La semaine passée, le débat sur la laïcité de l’état québécois est reparti de plus belle.
En prémisse, la jeune ministre Geneviève Guilbault a bien failli tomber dans le panneau des quelques représentants provinciaux des Frères musulmans militants pour l’instauration mondiale de la Chari-a. Mme Guilbault s’était dite « ouverte » à la création d'une journée nationale contre l’islamophobie. Ce néologisme fallacieux est une invention intégrale d’une minuscule minorité d’islamistes intégristes toujours heureux que l’on parle d’eux… en bien et surtout en mal pour revendiquer leur reconnaissance.
Heureusement, le premier ministre, M. François Legault, bien avisé, a arrêté rapidement cette velléité qui a meublé les discussions lors des assises de la CAQ à Gatineau.
Mais, les réactions des autres partis ne se sont pas faites attendre… On se serait cru retourner en arrière lors du Calvinisme du 16ième siècle ou encore durant la « révolution tranquille » québécoise des années 60.
Tant qu’à faire, il faudrait instituer une journée contre la « christianophobie », une journée contre la « judaïsmophobie » et une autre contre « l’obscurantismophobie » ou encore contre la « calvinismophobie » et pourquoi pas une journée contre la « québécophobie » … Il va manquer des journées dans le calendrier !
Au sujet de la loi islamique (ou la chari-a) prônée par quelques représentants d’Allah parmi les quelques 300 000 musulmans très bien accueillis au Québec, il est renversant d’en connaître plus sur cette invasion islamique mise en œuvre mondialement par l’Organisation islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ISESCO) et l’Organisation de la coopération islamique (OCI) ainsi que par les organisations islamiques européennes.
Alain Wagner décrit très bien cette invasion dans sa conférence sur la « Colonisation islamique de l’Europe » donnée à Paris en septembre dernier.
D’autres multiples informations se retrouvent sur le Web en cliquant « Charia ». Les descriptions audio-visuelles sont hallucinantes et sidérantes.
Lors des prochains débats sur la Loi de la Laïcité de l’État du Québec, tous nos élus devraient tenir compte des propos très instructifs d’Alain Wagner (journaliste, juriste et membre de l’Union de Défense des Citoyens et Contribuables en France)… pour ne pas se faire embobiner par les intentions subversives des Frères musulmans et de leurs représentants québécois qui ont commencé à envahir insidieusement le Québec avec leurs mosquées, centres culturels régionaux, écoles coraniques, …
Concernant le port du voile islamique, manifestation vestimentaire symbolisant la soumission inconditionnelle de la femme à la chari-a, faut-il tolérer le prosélytisme islamique en territoire québécois ou bien s’inspirer de ce qui se passe au Japon où les musulmans sont loin d’être les bienvenus .
Philippe Giroul, Trois-Rivières
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3 commentaires
Philippe Giroul Répondre
10 février 2019Dans une des dernières publications de JosPublic sur Météopolitique
: http://www.meteopolitique.com/Fiches/Religion-Spiritualite-Laicite/Analyse/L-Islamisme-est-un-totalitarisme/On-ne-pourra-pas-vaincre-le-terrorisme-sans-s-attaquer-a-l-ideologie-qui-le-sous-tend.htm
On trouve d'autres informations très intéressantes à partager ...
On ne pourra pas vaincre le terrorisme sans s'attaquer à l'idéologie qui le sous-tend
Dans le cadre du débat sur la laïcité de l'État qui se déroule actuellement (février 2019) au Québec, il faudrait que le texte de madame El Rhazoui soit lu par les chefs des partis politiques, leurs ministres et leurs attachés/conseillers. Il faut du mépris pour ne pas écouter et essayer de comprendre une femme en lutte, de culture arabe musulmane contre le fascisme de l'Islam et de l'ensemble des religions. Ce texte a la qualité de mettre les points sur les I et les barres sur les T sur ce débat mal parti et qui dérape à chaque prise de parole sous le poids des intérêts cachés des argumentateurs publics. La culture et la religion ne sont pas des races et les femmes voilées ne représentent pas un prolétariat. Que le sage éclairage que répand ce texte vous incite à le partager avec votre député.e.
- JosPublic
Le concept d' islamophobie est une imposture intellectuelle fondée sur une confusion délibérée entre l' islam en tant que dogme, l'Islam en tant que civilisation, et les musulmans considérés ipso facto comme une communauté monolithique et non pas comme des individus, explique - Zineb El Rhazoui
Pierre-Yves Dubreuil Répondre
9 février 20191- Quand les lobbys musulmans parlent d'Islamophobie, c'est qu'ils se transforment un instant en psychiâtres et nous diagnostique une maladie mentale ou un réflexe inné non contrôlé ayant pour effet de fuir toute relation avec l'Islam.
J'aimerais personnellement bien avoir des détails sur ce diagnostique, sans quoi il ne s'agirait que de diffamation, avec ce que ça peut avoir comme conséquences sur la réputation des «accusateurs» ainsi que des «accusés». Cette déclaration pourrait même mener à plus de ce que vous appelez «Islamophobie», générant un cercle vicieux.
2- Ma perception propre de l'Islam, c'est , en général, est celle d'un courant ultra-conservateur libertaire, qui opère donc par réseau et ayant pour but son seul et unique épanouissement, qui à négliger celui des autres. Si vous êtes musulaman, vous êtes sauvé, si vous ne l'êtes pas, et bien meilleur chance la prochaine fois! Il ne faut pas s'étonner que plusieurs personnes de plusieurs cultures dans le monde, ayant une différente interprétation de dieu, soient réfractaires à épouser l'Islam, voir l'accepter à leur côté, notamment à cause qu'il a un modus operandi très spécial, et à certain égard intransigeant. Il y a notamment le côté hierachique en ce qui concerne la femme, qui doit être restreinte dasn ses libertés vestimentaires et au niveau des pouvoirs. Au Québec, la libération de la femme fut le fruit d,une tendance lourde et mainteant c'est généralement accepter comme générateur de richesse collective, quelque soit la richesse.
3- Le simple fait de critiquer l'islam est rendu un acte de provocation. Or, l'Islam est une idée et ça n'a rien avoir avec l'individu qui la porte. Dans plusieurs pays ou l'Islam est l'autorité suprême, le critiquer peut être un sport dangereux. Donc, il faut prendre conscience que ça peut devenir une arme l'encontre de la liberté des autres, et de la liberté d'expression, un droit dont jouit l,ensemble des citoyens du Québec, peut importe leur convictions personnelles ou leur interprétation de la spiritualité.
Me Christian Néron Répondre
8 février 2019Il y a des mots qui sont utilisés pour assommer,
pour terroriser,
pour empêcher toute forme de critique.
À bien y penser, je préfère être traité d'islamophobe,
de raciste,
de la personne la plus méchante du monde,
que de rester muet en regardant des illuminés,
des néo-racistes détruire tranquillement l'un des
rares pays où il fait encore bon vivre !