce que je dis. On peut raisonnablement douter de ce que le gouvernement communiste chinois ait pu tester une arme biologique sur sa population. On peut raisonnablement penser, par contre, que des projets suspects ont été élaborés dans le laboratoire de Wuhan, et qu’un coronavirus fabriqué a échappé du laboratoire (où les conditions de sécurité étaient déficientes), et provoqué une épidémie, qui a ensuite été utilisée par le gouvernement communiste chinois.
Ce qui doit être ajouté une fois de plus est qu’il est flagrant que l’épidémie a été transformée en pandémie par le gouvernement communiste chinois. Et il faut une fois de plus rappeler les faits : non seulement le gouvernement chinois a caché ce qui se passait à Wuhan et n’a pleinement avoué qu’il s’agissait d’une épidémie contagieuse que pendant la troisième semaine de Janvier, mais il a demandé à l’Organisation Mondiale de la Santé de dire que la maladie n’était pas contagieuse, puis, ce qui découlait, que les vols partant de Wuhan vers le reste du monde ne posaient aucun problème. En parallèle, le gouvernement chinois fermait ses frontières intérieures de la Chine, et tout voyage entre la province de Hubei et le reste du pays devenait impossible. Ce qui veut dire que le gouvernement chinois a protégé la Chine de l’épidémie tout en lui permettant de se disséminer planétairement. La Chine a mené ainsi une guerre biologique.
S’est ajouté une dimension de guerre psychologique.
Avoir demandé à l’OMS d’annoncer que la maladie était contagieuse et avait une létalité forte, 3,4 pour cent, ne pouvait que créer une panique destructrice. Les chiffres ajoutés par Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui s’est bien garde de dire qu’il travaillait pour l’OMS, qui ont évalué le nombre de morts qui allait résulter à 500.000 au Royaume-Uni et dans les pays de taille équivalente, et à 2,2 millions aux Etats-Unis, ont exacerbé la panique. (Neil Ferguson vient de démissionner parce que touché par le virus, il a contaminé sa maitresse, mais c’est une autre histoire).
Les pays qui ont géré le plus rationnellement la situation ont été les pays d’Asie voisins de la Chine qui n’ont pas attendu la panique créée par l’OMS pour agir, et qui ont fermé leurs frontières avant tout autre pays du monde, et endigué la maladie sans arrêter leurs économies. Ce sont aussi des pays où on a utilisé l’hydroxychloroquine pour soigner les malades.
Les pays qui ont géré les choses de manière inepte sont ceux qui n’ont pas fermé leurs frontières, ou trop tard, et ceux qui ont choisi le confinement massif et strict, et, sous l’influence des laboratoires pharmaceutiques (leur influence dans les pays occidentaux a été très néfaste et doit donner à réfléchir), n’ont pas ou très peu utilisé l’hydroxychloroquine pour soigner les malades. Ces pays sont ceux qui ont, de loin, les chiffres de mortalité les plus catastrophiques : la France est dans la liste des cinq pays qui ont les chiffres de mortalité les plus catastrophiques, ce qui n’est pas du tout glorieux (je n’insiste pas : je traiterai ultérieurement des crimes du gouvernement français).
De nombreux pays sont en position intermédiaire. L’Allemagne a voulu gérer les choses façon Corée du Sud, mais n’a pas fermé ses frontières au reste de l’Europe à temps, l’Autriche a réagi plus vite, a fermé ses frontières avant l’Allemagne et s’en tire mieux. La Suède a refusé le confinement massif et strict et a des résultats meilleurs que ceux des pays qui ont choisi le confinement massif et strict : elle aurait eu des résultats meilleurs encore si elle avait rapidement fermé ses frontières. L’Allemagne et l’Autriche, sous l’influence des laboratoires pharmaceutiques, ont peu utilisé l’hydroxychloroquine. La Suède a renoncé à l’utiliser pour la même raison.
Trump aux Etats Unis voulait gérer les choses façon Corée du Sud, mais des tests défectueux fournis par le Center for Disease Control l’en ont empêché. Il a voulu l’utilisation massive de l’hydroxychloroquine : ses conseillers médicaux ont fait obstacle, et les gouverneurs démocrates dans plus de la moitié des Etats ont fait obstacle aussi. La gestion de la pandémie a été largement laissée par Trump aux gouverneurs des Etats, car il ne voulait pas passer pour un dictateur. Et une analyse scrupuleuse impliquerait de dire qu’il y a donc cinquante Etats à examiner un par un. Seul l’Etat de New York a des chiffres aussi catastrophiques que ceux des cinq pays à la mortalité la plus catastrophique. Les Etats-Unis sont, de très loin, le pays où le nombre de tests par habitants est aujourd’hui le plus élevé (c’est pour cela qu’ils ont le nombre de cas détectés le plus important, et le chiffre qui indique le nombre de cas indique en fait le nombre de personnes testées positives) : utiliser ce chiffre pour dire que les Etats-Unis sont “le pays le plus touché” est mensonger.
Utiliser le nombre de morts pour dire qu’il y a plus de morts aux Etats-Unis qu’en France, en Espagne, en Italie ou en Belgique est également mensonger dès lors qu’il y a 330 millions d’habitants aux Etats-Unis, je l’ai déjà dit (il y a environ moitié moins de morts par million d’habitants aux Etats-Unis qu’en France).
Quel que soit le pays, le résultat est, en tous cas, la plus grave crise économique et financière qu’ait connu le monde depuis la crise de 1929, voire une crise plus grave encore, et ce qui est terrible est que ce n’est pas à proprement parler une crise économique et financière, mais une crise provoquée par une pandémie et par une panique.
Pandémie et panique sont l’émanation directe de la Chine communiste.
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La Chine communiste a mené une guerre biologique et une guerre psychologique contre le reste du monde. Ce qu’elle a mené est la plus grande guerre menée par un régime communiste contre le monde occidental, et cette guerre a été d’une redoutable efficacité.
La Chine communiste continue sa guerre psychologique en tenant des discours d’intimidation et de désinformation, très souvent repris en Europe.
Et il importe de regarder la situation en face.
La maladie appelée par l’OMS COVID 19 n’a pas du tout la létalité énoncée par l’OMS. Des études scientifiques montrent que le coronavirus est très disséminé et qu’il y a beaucoup de porteurs sains. La létalité réelle du Covid 19, selon les études susdites devrait se situer alentour de 0,1 pour cent, au grand maximum à 0.2 pour cent (https://reason.com/2020/04/20/l-a-county-antibody-tests-suggest-the-fatality-rate-for-covid-19-is-much-lower-than-people-feared/). Soit, pas vraiment davantage que la grippe. Les personnes chez qui la maladie prend un stade aigu peuvent mourir, mais les morts sont essentiellement des personnes de 80 ans et plus souffrant de comorbidités.
Cela signifie que les personnes en question peuvent se voir demander de pratiquer des précautions spécifiques, mais que le reste de la population devrait pouvoir vivre presque normalement, chacun pouvant prendre des précautions supplémentaires s’il l’entend, de manière libre et responsable.
Le maintien de fermetures ne s’impose pas pour des raisons sanitaires, et est un ensemble de décisions politiques qui relèvent des dirigeants politiques.
Evoquer des risques de contagion supplémentaires est peu ou prou absurde : il y a déjà infiniment plus de personnes contaminées que cela ne se dit. Parler de deuxième vague est utiliser une hypothèse très spéculative que la quasi-totalité des épidémiologistes écartent et qualifient d’extrêmement improbable.
Nombre de gouvernements ne peuvent avouer qu’ils ont cédé à la panique et infligé des dégâts inutiles sans susciter un tollé. Je sais : et ils ne le diront pas.
Des gouvernements ont intérêt à maintenir leur population dans la peur et la restriction de libertés. C’est le cas du gouvernement français. Il n’est pas le seul. Le choix du gouvernement français va provoquer un effondrement économique très grave. Pauvreté, faillites, chômage élevé.
Aux Etats-Unis, les gouverneurs et les dirigeants démocrates pensent qu’ils ont intérêt à provoquer le maximum de dégâts économiques parce qu’ils pensent que cela va accroitre leurs chances de gagner en novembre, et parce qu’ils pensent pouvoir rebâtir une économie socialiste sur les ruines du capitalisme. Trump, à mes yeux, leur cède beaucoup trop. Mais il n’est pas dans une situation facile, et les médecins qui l’entourent (Anthony Fauci, Deborah Birx) sont très ambigus et trop proches des démocrates. Il ne peut hélas aller plus vite tant la peur disséminée restera présente, mais il devra trouver le moyen de rouvrir pleinement le pays assez vite, sans quoi pourraient venir le chaos et des révoltes populaires.
A terme, ou bien des comptes seront demandés à la Chine et le gouvernement communiste chinois sera endigué et poussé vers l’effondrement, ce qui implique que le monde occidental se relève, ou bien le gouvernement communiste chinois gagnera, et le monde occidental entrera dans des temps très obscurs.
Seul Donald Trump serait à même de faire le nécessaire vis-à-vis du gouvernement communiste chinois, ce qui implique que les Etats-Unis rouvrent assez vite et se redressent, car le chaos aux Etats-Unis servirait la Chine. Nombre de politiciens démocrates sont d’ores et déjà vendus à la Chine, tout comme nombre de dirigeants européens. C’est pour cela que je sais qu’un président démocrate serait un désastre sur ce point comme sur tant d’autres. C’est pour cela que je sais qu’aucun gouvernement européen ne fera le nécessaire et ne se situera sur les mêmes positions que Trump, et que quasiment tous les dirigeants européens, à quatre ou cinq exceptions près, voudraient, comme les dirigeants chinois, qu’un démocrate s’installe à la Maison Blanche en Janvier 2021.
L’élection présidentielle américaine de novembre prochain sera essentielle pour l’avenir du monde. Plus essentielle que toutes les élections présidentielles américaines depuis l’élection qui a porté Ronald Reagan à la Maison Blanche en 1980.
Le choix sera entre Trump, qui veut faire le nécessaire, et un candidat démocrate, le sénile Joe Biden ou un autre, qui sera le candidat de la soumission à la Chine.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
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